Druskowitz, Helene von: Moderne Versuche eines Religionsersatzes. Heidelberg, 1886.wird nun wesentlich dadurch bewerkstelligt, daß wir zur Er- Die Weltordnung, im Wesentlichen unveränderlich, weist Die neue Religion gibt also dem Denken, Fühlen und le vague et l'incertitude que presente encore la signification generale du mot religion. Les meilleurs esprits y confondent presque toujours le but essentiel avec les moyens temporaires. Dans ce traite la religion sera toujours caracterisee par l'etat de pleine harmonie propre a l'existence humaine, tant collective qu'individuelle, quand toutes ses parties quelconques sont dignement coordonnees." *) Politique positive II. p. 12: "Pour nous regler et nous
rallier la religion doit donc avant tout nous subordonner a une puis- sance exterieure, dont l'irresistible suprematie ne nous laisse aucune certitude. Ce grand dogme sociologique n'est, au fond, que le plein developpement de la notion sondamentale elaboree par la vraie biologie sur la subordination necessaire de l'organisme envers le milieu." wird nun weſentlich dadurch bewerkſtelligt, daß wir zur Er- Die Weltordnung, im Weſentlichen unveränderlich, weiſt Die neue Religion gibt alſo dem Denken, Fühlen und le vague et l’incertitude que présente encore la signification générale du mot religion. Les meilleurs esprits y confondent presque toujours le but essentiel avec les moyens temporaires. Dans ce traité la religion sera toujours caracterisée par l’état de pleine harmonie propre à l’existence humaine, tant collective qu’individuelle, quand toutes ses parties quelconques sont dignement coordonnées.“ *) Politique positive II. p. 12: „Pour nous régler et nous
rallier la religion doit donc avant tout nous subordonner à une puis- sance extèrieure, dont l’irresistible suprématie ne nous laisse aucune certitude. Ce grand dogme sociologique n’est, au fond, que le plein développement de la notion ſondamentale élaborée par la vraie biologie sur la subordination nécessaire de l’organisme envers le milieu.“ <TEI> <text> <body> <div n="1"> <p><pb facs="#f0021" n="12"/> wird nun weſentlich dadurch bewerkſtelligt, daß wir zur Er-<lb/> kenntniß einer im Weſentlichen unwandelbaren Weltordnung<lb/> und unveränderlicher Naturgeſetze gelangen, welchen wir uns<lb/> in Demuth anzupaſſen haben.<note place="foot" n="*)"><hi rendition="#aq"><hi rendition="#g">Politique positive</hi> II. p. 12: „Pour nous régler et nous<lb/> rallier la religion doit donc avant tout nous subordonner à une puis-<lb/> sance extèrieure, dont l’irresistible suprématie ne nous laisse aucune<lb/> certitude. Ce grand dogme sociologique n’est, au fond, que le plein<lb/> développement de la notion ſondamentale élaborée par la vraie biologie<lb/> sur la subordination nécessaire de l’organisme envers le milieu.“</hi></note> Deshalb lautet das zweite<lb/> Satzglied der Formel, welche Comte an die Spitze ſeiner<lb/><hi rendition="#aq">Politique positive</hi> geſtellt hat: „<hi rendition="#aq">Ordre pour base</hi>“. Ent-<lb/> ſpricht dem <hi rendition="#aq">vivre pour autrui</hi> der Cultus der neuen Reli-<lb/> gion, ſo dem <hi rendition="#aq">ordre pour base</hi> das Dogma. Das poſitive<lb/> Dogma iſt keine leichte Sache, es erfordert vom Adepten<lb/> der neuen Religion nichts Geringeres, als die Bewältigung<lb/> aller Wiſſenſchaften der „encyklopädiſchen Formel“, alſo der<lb/> Mathematik, Aſtronomie, Phyſik, Chemie, Biologie und<lb/> Sociologie. Es ſtellt alſo jedenfalls zu hohe Anforderungen<lb/> an den gemeinen Menſchenverſtand.