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Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 170, Hamburg, 23. Oktober 1813.

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port il est entre dans le pays et en a par-
couru quelques parties; quels magistrats, mai-
res ou aubergistes lui ont demande son pas-
seport; de quelle maniere on l'a interroge,
et si l'on a ecrit ses reponses; si son passe-
port a ete exactement vise; et, en un mot,
tout ce qui concerce ce passeport. Il sera
dresse proces-verbal de ses reponses a toutes
ces questions, et tire copie du passeport; l'un
et l'autre seront aussitot communiques, dans
les provinces, a la regence provinciale, et
dans cette residence, au president de police,
M. le conseiller d'Etat Lecoq.


Le ministre de la justice,
Kircheisen."


Pieces officieiles.
(Suite. Voir le dernier Nro.)

Dans le meme temps ou l'Autriche avait
propose son entremise a la Russie, elle eu
avait fait la proposition a l'Angleterre qui ne
manqua pas d'observer que les relation con-
stantes de l'Autriche avec la France s'oppo-
saient au succes de cette demarche. Elle fut
en effet sans resultat.

M. le comte de Narbonne fut nomme am-
bassadeur a Vienne. Il arriva a son poste a
la fin de mars. Alors les armees combinees
etaient parvennes sur l'Elbe. Le cabinet au-
trichien marcha plus librement dans son sys-
teme. L'ambassadeur de France ecrivait le
ler Avril: "Nous ne pouvons nous dissimuler
que l'Autriche, soit qu'elle persiste dans l'al-
liance, soit qu'elle veuille se declarer contre
nous, ne peut dans cette circonstance qu'avoir
le meme langage et la meme marche jusqu'au
denouement."

Eclaire par ce trait de lumiere, il parvint
bientot a arracher des aveux qui ne permet-
taient plus de douter que le cabinet de Vienne
ne se faut engage avec nos ennemis.

Le prince de Schwarzenberg, apres de
longs delais, s'etait rendu a Paris, Ce com-
mandant du corps auxiliaire, qui venait au-
pres de son chef pour prendre ses ordres, y
etait encore lorsque l'Empereur, malgre les
declarations dont cet ambassadeur etait por-
teur, sentit la necessite de presser les evene-
mens de la guerre pour arreter, s'il etait pos-
sible, les determinations vers lesquelles l'Au-
triche marchait a grands pas.

Le prince de Schwarzenberg, reste a Paris
apres le depart de l'Empereur, remit le 22
Avril une note dans laquelle il declarait en-
core que si quelques-unes des stipulations de
l'alliance n'etaient pas applicables aux cir-
constances du moment, l'Empereur Francois
ne trouvait pas un mot a changer a ces bases.
Il repeta en meme temps de bouche, au duc
de Bassano, la declaration qu'il avait deja
faite a l'Empereur, que quand les ordres par-
viendraient au corps auxiliaire, il ne doutait
pas que le commandant provisoire n'obeit.


[Spaltenumbruch]

verhört und ob man seine Antworten aufgeschrie-
ben hat? ob sein Paß genan visirt worden? und
überhaupt alles, was diesen Paß betrift. Ueber
alle Antworten auf diese Fragen soll ein Protocoll
aufgesetzt und von dem Paß eine Abschrift genom-
men werden. Beyde sind sogleich in den Provin-
zen an die Provinzial-Regierung, und in hiesiger
Residenz an den Polizey-Präsidenten, den Herrn
Staatsrath Lecoq einzusenden.


Der Justizminister Kircheisen."


Officielle Actenstücke.
(Fortsetzung. M. s. die letzte Zeit.)

seine Vermittlung vorgeschlagen hatte, machte es
einen gleichen Antrag an England, welches nicht
zu bemerken unterließ, daß die fortdauernden Ver-
bindungen Oesterreichs mit Frankreich, dem Erfolge
dieses Schritts im Wege seyn. Er hatte auch
würklich keinen Erfolg.

