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Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 169, Hamburg, 22. Oktober 1813.

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aide-de-camp de l'Empereur de Russie; elle
fut acceptee et devait avoir lieu entre Ostro-
lenka et Tykocin; un accident empecha le
general russe de s'y trouver. Il fut remplace
par le conseiler-d'etat d'Anstedt, le meme
qui a figure depuis comme plenipotentiaire
de Russie a Prague, et la conference se tint
a Varsovie. Tout ce qui se passa, a dater de
ce moment, entre le corps autrichien et le
corps russe, fut la suite d'un concert parfait.
Le corps autrichien se retirant de station en
station, abandonna successivement a l'ennemi
tout le territoire du duche de Varsovie, re-
fusa de concourir aux operations de l'armee
francaise, tandis que le cabinet autrichien
declarait que ce corps ne cessait pas d'etre
aux ordres de l'Empereur. Il conclut secre-
tement un armistice avec l'ennemi, le dissi-
mula long-tems, et ne convint enfin de son
existence qu'au moment ou le general Fri-
mont annonca que l'armistice etait rompu, fit
connaeitre la resolution de rentrer sur le ter-
ritoire autrichien, et la convention conclue
avec ia Saxe, sans que le Gouvernement fran-
cais en eaut aucune connaissance, pour ren-
voyer desaime sur les derrieres de l'armee
francaise, le corps polonais, dont la presence
dans une partie de la Pologne causait de vi-
ves inquietudes a la Russie.

Passage extrait d'une depeche adressee au
comte de Bubna du
25.

Vous declarerez egalement a l'Empereur que
le corps auxiliaire se trouvant, d'apres le trai-
te sous le commandement immediat de sadite
M. (le roi de Naples), il a dependu d'elle
d'indiquer le point sur lequel notre corps
auxiliaire pouvait etre appele a se placer, et
que notre auguste maeitre n'a indique le point
de retraite vers la Gallicie, que parceque S.
M. avait consenti a ce que le corps auxiliaire
suivit ce mouvement; ce corps ne reste pas
moins sous le commandement immediat de
l'Empereur des Francais, et il dependra de
S. M. de lui faire adresser par le major-ge-
neral tels ordres qu'elle jugera convenables.
Vous direz explicitement que tout en se rap-
prochant des autres corps d'armee autrichiens,
nous sommes loin de confondre la nature et
le but de nos differens corps d'armee.

C.

Pieces relatives a la marche du cabinet de
Vienne jusqu'a l'ouverture de la campagne.

Les desastres que l'excessive rigueur de la
saison fiit eprouver en Russie a l'armee fran-
caise, etaient a peine connus a Vienne, et
deja le cabinet tendant a changer de systeme.
(Voyez les lettres de M. le comte Otto des 16
et 18 Decembre, nos 1 et 2.) Mais il lui fal-
lait du temps pour armer. Il ouvrit des nego-
ciations, et proposa son entremise aux parties
belligerantes.

L'Empereur, qui ne desirait que la paix,
ne fit aucune difficulte d'accepter l'interven-
tion d'un allie.


[Spaltenumbruch]

sollte zwischen Ostrolenka und Tykocin statt finden;
ein Zufall verhinderte den Rußischen General, da-
selbst zu erscheinen. An seiner Stelle kam der
Staatsrath Austetten, der nämliche, der nachher
als Rußischer Gevollmächtigter zu Prag figurirt
hat, und die Conferenz wurde zu Warschau gehal-
ten. Alles, was seitdem zwischen dem Rußischen
und Oesterreichischen Corps vorfiel, war eine Folge
des vollkommensten Einverständnisses. Das Oester-
reichische Corps überließ in beständigem Rückzuge
von Station zu Station nach und nach das ganze
Großherzogthum Warschau dem Feinde, und wei-
gerte sich, zu den Operationen der Französ. Armee
beyzutragen, wobey das Oesterreichische Cabinet
immer erklärte, daß dieses Corps nicht aufhöre,
unter dem Befehl des Kaysers zu stehen. Es
schloß unter der Hand einen Waffenstillstand mit
dem Feinde, den es lange sorgfältig geheim hielt,
und gestand das Daseyn desselben erst damals, als
der General Frimont ankündigte, daß er gebrochen
sey, und den Entschluß, auf das Oesterreichische
Gebiet zurück zu kehren und die mit Sachsen ab-
geschlossene Convention erklärte, ohne daß die Fran-
zösische Regierung die mindeste Kenntniß davon
erhielt, durch welche Convention das Pohlnische
Corps, dessen Gegenwart in einem Theile Pohlens
in Rußland die lebhafteste Unruhe erregte, unbe-
waffnet in den Rücken der Französischen Armee ge-
liefert werden sollte.

