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Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 170, Hamburg, 23. Oktober 1813.

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Dans le meme temps l'ambassadeur de
France a Vienne ayant ete charge de preve-
nir le cabinet qu'au moment ou la reprise des
hostilites se trouverait resolue, des ordres se-
raient envoyes au corps auxiliaire pour agir
de concert, demanda s'ils seraient ponctuelle-
ment executes. Ne recevant que des repon-
ses vagues et captieuses, il crut devoir saisir
cette occasion pour constater enfin par des
faits les veritables dispositions du cabinet. Il
fit la demande d'une explication formelle par
une note du 21 Avril.

M. le comte de Metternich repondit le 26.
Sa reponse ne laisse plus de doute sur la vo-
lonte du cabinet autrichien de ne pas remplir
ses obligations.

L'Empereur venait deja de triompher a Lut-
zen lorsqu'il recut le courrier qui lui portait
la reponse de l'Autriche.

A dater de ce moment les projets du cabi-
net de Vienne furent devoiles.

No. 1.
Extrait d'nne depeche de M. le comte Otto,
au ministre des relations exterieures.

Vienne, le 16 Decembre 1812.

Monseigneur!

J'ai recu hier par un courier extraordinaire,
les depeches dont V. E. m'a honore les 3, 4
et 5 Decembre, et je me suis empresse de
communiquer au gouvernement autrichien les
nouvelles importantes que ces depeches ren-
ferment. Elles ont ete accueillies avec le
plus vif interet.

V. E. aura vu, par ma derniere depeche,
combien on avait travaille ici a exagerer les
pertes que nous avons eprouvees. L'embar-
ras du comte de Metternich etait si visible
que je ne puis l'attribuer uniquement a l'in-
teret qu'il prend a nos succes. Il avait l'air
de craindre pour l'alliance, et il s'est oublie,
plusieurs fois, jusqu'a me dire que si l'Au-
triche prenait un autre parti, elle verrait, en
peu de tems, plus de 50 millions d'hommes
de son cote. Suivant lui, toute l'Allemagne,
toute l'ltalie, se declarerait pour elle. Une
insinuation aussi etrange, aussi peu motivee
ne peut etre due qu'aux propositions qui lui
ont ete adressees du dehors et a l'impression
que lui avaient laissee les debats du conseil
auquel il avait assiste. On croit nous faire
une faveur particuliere en refusant de prendre
les armes contre nous, dans un moment ou
on nous suppose moins forts que les Russes. Je
ne puis opposer a de pareils sentimens qu'une
attitude calme et la confiance dans la superi-
orite de la France si justement acquise, et
que des revers passagers ne pourraient lui
oter. On fait les plus grands efforts pour
gagner l'Autriche; on offre l'Italie, les pro-
vinces Illyriennes, la suprematie de l'Allema-
gne, enfin le retablissement de l'ancienne
splendeur de la couronne imperiale.

Signe: Otto.


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Hülfs Corps die Befehle, in Uebereinstimmung zu
handeln, zugesandt werden würden, ob demselben
pünctlich nachgelebt werden würde? Da er nur
unbestimmte und verfängliche Antworten erhielt,
so glaubte er, diese Gelegenheit ergreifen zu müssen,
um endlich durch Thatsachen die wahre Stimmung
des Cabinets heraus zu bringen. Er forderte
durch eine Note vom 21sten April eine förmliche
Erklärung. Der Herr Graf Metternich antwortete
unterm 26sten, und seine Antwort läßt keinen
Zweifel über die Absicht des Oesterreichischen Ca-
binets, seine Verbindlichkeiten nicht erfüllen zu
wollen.

Der Kayser hatte bereits zu Lützen triumphirt,
als er den Courier erhielt, der die Oesterreichische
Antwort brachte.

Von dieser Zeit an lagen die Plane des Wiener
Cabinets enthüllt da.

No. 1.
Aus einer Depesche des Grafen Otto an den
Minister der auswärtigen Angelegenheiten.

Wien, den 16 December 1812.

Monseigneur!

