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Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 170, Hamburg, 23. Oktober 1812.

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ligne de Caucase. Lorsque la France, alliee
de la cour de Petersbourg, cherchoit egale-
ment a former des liaisons amicales avec celle
de Theheran, nous employames le moyen le
plus efficace pour empecher le souverain de
la Perse, Fath-Ali-Schah, d'ecouter les con-
seils des envoyes francais; d'immenses tresors
furent prodignes aux grands de la cour per-
sane; notre ambassadeur, a son entree a The-
heran, repandit meme les guinees a pleines
mains parmi la populace. Nous reussimes a
faire eloigner les francais; maeis ils ne se re-
tirerent qu'a Tauris, aupres du prince heredi-
taire, fil; aeine de Fath-Ali-Schah; nous paya-
mes encore un demi-million de livres sterling
pour les faire eloigner de Tauris, et pour
nous trouver les seuls Europeens en relation
avec la cour de Perse. Ayant ensuite repre-
sente au monarque persan que les Russes
etoient un peuple barbare, effroyable, tou-
jours avide de butin, et braulaut du desir de
subjuguer tous ses voisins, nous parveinmes a
placer a la tete des armees persanes un cer-
tain nombre d'officiers anglais, qui depuis un
an ont dirige toutes les operations de ces
troupes contre la Russie. Aujourd'hui que la
Russie, en redevenant notre alliee, est rede-
venne une nation chretienne, nous voudrions
bien retenir les armees persanes, qui necessi-
tent la presence de 40 a 50000 Russes sur la
frontiere de Caucase, force considerable dont
les generaux Kutusow et Bagration auroient
grand besoin. Un courrier a ete envoye en
Perse a travers la Russie, pour tacher d'insi-
nuer a la cour de Theheran qu'elle doit chan-
ger de sentimens, parce que nous en avons
change; mais nous apprenons avec beaucoup
de chagrin que le monarque persan, apprecia-
teur eclaire de nos guinees, apres nous avoir
pris cinq a six millions de livres sterling pour
faire la guerre aux Russes, allies de la France,
nous demande encore une somme egale pour
cesser d'attaquer les Russes, ennemis de la
France. Ce monarque pretend que ses arme-
mens, quoique faits a nos depeus, doivent lui
rapporter ou de l'argent, ou des conquetes;
il ne veut laisser la Russie tranquille qu'a
condition qu'elle lui cede la Georgie et le
Schirvan, provinces deja incorporees a l'Em-
pire russe.


La sante de S. M. le roi de Rome conti-
nue a se fortifier de jour en jour. Ses facul-
tes se developpent a vue d'oeil. Il y a deja
quelque temps qu'il marche seul. Il fait sou-
vent des promenades dans les environs de
Saint-Cloud, accompagne de sa gouvernante
et des officiers de sa maison, et partout on
fait eclater a sa vue les marques du plus ten-
dre interet.

Trois jours avant l'arreivee des Francais a
Moscou, les habitans de cette capitale avoient
arrete qu'il seroit fait present, en leur nom,
de 200000 roubles en especes au general russe