Der Graf Narbonne wurde zum Bothschafter in
Wien ernannt, und traf zu Ende des März auf
seinem Posten ein. Damals waren die verbünde-
ten Heere an der Elbe angekommen. Das Oester-
reichische Cabinet hatte nun einen freyern Gang
in seinem Systeme. Unterm 1sten April schrieb
der Französische Bothschafter: "Wir können Jhnen
nicht verhehlen, daß Oesterreich bis zur Entwicke-
lung die nämliche Sprache führen und denselben
Gang gehen muß, es sey nun, daß es unter diesen
Umständen seiner Allianz treu bleiben oder sich ge-
gen uns erklären wolle." Durch diesen Lichtstrahl
erleuchtet, gelang es ihm bald, Bekenntnisse zu er-
halten, die keinen Augenblick zweifeln ließen, daß
das Wiener Cabinet mit unsern Feinden in Ver-
bindungen getreten.

Der Fürst von Schwarzenberg hatte sich nach lan-
gem Zögern nach Paris begeben. "Dieser Com-
mandant des Hülfs Corps, der sich zu seinem Chef
verfügte, um dessen Befehle zu empfangen," war
noch daselbst, als der Kayser, trotz den Erklärun-
gen, deren Ueberbringer er als Bothschafter gewe-
sen war, die Nothwendigkeit einsah, die Begeben-
heiten des Kriegs beschleunigen zu müssen, um,
wenn es möglich, die Ausführung des Entschlusses
aufzuhalten, dem Oesterreich sich mit großen Schrit-
ten näherte.

Der Fürst von Schwarzenberg, der nach des Kay-
sers Abreise zu Paris verblieben war, übergab am
22sten April eine Note, in welcher er erklärte,
daß, wenn einige Bestimmungen der Allianz auf
die Umstände des Augenblicks nicht anwendbar seyn
sollten, der Kayser Franz doch in den Grundlagen
derselben nicht ein Wort zu verändern finde.
Er wiederholte dem Herzoge von Bassano zugleich
mündlich die bereits dem Kayser gemachte Erklä-
rung, wie er nicht zweifle, daß, wenn Ordres an
das Hülfs Corps erlassen würden, der provisorische
Commandant sie befolgen werde.

Zur nämlichen Zeit fragte der Französ. Both-
schafter zu Wien, der den Auftrag hatte, dem Ca-
binet zu melden, daß, sobald der Wieder-Ausbruch
der Feindseligkeiten beschlossen wäre, auch dem


[Spaltenumbruch]

port il est entré dans le pays et en a par-
couru quelques parties; quels magistrats, mai-
res ou aubergistes lui ont demandé son pas-
seport; de quelle manière on l’a interrogé,
et si l’on a écrit ses réponses; si son passe-
port a été exactement visé; et, en un mot,
tout ce qui concerce ce passeport. Il sera
dressé procès-verbal de ses réponses à toutes
ces questions, et tiré copie du passeport; l’un
et l’autre seront aussitôt communiqués, dans
les provinces, à la régence provinciale, et
dans cette résidence, au président de police,
M. le conseiller d’Etat Lecoq.


Le ministre de la justice,
Kircheisen.


Pièces officieiles.
(Suite. Voir le dernier Nro.)

Dans le même temps où l’Autriche avait
proposé son entremise à la Russie, elle eu
avait fait la proposition à l’Angleterre qui ne
manqua pas d’observer que les relation con-
stantes de l’Autriche avec la France s’oppo-
saient au succès de cette démarche. Elle fut
en effet sans résultat.

M. le comte de Narbonne fut nommé am-
bassadeur à Vienne. Il arriva à son poste à
la fin de mars. Alors les armées combinées
étaient parvennes sur l’Elbe. Le cabinet au-
trichien marcha plus librement dans son sys-
tême. L’ambassadeur de France écrivait le
ler Avril: „Nous ne pouvons nous dissimuler
que l’Autriche, soit qu’elle persiste dans l’al-
liance, soit qu’elle veuille se déclarer contre
nous, ne peut dans cette circonstance qu’avoir
le même langage et la même marche jusqu’au
dénouement.“

Eclairé par ce trait de lumière, il parvint
bientôt à arracher des aveux qui ne permet-
taient plus de douter que le cabinet de Vienne
ne se fût engagé avec nos ennemis.