Jch habe gestern durch einen außerordentlichen
Courier die Depeschen erhalten, mit welchen Ew.
Excell. mich unterm 3ten, 4ten und 5ten Decem-
ber beehret, und ich habe geeilt, der Oesterreichi-
schen Regierung die wichtigen Nachrichten mitzu-
theilen, die sie enthielten. Sie wurden mit dem
lebhaftesten Jnteresse aufgenommen.

Ew. Excell. werden aus meiner letzten Depesche
ersehen haben, wie sehr man sich hier bemüht hat,
die Verluste, welche wir erlitten haben, zu über-
treiben. Die Verlegenheit des Grafen Metter-
nich war so sichtlich, daß ich sie nicht allein dem
Antheil zuschreiben kann, den er an unserm Glücke
nimmt. Er sah aus, als fürchte er für die Allianz,
und vergaß sich einigemal so sehr, daß er mir sagte,
wenn Oesterreich eine andere Parthie nähme, so
würden in kurzer Zeit 50 Millionen Menschen auf
seine Seite treten. Nach seiner Meynung würde
ganz Jtalien und Deutschland sich für dasselbe er-
klären. Eine so seltsame und unbegründete
Aeußerung kann ihren Grund nur in Vorschlägen
haben, die von auswärts an ihn gelangt sind und
in dem Eindruck, welchen die Debatten des Con-
seils, in welchem er gegenwärtig gewesen war, auf
ihn zurückgelassen. Man glaubt uns einen Be-
weis einer außerordentlichen Gunst zu geben, daß
man in einem Augenblick, wo man uns für schwä-
cher hält, als die Russen, die Waffen nicht gegen
uns ergreift. Jch kann solchen Meynungen nur
eine ruhige Stellung und das Zutrauen entgegen
setzen, welches ich in Frankreichs Obermacht habe,
welche so rechtmäßig erworben ist, und die durch
einige vorübergehende Nachtheile nicht verlohren
werden kann. Man macht die größten Anstren-
gungen, um Oesterreich zu gewinnen; man bietet
Jtalien, die Jllyrischen Provinzen, die Oberherrschaft
in Deutschland, mit einem Worte, die Wiederher-
stellung des ehmaligen Glanzes der Kays. Krone an.

Unterz.: Otto.


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Dans le même temps l’ambassadeur de
France à Vienne ayant été chargé de préve-
nir le cabinet qu’au moment où la reprise des
hostilités se trouverait résolue, des ordres se-
raient envoyés au corps auxiliaire pour agir
de concert, demanda s’ils seraient ponctuelle-
ment exécutés. Ne recevant que des répon-
ses vagues et captieuses, il crut devoir saisir
cette occasion pour constater enfin par des
faits les véritables dispositions du cabinet. Il
fit la demande d’une explication formélle par
une note du 21 Avril.

M. le comte de Metternich répondit le 26.
Sa réponse ne laisse plus de doute sur la vo-
lonté du cabinet autrichien de ne pas remplir
ses obligations.

L’Empereur venait déjà de triompher à Lut-
zen lorsqu’il reçut le courrier qui lui portait
la réponse de l’Autriche.

A dater de ce moment les projets du cabi-
net de Vienne furent dévoilés.

No. 1.
Extrait d’nne dépêche de M. le comte Otto,
au ministre des rélations extêrieures.

Vienne, le 16 Décembre 1812.

Monseigneur!

J’ai reçu hier par un courier extraordinaire,
les dépêches dont V. E. m’a honoré les 3, 4
et 5 Décembre, et je me suis empressé de
communiquer au gouvernement autrichien les
nouvelles importantes que ces dépêches ren-
ferment. Elles ont été accueillies avec le
plus vif intérêt.