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gen mit dem Hofe zu Teheran zu knüpfen suchte,
so wandten wir das kräftigste Mittel an, den Per-
sischen Souverain, Fath-Ali-Schach, abzuhalten,
den Rathschlägen des Französischen Abgesandten
Gehör zu geben. Ungeheure Schätze wurden
an die Großen des Persischen Hofs verschwendet.
Bey seinem Einzuge in Teheran streute unser Am-
bassadeur selbst die Guineen mit vollen Händen
unter das Volk aus. Es gelang uns, die Fran-
zosen zu entfernen; sie zogen sich aber nur bis
Tauris, zu dem Erbprinzen, dem ältesten Sohne
von Fath-Ali-Schach, zurück. Um sie auch von
Tauris zu entfernen und um die einzigen Euro-
päer zu seyn, die mit dem Persischen Hofe in Ver-
hältnissen ständen, bezahlten wir noch eine halbe
Million Pfund Sterling. Als wir hernach dem
Persischen Monarchen vorgestellt hatten, daß die
Russen ein barbarisches, schreckliches und raubsüch-
tiges Volk wären, welches alle seine Nachbaren
zu unterjochen suche, so brachten wir es dahin,
daß eine gewisse Anzahl Englischer Officiers an
die Spitze der Persischen Armeen gestellt wurden,
die seitdem alle Operationen dieser Truppen gegen
Rußland dirigirt haben. Jetzt, da Rußland, in-
dem es wieder unser Alliirter ist, wieder zu einer
Christlichen Nation geworden, wollten wir wol die
Persischen Armeen zurückhalten, welche die Gegen-
wart von 40 bis 50000 Russen an der Gränze des
Caucasus erfordert; eine beträchtliche Macht, de-
ren die Generals Kutusow und Bagration sehr bedürf-
ten. Es ist daher durch Rußland ein Courier nach
Persien geschickt worden, um dem Hofe zu Tehe-
ran vorzustellen, daß er seine Gesinnungen verän-
dern muß, weil wir sie verändert haben; aber mit
vielem Bedauern vernehmen wir, daß der Persische
Monarch, der auf eine aufgeklärte Art unsre Gui-
neen zu schätzen weiß, nachdem er uns 5 bis 6 Mil-
lionen Pfund Sterling abgenommen, um gegen
die Russen, die Alliirten von Frankreich, Krieg zu
führen, jetzt eine gleiche Summe von uns ver-
langt, wenn er aufhören soll, die Russen, die Feinde
Frankreichs, anzugreifen. Dieser Monarch behaup-
tet, daß seine Rüstungen, obgleich sie auf unsere
Kosten geschehen sind, ihm Geld oder Eroberun-
gen einbringen müssen. Er will Rußland nicht in
Frieden lassen, als wenn es ihm Georgien und
Schirvan, Provinzen abtritt, die schon dem Rußi-
schen Reiche einverleibt worden.


Die Gesundheit Sr. Majestät, des Königs von
Rom, wird täglich stärker. Seine Kräfte ent-
wickeln sich zusehends. Seit einiger Zeit geht er
schon allein. Oft macht er in der Gegend von St.
Cloud Spaziergänge, begleitet von seiner Gouver-
nante und von den Officiers seines Hauses.
Ueberall giebt man bey seinem Anblick die Beweise
der zärtlichsten Theilnahme zu erkennen.

Drey Tage vor der Ankunft der Franzosen zu
Mosca[u] hatten die Einwohner dieser Hauptstadt
beschlossen, daß in ihrem Namen dem Rußischen
General, Grafen Wittgenstein, ein Geschenk von
200000 Rubeln gemacht und daß ihm diese Summe

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ligne de Caucase. Lorsque la France, alliée
de la cour de Petersbourg, cherchoit égale-
ment à former des liaisons amicales avec celle
de Théheran, nous employames le moyen le
plus efficace pour empècher le souverain de
la Perse, Fath-Ali-Schah, d’écouter les con-
seils des envoyés français; d’immenses trésors
furent prodignés aux grands de la cour per-
sane; notre ambassadeur, à son entrée à Thé-
heran, répandit même les guinées à pleines
mains parmi la populace. Nous réussimes à
faire éloigner les français; maîs ils ne se re-
tirèrent qu’a Tauris, auprès du prince hérédi-
taire, fil; aîné de Fath-Ali-Schah; nous payà-
mes encore un demi-million de livres sterling
pour les faire éloigner de Tauris, et pour
nous trouver les seuls Européens en relation
avec la cour de Perse. Ayant ensuite repré-
senté au monarque persan que les Russes
étoient un peuple barbare, effroyable, tou-
jours avide de butin, et brûlaut du desir de
subjuguer tous ses voisins, nous parvînmes à
placer à la téte des armées persanes un cer-
tain nombre d’officiers anglais, qui depuis un
an ont dirigé toutes les opérations de ces
troupes contre la Russie. Aujourd’hui que la
Russie, en redevenant notre alliée, est rede-
venne une nation chrétienne, nous voudrions
bien retenir les armées persanes, qui nécessi-
tent la présence de 40 à 50000 Russes sur la
frontière de Caucase, force considérable dont
les généraux Kutusow et Bagration auroient
grand besoin. Un courrier a été envoyé en
Perse à travers la Russie, pour tacher d’insi-
nuer à la cour de Théhéran qu’elle doit chan-
ger de sentimens, parce que nous en avons
changé; mais nous apprenons avec beaucoup
de chagrin que le monarque persan, apprecia-
teur éclairé de nos guinées, après nous avoir
pris cinq a six millions de livres sterling pour
faire la guerre aux Russes, alliés de la France,
nous demande encore une somme égale pour
cesser d’attaquer les Russes, ennemis de la
France. Ce monarque pretend que ses arme-
mens, quoique faits à nos dépeus, doivent lui
rapporter ou de l’argent, ou des conquêtes;
il ne veut laisser la Russie tranquille qu’à
condition qu’elle lui cêde la Georgie et le
Schirvan, provinces déjà incorporées à l’Em-
pire russe.


