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Humboldt, Alexander von: Kosmos. Entwurf einer physischen Weltbeschreibung. Bd. 3. Stuttgart u. a., 1850.

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of stars seen even at a distance from the Milky Way, and partly from the prodigious brilliancy of Saturn. The account given by another astronomer of the appearance of Jupiter was, that it resembled a coach-lamp in the telescope; and this well expresses the blaze of light which is seen in the instrument." Vergl. auch Sir John Herschel, Outl. of Astr. § 870: "The sublimity of the spectacle afforded by the magnificent reflecting telescope constructed by Lord Rosse of some of the larger globular clusters of nebulae is declared by all, who have witnessed it, to be such as no words can express. This telescope has resolved or rendered resolvable multitudes of nebulae which had resisted all inferior powers."
35 (S. 82.) Delambre, Hist. de l'Astr. moderne T. II. p. 255.
36 (S. 82.) Struve, Mens. microm. p. XLIV.
37 (S. 83.) Schumacher's Jahrbuch für 1839 S. 100.
38 (S. 83.) "La lumiere atmospherique diffuse ne peut s'expliquer par le reflet des rayons solaires sur la surface de separation des couches de differentes densites dont on suppose l'atmosphere composee. En effet supposons le Soleil place a l'horizon, les surfaces de separation dans la direction du zenith seraient horizontales, par consequent la reflexion serait horizontale aussi et nous ne verrions aucune lumiere au zenith. Dans la supposition des couches aucun rayon ne nous arriverait par voie d'une premiere reflexion. Ce ne seraient que les reflexions multiples qui pourraient agir. Donc pour expliquer la lumiere diffuse, il faut se figurer l'atmosphere composee de molecules (spheriques par exemple) dont chacune donne une image du soleil a peu pres comme les boules de verre que nous placons dans nos jardins. L'air pur est bleu, parce que d'apres Newton les molecules de l'air ont l'epaisseur qui convient a la reflexion des rayons bleus. Il est donc naturel que les petites images du soleil que de tous cotes reflechissent les molecules spheriques de l'air et qui sont la lumiere diffuse, aient une teinte bleue; mais ce bleu n'est pas du bleu pur, c'est un blanc dans lequel le bleu predomine. Lorsque le ciel n'est pas dans toute sa purete et que l'air est mele de vapeurs visibles, la lumiere diffuse recoit beaucoup de blanc. Comme la lune est jaune, le bleu de l'air
of stars seen even at a distance from the Milky Way, and partly from the prodigious brilliancy of Saturn. The account given by another astronomer of the appearance of Jupiter was, that it resembled a coach-lamp in the telescope; and this well expresses the blaze of light which is seen in the instrument.« Vergl. auch Sir John Herschel, Outl. of Astr. § 870: »The sublimity of the spectacle afforded by the magnificent reflecting telescope constructed by Lord Rosse of some of the larger globular clusters of nebulae is declared by all, who have witnessed it, to be such as no words can express. This telescope has resolved or rendered resolvable multitudes of nebulae which had resisted all inferior powers.«
35 (S. 82.) Delambre, Hist. de l'Astr. moderne T. II. p. 255.
36 (S. 82.) Struve, Mens. microm. p. XLIV.
37 (S. 83.) Schumacher's Jahrbuch für 1839 S. 100.
38 (S. 83.) »La lumière atmosphérique diffuse ne peut s'expliquer par le reflet des rayons solaires sur la surface de séparation des couches de différentes densités dont on suppose l'atmosphère composée. En effet supposons le Soleil placé à l'horizon, les surfaces de séparation dans la direction du zénith seraient horizontales, par conséquent la réflexion serait horizontale aussi et nous ne verrions aucune lumière au zénith. Dans la supposition des couches aucun rayon ne nous arriverait par voie d'une première réflexion. Ce ne seraient que les réflexions multiples qui pourraient agir. Donc pour expliquer la lumière diffuse, il faut se figurer l'atmosphère composée de molécules (sphériques par exemple) dont chacune donne une image du soleil à peu près comme les boules de verre que nous plaçons dans nos jardins. L'air pur est bleu, parce que d'après Newton les molécules de l'air ont l'épaisseur qui convient à la réflexion des rayons bleus. Il est donc naturel que les petites images du soleil que de tous côtés réfléchissent les molécules sphériques de l'air et qui sont la lumière diffuse, aient une teinte bleue; mais ce bleu n'est pas du bleu pur, c'est un blanc dans lequel le bleu prédomine. Lorsque le ciel n'est pas dans toute sa pureté et que l'air est mêlé de vapeurs visibles, la lumière diffuse reçoit beaucoup de blanc. Comme la lune est jaune, le bleu de l'air
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[118/0123] ³⁴ of stars seen even at a distance from the Milky Way, and partly from the prodigious brilliancy of Saturn. The account given by another astronomer of the appearance of Jupiter was, that it resembled a coach-lamp in the telescope; and this well expresses the blaze of light which is seen in the instrument.« Vergl. auch Sir John Herschel, Outl. of Astr. § 870: »The sublimity of the spectacle afforded by the magnificent reflecting telescope constructed by Lord Rosse of some of the larger globular clusters of nebulae is declared by all, who have witnessed it, to be such as no words can express. This telescope has resolved or rendered resolvable multitudes of nebulae which had resisted all inferior powers.« ³⁵ (S. 82.) Delambre, Hist. de l'Astr. moderne T. II. p. 255. ³⁶ (S. 82.) Struve, Mens. microm. p. XLIV. ³⁷ (S. 83.) Schumacher's Jahrbuch für 1839 S. 100. ³⁸ (S. 83.) »La lumière atmosphérique diffuse ne peut s'expliquer par le reflet des rayons solaires sur la surface de séparation des couches de différentes densités dont on suppose l'atmosphère composée. En effet supposons le Soleil placé à l'horizon, les surfaces de séparation dans la direction du zénith seraient horizontales, par conséquent la réflexion serait horizontale aussi et nous ne verrions aucune lumière au zénith. Dans la supposition des couches aucun rayon ne nous arriverait par voie d'une première réflexion. Ce ne seraient que les réflexions multiples qui pourraient agir. Donc pour expliquer la lumière diffuse, il faut se figurer l'atmosphère composée de molécules (sphériques par exemple) dont chacune donne une image du soleil à peu près comme les boules de verre que nous plaçons dans nos jardins. L'air pur est bleu, parce que d'après Newton les molécules de l'air ont l'épaisseur qui convient à la réflexion des rayons bleus. Il est donc naturel que les petites images du soleil que de tous côtés réfléchissent les molécules sphériques de l'air et qui sont la lumière diffuse, aient une teinte bleue; mais ce bleu n'est pas du bleu pur, c'est un blanc dans lequel le bleu prédomine. Lorsque le ciel n'est pas dans toute sa pureté et que l'air est mêlé de vapeurs visibles, la lumière diffuse reçoit beaucoup de blanc. Comme la lune est jaune, le bleu de l'air

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Moritz Bodner: Erstellung bzw. Korrektur der griechischen Textpassagen (2013-04-18T11:04:31Z)



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Zitationshilfe: Humboldt, Alexander von: Kosmos. Entwurf einer physischen Weltbeschreibung. Bd. 3. Stuttgart u. a., 1850, S. 118. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/humboldt_kosmos03_1850/123>, abgerufen am 23.11.2024.