V. E. aura vu, par ma derniere dépêche,
combien on avait travaillé ici à exagérer les
pertes que nous avons éprouvées. L’embar-
ras du comte de Metternich était si visible
que je ne puis l’attribuer uniquement à l’in-
térêt qu’il prend à nos succès. Il avait l’air
de craindre pour l’alliance, et il s’est oublié,
plusieurs fois, jusqu’à me dire que si l’Au-
triche prenait un autre parti, elle verrait, en
peu de tems, plus de 50 millions d’hommes
de son côté. Suivant lui, toute l’Allemagne,
toute l’ltalie, se déclarerait pour elle. Une
insinuation aussi étrange, aussi peu motivée
ne peut être due qu’aux propositions qui lui
ont été adressées du dehors et à l’impression
que lui avaient laissée les débats du conseil
auquel il avait assisté. On croit nous faire
une faveur particulière en refusant de prendre
les armes contre nous, dans un moment où
on nous suppose moins forts que les Russes. Je
ne puis opposer à de pareils sentimens qu’une
attitude calme et la confiance dans la supéri-
orité de la France si justement acquise, et
que des revers passagers ne pourraient lui
ôter. On fait les plus grands efforts pour
gagner l’Autriche; on offre l’Italie, les pro-
vinces Illyriennes, la suprématie de l’Allema-
gne, enfin le rétablissement de l’ancienne
splendeur de la couronne impériale.

Signé: Otto.


[Spaltenumbruch]

Huͤlfs Corps die Befehle, in Uebereinſtimmung zu
handeln, zugeſandt werden wuͤrden, ob demſelben
puͤnctlich nachgelebt werden wuͤrde? Da er nur
unbeſtimmte und verfaͤngliche Antworten erhielt,
ſo glaubte er, dieſe Gelegenheit ergreifen zu muͤſſen,
um endlich durch Thatſachen die wahre Stimmung
des Cabinets heraus zu bringen. Er forderte
durch eine Note vom 21ſten April eine foͤrmliche
Erklaͤrung. Der Herr Graf Metternich antwortete
unterm 26ſten, und ſeine Antwort laͤßt keinen
Zweifel uͤber die Abſicht des Oeſterreichiſchen Ca-
binets, ſeine Verbindlichkeiten nicht erfuͤllen zu
wollen.

Der Kayſer hatte bereits zu Luͤtzen triumphirt,
als er den Courier erhielt, der die Oeſterreichiſche
Antwort brachte.

Von dieſer Zeit an lagen die Plane des Wiener
Cabinets enthuͤllt da.

No. 1.
Aus einer Depeſche des Grafen Otto an den
Miniſter der auswaͤrtigen Angelegenheiten.

Wien, den 16 December 1812.

Monſeigneur!

Jch habe geſtern durch einen außerordentlichen
Courier die Depeſchen erhalten, mit welchen Ew.
Excell. mich unterm 3ten, 4ten und 5ten Decem-
ber beehret, und ich habe geeilt, der Oeſterreichi-
ſchen Regierung die wichtigen Nachrichten mitzu-
theilen, die ſie enthielten. Sie wurden mit dem
lebhafteſten Jntereſſe aufgenommen.

Ew. Excell. werden aus meiner letzten Depeſche
erſehen haben, wie ſehr man ſich hier bemuͤht hat,
die Verluſte, welche wir erlitten haben, zu uͤber-
treiben. Die Verlegenheit des Grafen Metter-
nich war ſo ſichtlich, daß ich ſie nicht allein dem
Antheil zuſchreiben kann, den er an unſerm Gluͤcke
nimmt. Er ſah aus, als fuͤrchte er fuͤr die Allianz,
und vergaß ſich einigemal ſo ſehr, daß er mir ſagte,
wenn Oeſterreich eine andere Parthie naͤhme, ſo
wuͤrden in kurzer Zeit 50 Millionen Menſchen auf
ſeine Seite treten. Nach ſeiner Meynung wuͤrde
ganz Jtalien und Deutſchland ſich fuͤr daſſelbe er-
klaͤren. Eine ſo ſeltſame und unbegruͤndete
Aeußerung kann ihren Grund nur in Vorſchlaͤgen
haben, die von auswaͤrts an ihn gelangt ſind und
in dem Eindruck, welchen die Debatten des Con-
ſeils, in welchem er gegenwaͤrtig geweſen war, auf
ihn zuruͤckgelaſſen. Man glaubt uns einen Be-
weis einer außerordentlichen Gunſt zu geben, daß
man in einem Augenblick, wo man uns fuͤr ſchwaͤ-
cher haͤlt, als die Ruſſen, die Waffen nicht gegen
uns ergreift. Jch kann ſolchen Meynungen nur
eine ruhige Stellung und das Zutrauen entgegen
ſetzen, welches ich in Frankreichs Obermacht habe,
welche ſo rechtmaͤßig erworben iſt, und die durch
einige voruͤbergehende Nachtheile nicht verlohren
werden kann. Man macht die groͤßten Anſtren-
gungen, um Oeſterreich zu gewinnen; man bietet
Jtalien, die Jllyriſchen Provinzen, die Oberherrſchaft
in Deutſchland, mit einem Worte, die Wiederher-
ſtellung des ehmaligen Glanzes der Kayſ. Krone an.