La santé de S. M. le roi de Rome conti-
nue à se fortifier de jour en jour. Ses facul-
tés se développent à vue d’oeil. Il y a déjà
quelque temps qu’il marche seul. Il fait sou-
vent des promenades dans les environs de
Saint-Cloud, accompagné de sa gouvernante
et des officiers de sa maison, et partout on
fait éclater à sa vue les marques du plus ten-
dre intérêt.

Trois jours avant l’arrîvée des Français à
Moscou, les habitans de cette capitale avoient
arrêté qu’il seroit fait présent, en leur nom,
de 200000 roubles en espèces au général russe

[Spaltenumbruch]

gen mit dem Hofe zu Teheran zu knuͤpfen ſuchte,
ſo wandten wir das kraͤftigſte Mittel an, den Per-
ſiſchen Souverain, Fath-Ali-Schach, abzuhalten,
den Rathſchlaͤgen des Franzoͤſiſchen Abgeſandten
Gehoͤr zu geben. Ungeheure Schaͤtze wurden
an die Großen des Perſiſchen Hofs verſchwendet.
Bey ſeinem Einzuge in Teheran ſtreute unſer Am-
baſſadeur ſelbſt die Guineen mit vollen Haͤnden
unter das Volk aus. Es gelang uns, die Fran-
zoſen zu entfernen; ſie zogen ſich aber nur bis
Tauris, zu dem Erbprinzen, dem aͤlteſten Sohne
von Fath-Ali-Schach, zuruͤck. Um ſie auch von
Tauris zu entfernen und um die einzigen Euro-
paͤer zu ſeyn, die mit dem Perſiſchen Hofe in Ver-
haͤltniſſen ſtaͤnden, bezahlten wir noch eine halbe
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Perſiſchen Monarchen vorgeſtellt hatten, daß die
Ruſſen ein barbariſches, ſchreckliches und raubſuͤch-
tiges Volk waͤren, welches alle ſeine Nachbaren
zu unterjochen ſuche, ſo brachten wir es dahin,
daß eine gewiſſe Anzahl Engliſcher Officiers an
die Spitze der Perſiſchen Armeen geſtellt wurden,
die ſeitdem alle Operationen dieſer Truppen gegen
Rußland dirigirt haben. Jetzt, da Rußland, in-
dem es wieder unſer Alliirter iſt, wieder zu einer
Chriſtlichen Nation geworden, wollten wir wol die
Perſiſchen Armeen zuruͤckhalten, welche die Gegen-
wart von 40 bis 50000 Ruſſen an der Graͤnze des
Caucaſus erfordert; eine betraͤchtliche Macht, de-
ren die Generals Kutuſow und Bagration ſehr beduͤrf-
ten. Es iſt daher durch Rußland ein Courier nach
Perſien geſchickt worden, um dem Hofe zu Tehe-
ran vorzuſtellen, daß er ſeine Geſinnungen veraͤn-
dern muß, weil wir ſie veraͤndert haben; aber mit
vielem Bedauern vernehmen wir, daß der Perſiſche
Monarch, der auf eine aufgeklaͤrte Art unſre Gui-
neen zu ſchaͤtzen weiß, nachdem er uns 5 bis 6 Mil-
lionen Pfund Sterling abgenommen, um gegen
die Ruſſen, die Alliirten von Frankreich, Krieg zu
fuͤhren, jetzt eine gleiche Summe von uns ver-
langt, wenn er aufhoͤren ſoll, die Ruſſen, die Feinde
Frankreichs, anzugreifen. Dieſer Monarch behaup-
tet, daß ſeine Ruͤſtungen, obgleich ſie auf unſere
Koſten geſchehen ſind, ihm Geld oder Eroberun-
gen einbringen muͤſſen. Er will Rußland nicht in
Frieden laſſen, als wenn es ihm Georgien und
Schirvan, Provinzen abtritt, die ſchon dem Rußi-
ſchen Reiche einverleibt worden.