Aus einer Depesche an den Grafen von Bubna
vom 25sten.

Sie werden auch dem Kayser die Erklärung ge-
ben, daß, da sich in Folge des Tractats das Hülfs-
Corps unter dem unmittelbaren Befehle besagter
Sr. Majestät, des Königs von Neapel, befindet,
es von Jhr abgehangen haben würde, den Punct
zu bestimmen, wohin unser Hülfs-Corps sich zu
begeben haben würde, und daß unser Durchl. Herr
den Punct des Rückzugs gegen Gallizien nur des-
wegen angegeben, weil Se. Majestät eingewilligt,
daß das Hülfs-Corps diese Bewegung mache. Das
Corps bleibt nicht weniger unter dem unmittel-
baren Befehle Sr. Majestät, des Kaysers der
Franzosen, und es wird von Sr. Majestät abhän-
gen, demselben durch den Major General die Or-
dres zukommen zu lassen, die Sie für dienlich hal-
ten wird. Sie haben bestimmt zu erklären, daß,
obgleich wir uns den andern Oesterreichischen Ar-
mee-Corps nähern, wir dennoch weit entfernt sind,
die Natur und die Absicht unsrer verschiedenen
Armee Corps zu verändern.

C.

Actenstücke, die Schritte des Wiener Cabinets
bis zur Eröffnung des Feldzugs betreffend.

Kaum waren die Unfälle, die die Französische Ar-
mee durch die außerordentliche Kälte des Winters
in Rußland erlitten, zu Wien bekannt, so war das
Cabinet schon geneigt, sein System zu ändern.
(S. unten die Briefe des Grafen Otto No. 1 und 2.)
Aber es bedurfte Zeit zu seinen Rüstungen. Es
eröffnete also Negociationen und schlug den krieg-
führenden Partheyen seine Vermittelung vor. Der
Kayser, der sich nur nach Frieden sehnte, machte
keine Schwierigkeiten, die Vermittelung eines Ver-
bündeten anzunehmen.

[Spaltenumbruch]

aide-de-camp de l’Empereur de Russie; elle
fut acceptée et devait avoir lieu entre Ostro-
lenka et Tykocin; un accident empêcha le
général russe de s’y trouver. Il fut remplacé
par le conseiler-d’état d’Anstedt, le même
qui a figuré depuis comme plénipotentiaire
de Russie à Prague, et la conférence se tint
à Varsovie. Tout ce qui se passa, à dater de
ce moment, entre le corps autrichien et le
corps russe, fut la suite d’un concert parfait.
Le corps autrichien se retirant de station en
station, abandonna successivement à l’ennemi
tout le territoire du duché de Varsovie, re-
fusa de concourir aux opérations de l’armée
française, tandis que le cabinet autrichien
déclarait que ce corps ne cessait pas d’être
aux ordres de l’Empereur. Il conclut secrè-
tement un armistice avec l’ennemi, le dissi-
mula long-tems, et ne convint enfin de son
existence qu’au moment où le général Fri-
mont annonça que l’armistice était rompu, fit
connaître la résolution de rentrer sur le ter-
ritoire autrichien, et la convention conclue
avec ia Saxe, sans que le Gouvernement fran-
çais en eût aucune connaissance, pour ren-
voyer dèsaimé sur les derrières de l’armée
française, le corps polonais, dont la présence
dans une partie de la Pologne causait de vi-
ves inquiétudes à la Russie.

Passage extrait d’une dépêche adressée au
comte de Bubna du
25.