Unterz.: Otto.


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[[6]/0006] Dans le même temps l’ambassadeur de France à Vienne ayant été chargé de préve- nir le cabinet qu’au moment où la reprise des hostilités se trouverait résolue, des ordres se- raient envoyés au corps auxiliaire pour agir de concert, demanda s’ils seraient ponctuelle- ment exécutés. Ne recevant que des répon- ses vagues et captieuses, il crut devoir saisir cette occasion pour constater enfin par des faits les véritables dispositions du cabinet. Il fit la demande d’une explication formélle par une note du 21 Avril. M. le comte de Metternich répondit le 26. Sa réponse ne laisse plus de doute sur la vo- lonté du cabinet autrichien de ne pas remplir ses obligations. L’Empereur venait déjà de triompher à Lut- zen lorsqu’il reçut le courrier qui lui portait la réponse de l’Autriche. A dater de ce moment les projets du cabi- net de Vienne furent dévoilés. No. 1. Extrait d’nne dépêche de M. le comte Otto, au ministre des rélations extêrieures. Vienne, le 16 Décembre 1812. Monseigneur! J’ai reçu hier par un courier extraordinaire, les dépêches dont V. E. m’a honoré les 3, 4 et 5 Décembre, et je me suis empressé de communiquer au gouvernement autrichien les nouvelles importantes que ces dépêches ren- ferment. Elles ont été accueillies avec le plus vif intérêt. V. E. aura vu, par ma derniere dépêche, combien on avait travaillé ici à exagérer les pertes que nous avons éprouvées. L’embar- ras du comte de Metternich était si visible que je ne puis l’attribuer uniquement à l’in- térêt qu’il prend à nos succès. Il avait l’air de craindre pour l’alliance, et il s’est oublié, plusieurs fois, jusqu’à me dire que si l’Au- triche prenait un autre parti, elle verrait, en peu de tems, plus de 50 millions d’hommes de son côté. Suivant lui, toute l’Allemagne, toute l’ltalie, se déclarerait pour elle. Une insinuation aussi étrange, aussi peu motivée ne peut être due qu’aux propositions qui lui ont été adressées du dehors et à l’impression que lui avaient laissée les débats du conseil auquel il avait assisté. On croit nous faire une faveur particulière en refusant de prendre les armes contre nous, dans un moment où on nous suppose moins forts que les Russes. Je ne puis opposer à de pareils sentimens qu’une attitude calme et la confiance dans la supéri- orité de la France si justement acquise, et que des revers passagers ne pourraient lui ôter. On fait les plus grands efforts pour gagner l’Autriche; on offre l’Italie, les pro- vinces Illyriennes, la suprématie de l’Allema- gne, enfin le rétablissement de l’ancienne splendeur de la couronne impériale. Signé: Otto. Huͤlfs Corps die Befehle, in Uebereinſtimmung zu handeln, zugeſandt werden wuͤrden, ob demſelben puͤnctlich nachgelebt werden wuͤrde? Da er nur unbeſtimmte und verfaͤngliche Antworten erhielt, ſo glaubte er, dieſe Gelegenheit ergreifen zu muͤſſen, um endlich durch Thatſachen die wahre Stimmung des Cabinets heraus zu bringen. Er forderte durch eine Note vom 