Le prince de Schwarzenberg, après de
longs délais, s’était rendu à Paris, Ce com-
mandant du corps auxiliaire, qui venait au-
près de son chef pour prendre ses ordres, y
était encore lorsque l’Empereur, malgré les
déclarations dont cet ambassadeur était por-
teur, sentit la nécessité de presser les événe-
mens de la guerre pour arrêter, s’il était pos-
sible, les déterminations vers lesquelles l’Au-
triche marchait à grands pas.

Le prince de Schwarzenberg, resté à Paris
après le départ de l’Empereur, remit le 22
Avril une note dans laquelle il déclarait en-
core que si quelques-unes des stipulations de
l’alliance n’étaient pas applicables aux cir-
constances du moment, l’Empereur François
ne trouvait pas un mot à changer à ces bases.
Il répéta en même temps de bouche, au duc
de Bassano, la déclaration qu’il avait déjà
faite à l’Empereur, que quand les ordres par-
viendraient au corps auxiliaire, il ne doutait
pas que le commandant provisoire n’obéit.


[Spaltenumbruch]

verhoͤrt und ob man ſeine Antworten aufgeſchrie-
ben hat? ob ſein Paß genan viſirt worden? und
uͤberhaupt alles, was dieſen Paß betrift. Ueber
alle Antworten auf dieſe Fragen ſoll ein Protocoll
aufgeſetzt und von dem Paß eine Abſchrift genom-
men werden. Beyde ſind ſogleich in den Provin-
zen an die Provinzial-Regierung, und in hieſiger
Reſidenz an den Polizey-Praͤſidenten, den Herrn
Staatsrath Lecoq einzuſenden.


Der Juſtizminiſter Kircheiſen.


Officielle Actenſtuͤcke.
(Fortſetzung. M. ſ. die letzte Zeit.)

ſeine Vermittlung vorgeſchlagen hatte, machte es
einen gleichen Antrag an England, welches nicht
zu bemerken unterließ, daß die fortdauernden Ver-
bindungen Oeſterreichs mit Frankreich, dem Erfolge
dieſes Schritts im Wege ſeyn. Er hatte auch
wuͤrklich keinen Erfolg.

Der Graf Narbonne wurde zum Bothſchafter in
Wien ernannt, und traf zu Ende des Maͤrz auf
ſeinem Poſten ein. Damals waren die verbuͤnde-
ten Heere an der Elbe angekommen. Das Oeſter-
reichiſche Cabinet hatte nun einen freyern Gang
in ſeinem Syſteme. Unterm 1ſten April ſchrieb
der Franzoͤſiſche Bothſchafter: “Wir koͤnnen Jhnen
nicht verhehlen, daß Oeſterreich bis zur Entwicke-
lung die naͤmliche Sprache fuͤhren und denſelben
Gang gehen muß, es ſey nun, daß es unter dieſen
Umſtaͤnden ſeiner Allianz treu bleiben oder ſich ge-
gen uns erklaͤren wolle.” Durch dieſen Lichtſtrahl
erleuchtet, gelang es ihm bald, Bekenntniſſe zu er-
halten, die keinen Augenblick zweifeln ließen, daß
das Wiener Cabinet mit unſern Feinden in Ver-
bindungen getreten.

Der Fuͤrſt von Schwarzenberg hatte ſich nach lan-
gem Zoͤgern nach Paris begeben. “Dieſer Com-
mandant des Huͤlfs Corps, der ſich zu ſeinem Chef
verfuͤgte, um deſſen Befehle zu empfangen,” war
noch daſelbſt, als der Kayſer, trotz den Erklaͤrun-
gen, deren Ueberbringer er als Bothſchafter gewe-
ſen war, die Nothwendigkeit einſah, die Begeben-
heiten des Kriegs beſchleunigen zu muͤſſen, um,
wenn es moͤglich, die Ausfuͤhrung des Entſchluſſes
aufzuhalten, dem Oeſterreich ſich mit großen Schrit-
ten naͤherte.

