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Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 169, Hamburg, 22. Oktober 1813.

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[Spaltenumbruch]

Le cabinet de Vienne fit eclater la plus
vive joie; il applaudit aux vues de l'Empe-
reur et les trouva genereuses. Il parut entrer
avec ardeur dans cette carriere ou il aimait
surtout a servir les interets de la France. Il
declara qu'il etait inebranlable dans son sys-
teme; "que l'alliance fondee sur les interets
les plus naturels, les plus germanes, les plus
essentiellement salutaires, devait etre eter-
nelle comme les motifs qui l'avaient fait naei-
tre, que c'etait lui qui l'avait recherchee,
apres avoir bien reflechi; que si elle etait a
refaire, il la voudrait telle qu'elle est; qu'il
ne redoutait pas la France, mais les Russes."
Il protesta du desinteressement de l'Autriche,
qui ne voulait rien pour elle et qui croirait
trop cherement acheter, par une seule cam-
pagne, les aggrandissemens les plus impor-
tans. Il fut jusqu'a prevoir le moment ou, si
les Russes n'adheraient a des propositions
moderees, il employerait contre eux, non le
corps auxiliaire, stipule par le traite d'alli-
ance, non un corps de 70000 hommes, mais
toutes les forces de la monarchie. Il s'enga-
gea enfin a n'agir que comme il conviendrait
a l'Empereur, a ne pas faire un pas a son
inscu, et a lui communiquer toutes ses de-
marches, soit pour amener les negociations,
soit pour les armemens qui devaient soutenir
l'Autriche dans sa nouvelle attitude. Le ca-
binet de Vienne prodiguait ces assurances a
l'ambassadeur de France. Elles etaient l'objet
de la mission extraordinaire du comte de
Bubna a Paris. Il y envoyoit le prince de
Schwarzenberg, pour donner a l'Europe une
preuve eclatante de ses dispositions, en fai-
sant paraeitre a la cour de France le comman-
dant du Corps autrichien, se rendant pres de
son chef pour prendre ses ordres." Enfin il
defendait a ses agens de se servir du mot de
mediation, tandis qu'il ne s'agissait que de
l'intervention d'un allie qui aspire a accelerer
le terme de la guerre. (V. nos 3, 4, 5, 6, 7, 8,
9, 10 et 11, Lettres de M. le compte Otto, des
3, 8, 11, 21, et 26 Janvier, 15 et 17 fevrier, 8
et 20 Mars 1813.) La Russie accepta cette in-
tervention amicale d'une puissance en guerre
avec elle. "Elle fit remarquer que les for-
mes et les usages etaient contraires a cette at-
tribution, mais elle passait sur ces considera-
tions pour donuer a l'Autriche une preuve de
sa confiance et de son estime." Les cabinets
s'etaient entendus d'avance: ce langage etait
concerte.

(La Suite incessamment.)

[Spaltenumbruch]