Die Geſundheit Sr. Majeſtaͤt, des Koͤnigs von
Rom, wird taͤglich ſtaͤrker. Seine Kraͤfte ent-
wickeln ſich zuſehends. Seit einiger Zeit geht er
ſchon allein. Oft macht er in der Gegend von St.
Cloud Spaziergaͤnge, begleitet von ſeiner Gouver-
nante und von den Officiers ſeines Hauſes.
Ueberall giebt man bey ſeinem Anblick die Beweiſe
der zaͤrtlichſten Theilnahme zu erkennen.

Drey Tage vor der Ankunft der Franzoſen zu
Mosca[u] hatten die Einwohner dieſer Hauptſtadt
beſchloſſen, daß in ihrem Namen dem Rußiſchen
General, Grafen Wittgenſtein, ein Geſchenk von
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[[2]/0002] ligne de Caucase. Lorsque la France, alliée de la cour de Petersbourg, cherchoit égale- ment à former des liaisons amicales avec celle de Théheran, nous employames le moyen le plus efficace pour empècher le souverain de la Perse, Fath-Ali-Schah, d’écouter les con- seils des envoyés français; d’immenses trésors furent prodignés aux grands de la cour per- sane; notre ambassadeur, à son entrée à Thé- heran, répandit même les guinées à pleines mains parmi la populace. Nous réussimes à faire éloigner les français; maîs ils ne se re- tirèrent qu’a Tauris, auprès du prince hérédi- taire, fil; aîné de Fath-Ali-Schah; nous payà- mes encore un demi-million de livres sterling pour les faire éloigner de Tauris, et pour nous trouver les seuls Européens en relation avec la cour de Perse. Ayant ensuite repré- senté au monarque persan que les Russes étoient un peuple barbare, effroyable, tou- jours avide de butin, et brûlaut du desir de subjuguer tous ses voisins, nous parvînmes à placer à la téte des armées persanes un cer- tain nombre d’officiers anglais, qui depuis un an ont dirigé toutes les opérations de ces troupes contre la Russie. Aujourd’hui que la Russie, en redevenant notre alliée, est rede- venne une nation chrétienne, nous voudrions bien retenir les armées persanes, qui nécessi- tent la présence de 40 à 50000 Russes sur la frontière de Caucase, force considérable dont les généraux Kutusow et Bagration auroient grand besoin. Un courrier a été envoyé en Perse à travers la Russie, pour tacher d’insi- nuer à la cour de Théhéran qu’elle doit chan- ger de sentimens, parce que nous en avons changé; mais nous apprenons avec beaucoup de chagrin que le monarque persan, apprecia- teur éclairé de nos guinées, après nous avoir pris cinq a six millions de livres sterling pour faire la guerre aux Russes, alliés de la France, nous demande encore une somme égale pour cesser d’attaquer les Russes, ennemis de la France. Ce monarque pretend que ses arme- mens, quoique faits à nos dépeus, doivent lui rapporter ou de l’argent, ou des conquêtes; il ne veut laisser la Russie tranquille qu’à condition qu’elle lui cêde la Georgie et le Schirvan, provinces déjà incorporées à l’Em- pire russe. Extrait d’une lettre de Paris, du 16 Oct. La santé de S. M. le roi de Rome conti- nue à se fortifier de jour en jour. Ses facul- tés se développent à vue d’oeil. Il y a déjà quelque temps qu’il marche seul. Il fait sou- vent des promenades dans les environs