Vous déclarerez également à l’Empereur que
le corps auxiliaire se trouvant, d’après le trai-
té sous le commandement immédiat de sadite
M. (le roi de Naples), il a dépendu d’elle
d’indiquer le point sur lequel notre corps
auxiliaire pouvait être appelé à se placer, et
que notre auguste maître n’a indiqué le point
de retraite vers la Gallicie, que parceque S.
M. avait consenti à ce que le corps auxiliaire
suivit ce mouvement; ce corps ne reste pas
moins sous le commandement immédiat de
l’Empereur des Français, et il dépendra de
S. M. de lui faire adresser par le major-gé-
néral tels ordres qu’elle jugera convenables.
Vous direz explicitement que tout en se rap-
prochant des autres corps d’armée autrichiens,
nous sommes loin de confondre la nature et
le but de nos différens corps d’armée.

C.

Pièces relatives à la marche du cabinet de
Vienne jusqu’à l’ouverture de la campagne.

Les désastres que l’excessive rigueur de la
saison fiit éprouver en Russie à l’armée fran-
çaise, étaient à peine connus à Vienne, et
déjà le cabinet tendant à changer de systême.
(Voyez les lettres de M. le comte Otto des 16
et 18 Décembre, nos 1 et 2.) Mais il lui fal-
lait du temps pour armer. Il ouvrit des négo-
ciations, et proposa son entrémise aux parties
belligérantes.

L’Empereur, qui ne désirait que la paix,
ne fit aucune difficulté d’accepter l’interven-
tion d’un allié.


[Spaltenumbruch]

ſollte zwiſchen Oſtrolenka und Tykocin ſtatt finden;
ein Zufall verhinderte den Rußiſchen General, da-
ſelbſt zu erſcheinen. An ſeiner Stelle kam der
Staatsrath Auſtetten, der naͤmliche, der nachher
als Rußiſcher Gevollmaͤchtigter zu Prag figurirt
hat, und die Conferenz wurde zu Warſchau gehal-
ten. Alles, was ſeitdem zwiſchen dem Rußiſchen
und Oeſterreichiſchen Corps vorfiel, war eine Folge
des vollkommenſten Einverſtaͤndniſſes. Das Oeſter-
reichiſche Corps uͤberließ in beſtaͤndigem Ruͤckzuge
von Station zu Station nach und nach das ganze
Großherzogthum Warſchau dem Feinde, und wei-
gerte ſich, zu den Operationen der Franzoͤſ. Armee
beyzutragen, wobey das Oeſterreichiſche Cabinet
immer erklaͤrte, daß dieſes Corps nicht aufhoͤre,
unter dem Befehl des Kayſers zu ſtehen. Es
ſchloß unter der Hand einen Waffenſtillſtand mit
dem Feinde, den es lange ſorgfaͤltig geheim hielt,
und geſtand das Daſeyn deſſelben erſt damals, als
der General Frimont ankuͤndigte, daß er gebrochen
ſey, und den Entſchluß, auf das Oeſterreichiſche
Gebiet zuruͤck zu kehren und die mit Sachſen ab-
geſchloſſene Convention erklaͤrte, ohne daß die Fran-
zoͤſiſche Regierung die mindeſte Kenntniß davon
erhielt, durch welche Convention das Pohlniſche
Corps, deſſen Gegenwart in einem Theile Pohlens
in Rußland die lebhafteſte Unruhe erregte, unbe-
waffnet in den Ruͤcken der Franzoͤſiſchen Armee ge-
liefert werden ſollte.

Aus einer Depeſche an den Grafen von Bubna
vom 25ſten.