Darüber äußerte das Wiener Cabinet eine leb-
hafte Freude; es gab den Absichten des Kaysers
seinen Beyfall und nannte sie großmüthig. Er
schien dieses Geschäft mit Eifer anzufangen und
bewies dabey eine besondere Geneigtheit, dem Jn-
teresse Frankreichs zu dienen. Es erklärte, es sey
unerschütterlich in seinem System; "der Bund,
der auf das natürlichste, auf das dauerndste, auf
wesentlich vortheilhafteste Jnteresse geschlossen wor-
den, müsse ewig seyn, wie die Grundsätze, die ihm
das Daseyn gegeben; es sey das Wiener Cabinet,
welches ihn gesucht, nachdem es ihn reiflich erwo-
gen; wenn er noch zu verändern wäre, so würde
es ihn nicht anders wünschen, als er sey; es habe
keine Furcht vor Frankreich, aber wol vor den
Russen. Es betheuerte, die Uneigennützigkeit Oester-
reichs, welche nichts für sich verlange, und welches
die wichtigsten Vergrößerungen für zu theuer er-
kauft durch einen einzigen Feldzug halte." Es sah
selbst den Zeitpunct voraus, wo es, "wenn die
Russen nicht billigen Bedingungen Gehör gäben,
gegen sie nicht allein das in dem Tractat stipulirte
Hülfs-Corps, nicht nur ein Corps von 70000 Mann,
sondern die ganze Macht der Monarchie gebrauchen
werde. Es verband sich endlich, nur so zu verfah-
ren, wie es der Kayser für gut finden würde, und
keinen Schritt ohne sein Vorwissen zu thun, und
ihm alle seine Maaßregeln, es sey nun, daß sie
zur Herbeyführung der Unterhandlungen oder zu
den Bewaffnungen dienten, die Oesterreich in sei-
ner neuen Stellung zu machen habe, mitzutheilen."
Hiemit verband es Versicherungen gegen den Fran-
zösischen Bothschafter. Sie waren der Gegenstand
der außerordentlichen Sendung des Grafen von
Bubua nach Paris. Es sandte auch den Prinzen
von Schwarzenberg dahin ab, "um dem ganzen
Europa einen ausgezeichneten Beweis seiner Ge-
sinnungen zu geben, da es den Commandanten des
Oesterreichischen Corps an dem Hofe von Frank-
reich erscheinen ließ, um von seinem Chef seine
Ordres zu empfangen." Endlich verbot es seinen
Agenten, sich des Worts Vermittelung zu bedie-
nen, da hier nur die Rede von dem Bestreben eines
Bundesgenossen sey, der das Ende des Kriegs zu
beschleunigen wünsche. (M. s. No. 3 -- 11 der
Briefe des Gräfen Otto) Rußland nahm die
Zwischenkunft einer mit ihm im Kriege begriffenen
Macht an. Es bemerkte: "Form und Gebräuche
seyen diesem Geschäfte zuwider, aber es wolle diese
Betrachtungen unterdrücken, um Oesterreich einen
Beweis seines Zutrauens und seiner Achtung zu
geben." Diese Cabinette waren schon vorher ein-
verstanden; diese Sprache war verabredet.

(Die Fortsetzung nächstens.)

[Ende Spaltensatz]



[Beginn Spaltensatz]
Regensburg.

Am 5ten September erneuerte
die Evangelische Gemeinde zu Regensburg in feyer-
lichen Gottesverehrungen das Andenken an die Be-
freyung Regensburg von der vom Julii 1713 bis
Februar 1714 herrschenden Pest.

Jn den letzten
Tagen haben Se. Majestät mit den hier versam-
[Spaltenumbruch] melten Regimentern verschiedene große Manövres,
sowol auf der Jnsel Amack, als auf der östlichen
Seite der Stadt executirt. -- Die Preise der Spe-
cies haben in diesen Tagen sehr variirt. Sie stie-
gen binnen 2 Tagen von 40 Rthlr. zu 98 Rthlr.
und fielen gleich darauf auf 70. Eben so verän-
dert der Waarenpreis sich von Tage zu Tage,

[Spaltenumbruch]