de Saint-Cloud, accompagné de sa gouvernante et des officiers de sa maison, et partout on fait éclater à sa vue les marques du plus ten- dre intérêt. Trois jours avant l’arrîvée des Français à Moscou, les habitans de cette capitale avoient arrêté qu’il seroit fait présent, en leur nom, de 200000 roubles en espèces au général russe gen mit dem Hofe zu Teheran zu knuͤpfen ſuchte, ſo wandten wir das kraͤftigſte Mittel an, den Per- ſiſchen Souverain, Fath-Ali-Schach, abzuhalten, den Rathſchlaͤgen des Franzoͤſiſchen Abgeſandten Gehoͤr zu geben. Ungeheure Schaͤtze wurden an die Großen des Perſiſchen Hofs verſchwendet. Bey ſeinem Einzuge in Teheran ſtreute unſer Am- baſſadeur ſelbſt die Guineen mit vollen Haͤnden unter das Volk aus. Es gelang uns, die Fran- zoſen zu entfernen; ſie zogen ſich aber nur bis Tauris, zu dem Erbprinzen, dem aͤlteſten Sohne von Fath-Ali-Schach, zuruͤck. Um ſie auch von Tauris zu entfernen und um die einzigen Euro- paͤer zu ſeyn, die mit dem Perſiſchen Hofe in Ver- haͤltniſſen ſtaͤnden, bezahlten wir noch eine halbe Million Pfund Sterling. Als wir hernach dem Perſiſchen Monarchen vorgeſtellt hatten, daß die Ruſſen ein barbariſches, ſchreckliches und raubſuͤch- tiges Volk waͤren, welches alle ſeine Nachbaren zu unterjochen ſuche, ſo brachten wir es dahin, daß eine gewiſſe Anzahl Engliſcher Officiers an die Spitze der Perſiſchen Armeen geſtellt wurden, die ſeitdem alle Operationen dieſer Truppen gegen Rußland dirigirt haben. Jetzt, da Rußland, in- dem es wieder unſer Alliirter iſt, wieder zu einer Chriſtlichen Nation geworden, wollten wir wol die Perſiſchen Armeen zuruͤckhalten, welche die Gegen- wart von 40 bis 50000 Ruſſen an der Graͤnze des Caucaſus erfordert; eine betraͤchtliche Macht, de- ren die Generals Kutuſow und Bagration ſehr beduͤrf- ten. 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Seine Kraͤfte ent- wickeln ſich zuſehends. Seit einiger Zeit geht er ſchon allein. Oft macht er in der Gegend von St. Cloud Spaziergaͤnge, begleitet von ſeiner Gouver- nante und von den Officiers ſeines Hauſes. Ueberall giebt man bey ſeinem Anblick die Beweiſe der zaͤrtlichſten Theilnahme zu erkennen. Drey Tage vor der Ankunft der Franzoſen zu Moscau hatten die Einwohner dieſer Hauptſtadt beſchloſſen, daß in ihrem Namen dem Rußiſchen General, Grafen Wittgenſtein, ein Geſchenk von 200000 Rubeln gemacht und daß ihm dieſe Summe

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Britt-Marie Schuster, Manuel Wille, Arnika Lutz: Bereitstellung der Texttranskription. (2014-07-28T10:03:05Z) Bitte beachten Sie, dass die aktuelle Transkription (und Textauszeichnung) mittlerweile nicht mehr dem Stand zum Zeitpunkt der Übernahme des Werkes in das DTA entsprechen muss.

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Die Ausgabe enthält französischsprachige Artikel.




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Zitationshilfe: Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 170, Hamburg, 23. Oktober 1812, S. [2]. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/hc_1702310_1812/2>, abgerufen am 24.04.2024.