Sie werden auch dem Kayſer die Erklaͤrung ge-
ben, daß, da ſich in Folge des Tractats das Huͤlfs-
Corps unter dem unmittelbaren Befehle beſagter
Sr. Majeſtaͤt, des Koͤnigs von Neapel, befindet,
es von Jhr abgehangen haben wuͤrde, den Punct
zu beſtimmen, wohin unſer Huͤlfs-Corps ſich zu
begeben haben wuͤrde, und daß unſer Durchl. Herr
den Punct des Ruͤckzugs gegen Gallizien nur des-
wegen angegeben, weil Se. Majeſtaͤt eingewilligt,
daß das Huͤlfs-Corps dieſe Bewegung mache. Das
Corps bleibt nicht weniger unter dem unmittel-
baren Befehle Sr. Majeſtaͤt, des Kayſers der
Franzoſen, und es wird von Sr. Majeſtaͤt abhaͤn-
gen, demſelben durch den Major General die Or-
dres zukommen zu laſſen, die Sie fuͤr dienlich hal-
ten wird. Sie haben beſtimmt zu erklaͤren, daß,
obgleich wir uns den andern Oeſterreichiſchen Ar-
mee-Corps naͤhern, wir dennoch weit entfernt ſind,
die Natur und die Abſicht unſrer verſchiedenen
Armee Corps zu veraͤndern.

C.

Actenſtuͤcke, die Schritte des Wiener Cabinets
bis zur Eroͤffnung des Feldzugs betreffend.

Kaum waren die Unfaͤlle, die die Franzoͤſiſche Ar-
mee durch die außerordentliche Kaͤlte des Winters
in Rußland erlitten, zu Wien bekannt, ſo war das
Cabinet ſchon geneigt, ſein Syſtem zu aͤndern.
(S. unten die Briefe des Grafen Otto No. 1 und 2.)
Aber es bedurfte Zeit zu ſeinen Ruͤſtungen. Es
eroͤffnete alſo Negociationen und ſchlug den krieg-
fuͤhrenden Partheyen ſeine Vermittelung vor. Der
Kayſer, der ſich nur nach Frieden ſehnte, machte
keine Schwierigkeiten, die Vermittelung eines Ver-
buͤndeten anzunehmen.