Le cabinet de Vienne fit éclater la plus
vive joie; il applaudit aux vues de l’Empe-
reur et les trouva généreuses. Il parut entrer
avec ardeur dans cette carriére où il aimait
surtout à servir les intérêts de la France. Il
déclara qu’il était inébranlable dans son sys-
tême; „que l’alliance fondée sur les intérêts
les plus naturels, les plus germanes, les plus
essentiellement salutaires, devait être éter-
nelle comme les motifs qui l’avaient fait naî-
tre, que c’était lui qui l’avait recherchée,
après avoir bien réfléchi; que si elle était à
refaire, il la voudrait telle qu’elle est; qu’il
ne redoutait pas la France, mais les Russes.“
Il protesta du désintéressement de l’Autriche,
qui ne voulait rien pour elle et qui croirait
trop chèrement acheter, par une seule cam-
pagne, les aggrandissemens les plus impor-
tans. Il fut jusqu’a prévoir le moment où, si
les Russes n’adhéraient à des propositions
modérées, il employerait contre eux, non le
corps auxiliaire, stipulé par le traité d’alli-
ance, non un corps de 70000 hommes, mais
toutes les forces de la monarchie. Il s’enga-
gea enfin à n’agir que comme il conviendrait
à l’Empereur, à ne pas faire un pas à son
insçu, et à lui communiquer toutes ses dé-
marches, soit pour amener les négociations,
soit pour les armemens qui devaient soutenir
l’Autriche dans sa nouvelle attitude. Le ca-
binet de Vienne prodiguait ces assurances à
l’ambassadeur de France. Elles étaient l’objet
de la mission extraordinaire du comte de
Bubna à Paris. Il y envoyoit le prince de
Schwarzenberg, pour donner à l’Europe une
preuve éclatante de ses dispositions, en fai-
sant paraître à la cour de France le comman-
dant du Corps autrichien, se rendant près de
son chef pour prendre ses ordres.“ Enfin il
défendait à ses agens de se servir du mot de
médiation, tandis qu’il ne s’agissait que de
l’intervention d’un allié qui aspire à accélérer
le terme de la guerre. (V. nos 3, 4, 5, 6, 7, 8,
9, 10 et 11, Lettres de M. le compte Otto, des
3, 8, 11, 21, et 26 Janvier, 15 et 17 février, 8
et 20 Mars 1813.) La Russie accepta cette in-
tervention amicale d’une puissance en guerre
avec elle. „Elle fit remarquer que les for-
mes et les usages étaient contraires à cette at-
tribution, mais elle passait sur ces considéra-
tions pour donuer à l’Autriche une preuve de
sa confiance et de son estime.“ Les cabinets
s’étaient entendus d’avance: ce langage était
concerté.

(La Suite incessamment.)

[Spaltenumbruch]

Daruͤber aͤußerte das Wiener Cabinet eine leb-
hafte Freude; es gab den Abſichten des Kayſers
ſeinen Beyfall und nannte ſie großmuͤthig. Er
ſchien dieſes Geſchaͤft mit Eifer anzufangen und
bewies dabey eine beſondere Geneigtheit, dem Jn-
tereſſe Frankreichs zu dienen. Es erklaͤrte, es ſey
unerſchuͤtterlich in ſeinem Syſtem; “der Bund,
der auf das natuͤrlichſte, auf das dauerndſte, auf
weſentlich vortheilhafteſte Jntereſſe geſchloſſen wor-
den, muͤſſe ewig ſeyn, wie die Grundſaͤtze, die ihm
das Daſeyn gegeben; es ſey das Wiener Cabinet,
welches ihn geſucht, nachdem es ihn reiflich erwo-
gen; wenn er noch zu veraͤndern waͤre, ſo wuͤrde
es ihn nicht anders wuͤnſchen, als er ſey; es habe
keine Furcht vor Frankreich, aber wol vor den
Ruſſen. Es betheuerte, die Uneigennuͤtzigkeit Oeſter-
reichs, welche nichts fuͤr ſich verlange, und welches
die wichtigſten Vergroͤßerungen fuͤr zu theuer er-
kauft durch einen einzigen Feldzug halte.” Es ſah
ſelbſt den Zeitpunct voraus, wo es, “wenn die
Ruſſen nicht billigen Bedingungen Gehoͤr gaͤben,
gegen ſie nicht allein das in dem Tractat ſtipulirte
Huͤlfs-Corps, nicht nur ein Corps von 70000 Mann,
ſondern die ganze Macht der Monarchie gebrauchen
werde. Es verband ſich endlich, nur ſo zu verfah-
ren, wie es der Kayſer fuͤr gut finden wuͤrde, und
keinen Schritt ohne ſein Vorwiſſen zu thun, und
ihm alle ſeine Maaßregeln, es ſey nun, daß ſie
zur Herbeyfuͤhrung der Unterhandlungen oder zu
den Bewaffnungen dienten, die Oeſterreich in ſei-
ner neuen Stellung zu machen habe, mitzutheilen.”
Hiemit verband es Verſicherungen gegen den Fran-
zoͤſiſchen Bothſchafter. Sie waren der Gegenſtand
der außerordentlichen Sendung des Grafen von
Bubua nach Paris. Es ſandte auch den Prinzen
von Schwarzenberg dahin ab, “um dem ganzen
Europa einen ausgezeichneten Beweis ſeiner Ge-
ſinnungen zu geben, da es den Commandanten des
Oeſterreichiſchen Corps an dem Hofe von Frank-
reich erſcheinen ließ, um von ſeinem Chef ſeine
Ordres zu empfangen.” Endlich verbot es ſeinen
Agenten, ſich des Worts Vermittelung zu bedie-
nen, da hier nur die Rede von dem Beſtreben eines
Bundesgenoſſen ſey, der das Ende des Kriegs zu
beſchleunigen wuͤnſche. (M. ſ. No. 3 — 11 der
Briefe des Graͤfen Otto) Rußland nahm die
Zwiſchenkunft einer mit ihm im Kriege begriffenen
Macht an. Es bemerkte: “Form und Gebraͤuche
ſeyen dieſem Geſchaͤfte zuwider, aber es wolle dieſe
Betrachtungen unterdruͤcken, um Oeſterreich einen
Beweis ſeines Zutrauens und ſeiner Achtung zu
geben.” Dieſe Cabinette waren ſchon vorher ein-
verſtanden; dieſe Sprache war verabredet.