</p><lb/> <p>Die Weltordnung, im Weſentlichen unveränderlich, weiſt<lb/> doch auch einen Fortſchritt auf, weshalb der Menſch durch<lb/> Kenntniß der Naturgeſetze einerſeits zur Reſignation, ander-<lb/> ſeits zur That geführt wird. Deshalb lautet das dritte<lb/> Glied in Comtes Religionsformel: <hi rendition="#aq">Progrès pour but.</hi> Es<lb/> iſt dieſer Satz, welcher auf das praktiſche Handeln und die<lb/> Politik hinweiſt.</p><lb/> <p>Die neue Religion gibt alſo dem Denken, Fühlen und<lb/><note xml:id="a02" prev="#a01" place="foot" n="*)"><hi rendition="#aq">le vague et l’incertitude que présente encore la signification générale<lb/> du mot <hi rendition="#g">religion</hi>. Les meilleurs esprits y confondent presque<lb/> toujours le but essentiel avec les moyens temporaires. Dans ce traité<lb/> la religion sera toujours caracterisée par l’état de pleine harmonie<lb/> propre à l’existence humaine, tant collective qu’individuelle, quand<lb/> toutes ses parties quelconques sont dignement coordonnées.“</hi></note><lb/></p> </div> </body> </text> </TEI> [12/0021]
wird nun weſentlich dadurch bewerkſtelligt, daß wir zur Er-
kenntniß einer im Weſentlichen unwandelbaren Weltordnung
und unveränderlicher Naturgeſetze gelangen, welchen wir uns
in Demuth anzupaſſen haben. *) Deshalb lautet das zweite
Satzglied der Formel, welche Comte an die Spitze ſeiner
Politique positive geſtellt hat: „Ordre pour base“. Ent-
ſpricht dem vivre pour autrui der Cultus der neuen Reli-
gion, ſo dem ordre pour base das Dogma. Das poſitive
Dogma iſt keine leichte Sache, es erfordert vom Adepten
der neuen Religion nichts Geringeres, als die Bewältigung
aller Wiſſenſchaften der „encyklopädiſchen Formel“, alſo der
Mathematik, Aſtronomie, Phyſik, Chemie, Biologie und
Sociologie. Es ſtellt alſo jedenfalls zu hohe Anforderungen
an den gemeinen Menſchenverſtand.
Die Weltordnung, im Weſentlichen unveränderlich, weiſt
doch auch einen Fortſchritt auf, weshalb der Menſch durch
Kenntniß der Naturgeſetze einerſeits zur Reſignation, ander-
ſeits zur That geführt wird. Deshalb lautet das dritte
Glied in Comtes Religionsformel: Progrès pour but. Es
iſt dieſer Satz, welcher auf das praktiſche Handeln und die
Politik hinweiſt.
Die neue Religion gibt alſo dem Denken, Fühlen und
*)
*) Politique positive II. p. 12: „Pour nous régler et nous
rallier la religion doit donc avant tout nous subordonner à une puis-
sance extèrieure, dont l’irresistible suprématie ne nous laisse aucune
certitude. Ce grand dogme sociologique n’est, au fond, que le plein
développement de la notion ſondamentale élaborée par la vraie biologie
sur la subordination nécessaire de l’organisme envers le milieu.“
*) le vague et l’incertitude que présente encore la signification générale
du mot religion. Les meilleurs esprits y confondent presque
toujours le but essentiel avec les moyens temporaires. Dans ce traité
la religion sera toujours caracterisée par l’état de pleine harmonie
propre à l’existence humaine, tant collective qu’individuelle, quand
toutes ses parties quelconques sont dignement coordonnées.“
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Zitationshilfe: | Druskowitz, Helene von: Moderne Versuche eines Religionsersatzes. Heidelberg, 1886, S. 12. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/druskowitz_religionsersatz_1886/21>, abgerufen am 16.07.2024. |