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Treviranus, Gottfried Reinhold: Biologie, oder Philosophie der lebenden Natur für Naturforscher und Ärzte. Bd. 3. Göttingen, 1805.

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det aber überhaupt bey allen Mollusken aus der
Familie der Schnecken statt (n).

Die
(n) Von der Bulla aperta sagt Cuvier (Annales du
Museum d'Hist. nat. T. I. p. 162.): Les organes des
deux sexes sont absolument separes, et meme la
verge n'a aucune communication interieure avec le
testicule; und von der Tritonia Hombergii (Ibid.
p. 493.): La verge est longue d'un a deux pouces,
cylindrique, faisant beaucoup de replis serpentins,
et se terminant par une pointe mousse et arrondie,
qui n' est pas plus percee que dans le limacon or-
dinaire. Bey der Bulla aperta setzt er hinzu: Si
la semence est versee par la verge d'un des indivi-
dus dans le vagin de l'autre, elle ne peut arriver
a cette verge que par la rainure qui joint exterieu-
rement les orifices des deux sexes. Ein solcher
Uebergang des Saamens ist aber deswegen unwahr-
scheinlich, weil bey vielen Schnecken gar keine
Rinne der Art vorhanden ist. Cuvier scheint diese
Unwahrscheinlichkeit in der Folge auch selber ge-
fühlt zu haben, indem er in einem spätern Auf-
satze bey der Beschreibung der Aplysia fasciata
(A. a. O. T. II. p. 307.) frägt: Cette rainure sert
elle a conduire la liqueur seminale d'une Laplysie
dans le corps de l'autre? C'est de cette question
que depend l'explication de la maniere dont ces
animaux se fecondent. Mais pourquoi une telle
rainure n'existe-t-elle pas dans tant d'autres ga-
steropodes qui n'ont pas non plus de communica-
tion interieure entre leur verge et lour testicule?

det aber überhaupt bey allen Mollusken aus der
Familie der Schnecken statt (n).

Die
(n) Von der Bulla aperta sagt Cuvier (Annales du
Muséum d’Hist. nat. T. I. p. 162.): Les organes des
deux sexes sont absolument séparés, et même la
verge n’a aucune communication intérieure avec le
testicule; und von der Tritonia Hombergii (Ibid.
p. 493.): La verge est longue d’un à deux pouces,
cylindrique, faisant beaucoup de replis serpentins,
et se terminant par une pointe mousse et arrondie,
qui n’ est pas plus percée que dans le limaçon or-
dinaire. Bey der Bulla aperta setzt er hinzu: Si
la semence est versée par la verge d’un des indivi-
dus dans le vagin de l’autre, elle ne peut arriver
à cette verge que par la rainure qui joint exterieu-
rement les orifices des deux sexes. Ein solcher
Uebergang des Saamens ist aber deswegen unwahr-
scheinlich, weil bey vielen Schnecken gar keine
Rinne der Art vorhanden ist. Cuvier scheint diese
Unwahrscheinlichkeit in der Folge auch selber ge-
fühlt zu haben, indem er in einem spätern Auf-
satze bey der Beschreibung der Aplysia fasciata
(A. a. O. T. II. p. 307.) frägt: Cette rainure sert
elle à conduire la liqueur séminale d’une Laplysie
dans le corps de l’autre? C’est de cette question
que dépend l’explication de la maniere dont ces
animaux se fécondent. Mais pourquoi une telle
rainure n’existe-t-elle pas dans tant d’autres ga-
stéropodes qui n’ont pas non plus de communica-
tion intérieure entre leur verge et lour testicule?
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[258/0268] det aber überhaupt bey allen Mollusken aus der Familie der Schnecken statt (n). Die (n) Von der Bulla aperta sagt Cuvier (Annales du Muséum d’Hist. nat. T. I. p. 162.): Les organes des deux sexes sont absolument séparés, et même la verge n’a aucune communication intérieure avec le testicule; und von der Tritonia Hombergii (Ibid. p. 493.): La verge est longue d’un à deux pouces, cylindrique, faisant beaucoup de replis serpentins, et se terminant par une pointe mousse et arrondie, qui n’ est pas plus percée que dans le limaçon or- dinaire. Bey der Bulla aperta setzt er hinzu: Si la semence est versée par la verge d’un des indivi- dus dans le vagin de l’autre, elle ne peut arriver à cette verge que par la rainure qui joint exterieu- rement les orifices des deux sexes. Ein solcher Uebergang des Saamens ist aber deswegen unwahr- scheinlich, weil bey vielen Schnecken gar keine Rinne der Art vorhanden ist. Cuvier scheint diese Unwahrscheinlichkeit in der Folge auch selber ge- fühlt zu haben, indem er in einem spätern Auf- satze bey der Beschreibung der Aplysia fasciata (A. a. O. T. II. p. 307.) frägt: Cette rainure sert elle à conduire la liqueur séminale d’une Laplysie dans le corps de l’autre? C’est de cette question que dépend l’explication de la maniere dont ces animaux se fécondent. Mais pourquoi une telle rainure n’existe-t-elle pas dans tant d’autres ga- stéropodes qui n’ont pas non plus de communica- tion intérieure entre leur verge et lour testicule?

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Zitationshilfe: Treviranus, Gottfried Reinhold: Biologie, oder Philosophie der lebenden Natur für Naturforscher und Ärzte. Bd. 3. Göttingen, 1805, S. 258. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/treviranus_biologie03_1805/268>, abgerufen am 22.11.2024.