(Die Fortſetzung naͤchſtens.)

[Ende Spaltensatz]



[Beginn Spaltensatz]
Regensburg.

Am 5ten September erneuerte
die Evangeliſche Gemeinde zu Regensburg in feyer-
lichen Gottesverehrungen das Andenken an die Be-
freyung Regensburg von der vom Julii 1713 bis
Februar 1714 herrſchenden Peſt.

Jn den letzten
Tagen haben Se. Majeſtaͤt mit den hier verſam-
[Spaltenumbruch] melten Regimentern verſchiedene große Manoͤvres,
ſowol auf der Jnſel Amack, als auf der oͤſtlichen
Seite der Stadt executirt. — Die Preiſe der Spe-
cies haben in dieſen Tagen ſehr variirt. Sie ſtie-
gen binnen 2 Tagen von 40 Rthlr. zu 98 Rthlr.
und fielen gleich darauf auf 70. Eben ſo veraͤn-
dert der Waarenpreis ſich von Tage zu Tage,

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[[7]/0007] Le cabinet de Vienne fit éclater la plus vive joie; il applaudit aux vues de l’Empe- reur et les trouva généreuses. Il parut entrer avec ardeur dans cette carriére où il aimait surtout à servir les intérêts de la France. Il déclara qu’il était inébranlable dans son sys- tême; „que l’alliance fondée sur les intérêts les plus naturels, les plus germanes, les plus essentiellement salutaires, devait être éter- nelle comme les motifs qui l’avaient fait naî- tre, que c’était lui qui l’avait recherchée, après avoir bien réfléchi; que si elle était à refaire, il la voudrait telle qu’elle est; qu’il ne redoutait pas la France, mais les Russes.“ Il protesta du désintéressement de l’Autriche, qui ne voulait rien pour elle et qui croirait trop chèrement acheter, par une seule cam- pagne, les aggrandissemens les plus impor- tans. Il fut jusqu’a prévoir le moment où, si les Russes n’adhéraient à des propositions modérées, il employerait contre eux, non le corps auxiliaire, stipulé par le traité d’alli- ance, non un corps de 70000 hommes, mais toutes les forces de la monarchie. Il s’enga- gea enfin à n’agir que comme il conviendrait à l’Empereur, à ne pas faire un pas à son insçu, et à lui communiquer toutes ses dé- marches, soit pour amener les négociations, soit pour les armemens qui devaient soutenir l’Autriche dans sa nouvelle attitude. Le ca- binet de Vienne prodiguait ces assurances à l’ambassadeur de France. Elles étaient l’objet de la mission extraordinaire du comte de Bubna à Paris. Il y envoyoit le prince de Schwarzenberg, pour donner à l’Europe une preuve éclatante de ses dispositions, en fai- sant paraître à la cour de France le comman- dant du Corps autrichien, se rendant près de son chef pour prendre ses ordres.“ Enfin il défendait à ses agens de se servir du mot de médiation, tandis qu’il ne s’agissait que de l’intervention d’un allié qui aspire à accélérer le terme de la guerre. (V. nos 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10 et 11, Lettres de M. le compte Otto, des 3, 8, 11, 21, et 26 Janvier, 15 et 17 février, 8 et 20 Mars 1813.) La Russie accepta cette in- tervention amicale d’une puissance en guerre avec elle. „Elle fit remarquer que les for- mes et les usages étaient contraires à cette at- tribution, mais elle passait sur ces considéra- tions pour donuer à l’Autriche une preuve de sa confiance et de son estime.