Der Fuͤrſt von Schwarzenberg, der nach des Kay-
ſers Abreiſe zu Paris verblieben war, uͤbergab am
22ſten April eine Note, in welcher er erklaͤrte,
daß, wenn einige Beſtimmungen der Allianz auf
die Umſtaͤnde des Augenblicks nicht anwendbar ſeyn
ſollten, der Kayſer Franz doch in den Grundlagen
derſelben nicht ein Wort zu veraͤndern finde.
Er wiederholte dem Herzoge von Baſſano zugleich
muͤndlich die bereits dem Kayſer gemachte Erklaͤ-
rung, wie er nicht zweifle, daß, wenn Ordres an
das Huͤlfs Corps erlaſſen wuͤrden, der proviſoriſche
Commandant ſie befolgen werde.

Zur naͤmlichen Zeit fragte der Franzoͤſ. Both-
ſchafter zu Wien, der den Auftrag hatte, dem Ca-
binet zu melden, daß, ſobald der Wieder-Ausbruch
der Feindſeligkeiten beſchloſſen waͤre, auch dem


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[[5]/0005] port il est entré dans le pays et en a par- couru quelques parties; quels magistrats, mai- res ou aubergistes lui ont demandé son pas- seport; de quelle manière on l’a interrogé, et si l’on a écrit ses réponses; si son passe- port a été exactement visé; et, en un mot, tout ce qui concerce ce passeport. Il sera dressé procès-verbal de ses réponses à toutes ces questions, et tiré copie du passeport; l’un et l’autre seront aussitôt communiqués, dans les provinces, à la régence provinciale, et dans cette résidence, au président de police, M. le conseiller d’Etat Lecoq. Berlin, le 15 Septembre 1813. Le ministre de la justice, Kircheisen.” Paris, le 5 Octobre. Pièces officieiles. (Suite. Voir le dernier Nro.) Dans le même temps où l’Autriche avait proposé son entremise à la Russie, elle eu avait fait la proposition à l’Angleterre qui ne manqua pas d’observer que les relation con- stantes de l’Autriche avec la France s’oppo- saient au succès de cette démarche. Elle fut en effet sans résultat. M. le comte de Narbonne fut nommé am- bassadeur à Vienne. Il arriva à son poste à la fin de mars. Alors les armées combinées étaient parvennes sur l’Elbe. Le cabinet au- trichien marcha plus librement dans son sys- tême. L’ambassadeur de France écrivait le ler Avril: „Nous ne pouvons nous dissimuler que l’Autriche, soit qu’elle persiste dans l’al- liance, soit qu’elle veuille se déclarer contre nous, ne peut dans cette circonstance qu’avoir le même langage et la même marche jusqu’au dénouement.“ Eclairé par ce trait de lumière, il parvint bientôt à arracher des aveux qui ne permet- taient plus de douter que le cabinet de Vienne ne se fût engagé avec nos ennemis. Le prince de Schwarzenberg, après de longs délais, s’était rendu à Paris, Ce com- mandant du corps auxiliaire, qui venait au- près de son chef pour prendre ses ordres, y était encore lorsque l’Empereur, malgré les déclarations dont cet ambassadeur était por- teur, sentit la nécessité de presser les événe- mens de la guerre pour arrêter, s’il était pos- sible, les déterminations vers lesquelles l’Au- triche marchait à grands pas. Le prince de Schwarzenberg, resté à Paris après le départ de l’Empereur, remit le 22 Avril une note dans laquelle il déclarait en- core que si quelques-unes des stipulations de l’alliance n’étaient pas applicables aux cir- constances du moment, l’Empereur François ne trouvait pas un mot à changer à ces bases. Il répéta en même temps de bouche, au duc