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[[6]/0006] aide-de-camp de l’Empereur de Russie; elle fut acceptée et devait avoir lieu entre Ostro- lenka et Tykocin; un accident empêcha le général russe de s’y trouver. Il fut remplacé par le conseiler-d’état d’Anstedt, le même qui a figuré depuis comme plénipotentiaire de Russie à Prague, et la conférence se tint à Varsovie. Tout ce qui se passa, à dater de ce moment, entre le corps autrichien et le corps russe, fut la suite d’un concert parfait. Le corps autrichien se retirant de station en station, abandonna successivement à l’ennemi tout le territoire du duché de Varsovie, re- fusa de concourir aux opérations de l’armée française, tandis que le cabinet autrichien déclarait que ce corps ne cessait pas d’être aux ordres de l’Empereur. Il conclut secrè- tement un armistice avec l’ennemi, le dissi- mula long-tems, et ne convint enfin de son existence qu’au moment où le général Fri- mont annonça que l’armistice était rompu, fit connaître la résolution de rentrer sur le ter- ritoire autrichien, et la convention conclue avec ia Saxe, sans que le Gouvernement fran- çais en eût aucune connaissance, pour ren- voyer dèsaimé sur les derrières de l’armée française, le corps polonais, dont la présence dans une partie de la Pologne causait de vi- ves inquiétudes à la Russie. Passage extrait d’une dépêche adressée au comte de Bubna du 25. Vous déclarerez également à l’Empereur que le corps auxiliaire se trouvant, d’après le trai- té sous le commandement immédiat de sadite M. (le roi de Naples), il a dépendu d’elle d’indiquer le point sur lequel notre corps auxiliaire pouvait être appelé à se placer, et que notre auguste maître n’a indiqué le point de retraite vers la Gallicie, que parceque S. 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L’Empereur, qui ne désirait que la paix, ne fit aucune difficulté d’accepter l’interven- tion d’un allié. ſollte zwiſchen Oſtrolenka und Tykocin ſtatt finden; ein Zufall verhinderte den Rußiſchen General, da- ſelbſt zu erſcheinen. An ſeiner Stelle kam der Staatsrath Auſtetten, der naͤmliche, der nachher als Rußiſcher Gevollmaͤchtigter zu Prag figurirt hat, und die Conferenz wurde zu Warſchau gehal- ten. Alles, was ſeitdem zwiſchen dem Rußiſchen und Oeſterreichiſchen Corps vorfiel, war eine Folge des vollkommenſten Einverſtaͤndniſſes. Das Oeſter- reichiſche Corps uͤberließ in beſtaͤndigem Ruͤckzuge von Station zu Station nach und nach das ganze Großherzogthum Warſchau dem Feinde, und wei- gerte ſich, zu den Operationen der Franzoͤſ. Armee beyzutragen, wobey das Oeſterreichiſche Cabinet immer erklaͤrte, daß dieſes Corps nicht aufhoͤre, unter dem Befehl des Kayſers zu ſtehen. Es ſchloß unter der Hand einen Waffenſtillſtand mit dem Feinde, den es lange ſorgfaͤltig geheim hielt, und geſtand das Daſeyn deſſelben erſt damals, als der General Frimont ankuͤndigte, daß er gebrochen ſey, und den Entſchluß, auf das Oeſterreichiſche Gebiet zuruͤck zu kehren und die mit Sachſen ab- geſchloſſene Convention erklaͤrte, ohne daß die Fran- zoͤſiſche Regierung die mindeſte Kenntniß davon erhielt, durch welche Convention das Pohlniſche Corps, deſſen Gegenwart in einem Theile Pohlens in Rußland die lebhafteſte Unruhe erregte, unbe- waffnet in den Ruͤcken der Franzoͤſiſchen Armee ge- liefert werden ſollte. Aus einer Depeſche an den Grafen von Bubna vom 25ſten. Sie werden auch dem Kayſer die Erklaͤrung ge- ben, daß, da ſich in Folge des Tractats das Huͤlfs- Corps unter dem unmittelbaren Befehle beſagter Sr. Majeſtaͤt, des Koͤnigs von Neapel, befindet, es von Jhr abgehangen haben wuͤrde, den Punct zu beſtimmen, wohin unſer Huͤlfs-Corps ſich zu begeben haben wuͤrde, und daß unſer Durchl. Herr den Punct des Ruͤckzugs gegen Gallizien nur des- wegen angegeben, weil Se. Majeſtaͤt eingewilligt, daß das Huͤlfs-Corps dieſe Bewegung mache. Das Corps bleibt nicht weniger unter dem unmittel- baren Befehle Sr. Majeſtaͤt, des Kayſers der Franzoſen, und es wird von Sr. Majeſtaͤt abhaͤn- gen, demſelben durch den Major General die Or- dres zukommen zu laſſen, die Sie fuͤr dienlich hal- ten wird. Sie haben beſtimmt zu erklaͤren, daß, obgleich wir uns den andern Oeſterreichiſchen Ar- mee-Corps naͤhern, wir dennoch weit entfernt ſind, die Natur und die Abſicht unſrer verſchiedenen Armee Corps zu veraͤndern. C. Actenſtuͤcke, die Schritte des Wiener Cabinets bis zur Eroͤffnung des Feldzugs betreffend. Kaum waren die Unfaͤlle, die die Franzoͤſiſche Ar- mee durch die außerordentliche Kaͤlte des Winters in Rußland erlitten, zu Wien bekannt, ſo war das Cabinet ſchon geneigt, ſein Syſtem zu aͤndern. (S. unten die Briefe des Grafen Otto No. 1 und 2.) Aber es bedurfte Zeit zu ſeinen Ruͤſtungen. Es eroͤffnete alſo Negociationen und ſchlug den krieg- fuͤhrenden Partheyen ſeine Vermittelung vor. Der Kayſer, der ſich nur nach Frieden ſehnte, machte keine Schwierigkeiten, die Vermittelung eines Ver- buͤndeten anzunehmen.

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Britt-Marie Schuster, Manuel Wille, Arnika Lutz: Bereitstellung der Texttranskription. (2014-07-28T10:00:34Z) Bitte beachten Sie, dass die aktuelle Transkription (und Textauszeichnung) mittlerweile nicht mehr dem Stand zum Zeitpunkt der Übernahme des Werkes in das DTA entsprechen muss.

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Zitationshilfe: Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 169, Hamburg, 22. Oktober 1813, S. [6]. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/hc_1692210_1813/6>, abgerufen am 29.03.2024.