“ Les cabinets s’étaient entendus d’avance: ce langage était concerté. (La Suite incessamment.) Daruͤber aͤußerte das Wiener Cabinet eine leb- hafte Freude; es gab den Abſichten des Kayſers ſeinen Beyfall und nannte ſie großmuͤthig. Er ſchien dieſes Geſchaͤft mit Eifer anzufangen und bewies dabey eine beſondere Geneigtheit, dem Jn- tereſſe Frankreichs zu dienen. Es erklaͤrte, es ſey unerſchuͤtterlich in ſeinem Syſtem; “der Bund, der auf das natuͤrlichſte, auf das dauerndſte, auf weſentlich vortheilhafteſte Jntereſſe geſchloſſen wor- den, muͤſſe ewig ſeyn, wie die Grundſaͤtze, die ihm das Daſeyn gegeben; es ſey das Wiener Cabinet, welches ihn geſucht, nachdem es ihn reiflich erwo- gen; wenn er noch zu veraͤndern waͤre, ſo wuͤrde es ihn nicht anders wuͤnſchen, als er ſey; es habe keine Furcht vor Frankreich, aber wol vor den Ruſſen. Es betheuerte, die Uneigennuͤtzigkeit Oeſter- reichs, welche nichts fuͤr ſich verlange, und welches die wichtigſten Vergroͤßerungen fuͤr zu theuer er- kauft durch einen einzigen Feldzug halte.” Es ſah ſelbſt den Zeitpunct voraus, wo es, “wenn die Ruſſen nicht billigen Bedingungen Gehoͤr gaͤben, gegen ſie nicht allein das in dem Tractat ſtipulirte Huͤlfs-Corps, nicht nur ein Corps von 70000 Mann, ſondern die ganze Macht der Monarchie gebrauchen werde. Es verband ſich endlich, nur ſo zu verfah- ren, wie es der Kayſer fuͤr gut finden wuͤrde, und keinen Schritt ohne ſein Vorwiſſen zu thun, und ihm alle ſeine Maaßregeln, es ſey nun, daß ſie zur Herbeyfuͤhrung der Unterhandlungen oder zu den Bewaffnungen dienten, die Oeſterreich in ſei- ner neuen Stellung zu machen habe, mitzutheilen.” Hiemit verband es Verſicherungen gegen den Fran- zoͤſiſchen Bothſchafter. Sie waren der Gegenſtand der außerordentlichen Sendung des Grafen von Bubua nach Paris. 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Am 5ten September erneuerte die Evangeliſche Gemeinde zu Regensburg in feyer- lichen Gottesverehrungen das Andenken an die Be- freyung Regensburg von der vom Julii 1713 bis Februar 1714 herrſchenden Peſt. Copenhagen, den 16 October. Jn den letzten Tagen haben Se. Majeſtaͤt mit den hier verſam- melten Regimentern verſchiedene große Manoͤvres, ſowol auf der Jnſel Amack, als auf der oͤſtlichen Seite der Stadt executirt. — Die Preiſe der Spe- cies haben in dieſen Tagen ſehr variirt. Sie ſtie- gen binnen 2 Tagen von 40 Rthlr. zu 98 Rthlr. und fielen gleich darauf auf 70. Eben ſo veraͤn- dert der Waarenpreis ſich von Tage zu Tage,

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Zitationshilfe: Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 169, Hamburg, 22. Oktober 1813, S. [7]. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/hc_1692210_1813/7>, abgerufen am 24.04.2024.