21ſten April eine foͤrmliche Erklaͤrung. Der Herr Graf Metternich antwortete unterm 26ſten, und ſeine Antwort laͤßt keinen Zweifel uͤber die Abſicht des Oeſterreichiſchen Ca- binets, ſeine Verbindlichkeiten nicht erfuͤllen zu wollen. Der Kayſer hatte bereits zu Luͤtzen triumphirt, als er den Courier erhielt, der die Oeſterreichiſche Antwort brachte. Von dieſer Zeit an lagen die Plane des Wiener Cabinets enthuͤllt da. No. 1. Aus einer Depeſche des Grafen Otto an den Miniſter der auswaͤrtigen Angelegenheiten. Wien, den 16 December 1812. Monſeigneur! Jch habe geſtern durch einen außerordentlichen Courier die Depeſchen erhalten, mit welchen Ew. Excell. mich unterm 3ten, 4ten und 5ten Decem- ber beehret, und ich habe geeilt, der Oeſterreichi- ſchen Regierung die wichtigen Nachrichten mitzu- theilen, die ſie enthielten. Sie wurden mit dem lebhafteſten Jntereſſe aufgenommen. Ew. Excell. werden aus meiner letzten Depeſche erſehen haben, wie ſehr man ſich hier bemuͤht hat, die Verluſte, welche wir erlitten haben, zu uͤber- treiben. Die Verlegenheit des Grafen Metter- nich war ſo ſichtlich, daß ich ſie nicht allein dem Antheil zuſchreiben kann, den er an unſerm Gluͤcke nimmt. Er ſah aus, als fuͤrchte er fuͤr die Allianz, und vergaß ſich einigemal ſo ſehr, daß er mir ſagte, wenn Oeſterreich eine andere Parthie naͤhme, ſo wuͤrden in kurzer Zeit 50 Millionen Menſchen auf ſeine Seite treten. Nach ſeiner Meynung wuͤrde ganz Jtalien und Deutſchland ſich fuͤr daſſelbe er- klaͤren. Eine ſo ſeltſame und unbegruͤndete Aeußerung kann ihren Grund nur in Vorſchlaͤgen haben, die von auswaͤrts an ihn gelangt ſind und in dem Eindruck, welchen die Debatten des Con- ſeils, in welchem er gegenwaͤrtig geweſen war, auf ihn zuruͤckgelaſſen. Man glaubt uns einen Be- weis einer außerordentlichen Gunſt zu geben, daß man in einem Augenblick, wo man uns fuͤr ſchwaͤ- cher haͤlt, als die Ruſſen, die Waffen nicht gegen uns ergreift. Jch kann ſolchen Meynungen nur eine ruhige Stellung und das Zutrauen entgegen ſetzen, welches ich in Frankreichs Obermacht habe, welche ſo rechtmaͤßig erworben iſt, und die durch einige voruͤbergehende Nachtheile nicht verlohren werden kann. Man macht die groͤßten Anſtren- gungen, um Oeſterreich zu gewinnen; man bietet Jtalien, die Jllyriſchen Provinzen, die Oberherrſchaft in Deutſchland, mit einem Worte, die Wiederher- ſtellung des ehmaligen Glanzes der Kayſ. Krone an. Unterz.: Otto.

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Britt-Marie Schuster, Manuel Wille, Arnika Lutz: Bereitstellung der Texttranskription. (2014-07-28T10:00:34Z) Bitte beachten Sie, dass die aktuelle Transkription (und Textauszeichnung) mittlerweile nicht mehr dem Stand zum Zeitpunkt der Übernahme des Werkes in das DTA entsprechen muss.

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Zitationshilfe: Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 170, Hamburg, 23. Oktober 1813, S. [6]. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/hc_1702310_1813/6>, abgerufen am 24.11.2024.