de Bassano, la déclaration qu’il avait déjà faite à l’Empereur, que quand les ordres par- viendraient au corps auxiliaire, il ne doutait pas que le commandant provisoire n’obéit. verhoͤrt und ob man ſeine Antworten aufgeſchrie- ben hat? ob ſein Paß genan viſirt worden? und uͤberhaupt alles, was dieſen Paß betrift. Ueber alle Antworten auf dieſe Fragen ſoll ein Protocoll aufgeſetzt und von dem Paß eine Abſchrift genom- men werden. Beyde ſind ſogleich in den Provin- zen an die Provinzial-Regierung, und in hieſiger Reſidenz an den Polizey-Praͤſidenten, den Herrn Staatsrath Lecoq einzuſenden. Berlin, den 15ten Sept. 1813. Der Juſtizminiſter Kircheiſen.” Paris, den 5 October. Officielle Actenſtuͤcke. (Fortſetzung. M. ſ. die letzte Zeit.) ſeine Vermittlung vorgeſchlagen hatte, machte es einen gleichen Antrag an England, welches nicht zu bemerken unterließ, daß die fortdauernden Ver- bindungen Oeſterreichs mit Frankreich, dem Erfolge dieſes Schritts im Wege ſeyn. Er hatte auch wuͤrklich keinen Erfolg. Der Graf Narbonne wurde zum Bothſchafter in Wien ernannt, und traf zu Ende des Maͤrz auf ſeinem Poſten ein. Damals waren die verbuͤnde- ten Heere an der Elbe angekommen. Das Oeſter- reichiſche Cabinet hatte nun einen freyern Gang in ſeinem Syſteme. Unterm 1ſten April ſchrieb der Franzoͤſiſche Bothſchafter: “Wir koͤnnen Jhnen nicht verhehlen, daß Oeſterreich bis zur Entwicke- lung die naͤmliche Sprache fuͤhren und denſelben Gang gehen muß, es ſey nun, daß es unter dieſen Umſtaͤnden ſeiner Allianz treu bleiben oder ſich ge- gen uns erklaͤren wolle.” Durch dieſen Lichtſtrahl erleuchtet, gelang es ihm bald, Bekenntniſſe zu er- halten, die keinen Augenblick zweifeln ließen, daß das Wiener Cabinet mit unſern Feinden in Ver- bindungen getreten. Der Fuͤrſt von Schwarzenberg hatte ſich nach lan- gem Zoͤgern nach Paris begeben. “Dieſer Com- mandant des Huͤlfs Corps, der ſich zu ſeinem Chef verfuͤgte, um deſſen Befehle zu empfangen,” war noch daſelbſt, als der Kayſer, trotz den Erklaͤrun- gen, deren Ueberbringer er als Bothſchafter gewe- ſen war, die Nothwendigkeit einſah, die Begeben- heiten des Kriegs beſchleunigen zu muͤſſen, um, wenn es moͤglich, die Ausfuͤhrung des Entſchluſſes aufzuhalten, dem Oeſterreich ſich mit großen Schrit- ten naͤherte. Der Fuͤrſt von Schwarzenberg, der nach des Kay- ſers Abreiſe zu Paris verblieben war, uͤbergab am 22ſten April eine Note, in welcher er erklaͤrte, daß, wenn einige Beſtimmungen der Allianz auf die Umſtaͤnde des Augenblicks nicht anwendbar ſeyn ſollten, der Kayſer Franz doch in den Grundlagen derſelben nicht ein Wort zu veraͤndern finde. Er wiederholte dem Herzoge von Baſſano zugleich muͤndlich die bereits dem Kayſer gemachte Erklaͤ- rung, wie er nicht zweifle, daß, wenn Ordres an das Huͤlfs Corps erlaſſen wuͤrden, der proviſoriſche Commandant ſie befolgen werde. Zur naͤmlichen Zeit fragte der Franzoͤſ. Both- ſchafter zu Wien, der den Auftrag hatte, dem Ca- binet zu melden, daß, ſobald der Wieder-Ausbruch der Feindſeligkeiten beſchloſſen waͤre, auch dem

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Zitationshilfe: Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 170, Hamburg, 23. Oktober 1813, S. [5]. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/hc_1702310_1813/5>, abgerufen am 02.05.2024.