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Allgemeine Zeitung, Nr. 167, 15. Juni 1860.

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[Spaltenumbruch] de n'avoir aucune flottille armee sur le lac de Geneve, pour autant
que la Suisse observe la reeiprocite a cet egard; 3) enfin, la France
s'engagerait a n'elever aucune fortification dans une certaine portion
de territoire qui serait limitee par les monts de Vuache, de Sion et de
&Sr;aleve. Nous avons l'honneur de vous insormer, a ce sujet, que ces
propositions ne nous suffisent nullement, qu'elles ne sont point de na-
ture a tranquilliser la Suisse, pas plus qu'a compenser les droits et les
avantages qui, en 1815, ont ete octroyes et solennellement garantis a
la Confederation par la neutralisation s[unleserliches Material - 1 Zeichen fehlt]ipulee par l'Europe dans l'in-
teret general. Si vous jetez un coup d'oeil sur la carte, vous verrez
au premier abord que la ligne du Col-de-Ferret jusqu'a Meillerie ne
saurait point etre envisagee comme une concession, en ce que tout le
lac en aval de Meillerie demeurerait en possession de la France, et
que les minimes parcelles a ceder a la Suisse n'auraient aucune signi-
fication, puisqu'elles n'ostriraient aucune ligne de retraite. Tout aussi
peu suffisante est l'offre de n'avoir aucune flottille armee sur le lac, et
de n'elever aucune fortification dans un certain rayon. La Suisse peut
deja y pretendre de plein droit, en ce que la France a acquis les pro-
vinces du Faucigny, du Chablais et du Genevois neutralise, non point
comme provinces libres, mais au meme titre qu'elles ont ete possedees
par la Sardaigne, savoir comme portions de territoire pour lesquelles
l'Europe a stipulee, en faveur de la Suisse, la meme neutralite que celle
qui a ete assignee par la Suisse elle-meme. Or, il est evident qu'il ne
peut etre tenu aucune flottille armee, ni eleve aucune fortification sur
un territoire neutralise auquel appartient naturellement aussi la partie
[unleserliches Material - 1 Zeichen fehlt]avoisienne, soit francaise, du lac de Geneve. A cet egard, la France
n'a ainsi aucun engagement a contracter, tout aussi peu que la Suisse
n'a a promettre d'observer la reciprocite. La Suisse doit en consequence
maintenir son programme primitif: Cession du territoire depuis les
Col-de Bonhomme au ruisseau de Usses et au Rhone, et elle doit don-
ner a reflechir aux puissances qu'un afsaiblissement de la Suisse serait
aussi injuste que contraire aux interets enropeens. A cette occasion,
nous ne pouvons nous empecher d'insister sur ce qu'il y a d'errone a
vouloir admettre que la neutralisation des provinces savoisiennes en
question n'aurait ete stipulee qu'en faveur du Piemont et a titre one-
reux pour la Suisse. Cette maniere de voir est contraire a la marche
historique de cette aflaire au congres de Vienne. Nous avons deja a
ce sujet rappele precedemment les ouvertures qui ont ete faites par
la delegation genevoise au commencement de fevrier 1815, ainsi bien
anterieurement a la note bien connue de M. de St-Marsan. Ce qu'il
y a d'errone dans cette maniere ressort plus clairement encore d'un
memoire qui a ete presente le 24 octobre 1814 par M. Guillaume de
Humboldt, membre du comite pour les affaires suisses, et dont nous
vous serons parvenir prochainement plusieurs exemplaires. Dans cet
important document on reconnaeit clairement que la concession d'une
bonne srontiere militaire a la Suisse serait aussi bien dans l'interet
general de l'Europe que dans celui de la Confederation. La srontiere
la plus convenable est designee dans ce memoire comme suit: le cours
de la Valserine jusqu'au Rhone, le Rhone jusqu'au Fier, le cours de
cette riviere encaissee en remontant jusqu'a la source au mont Char-
vin et enfin les hautes cimes de la chaeine qui borne le Faucigoy jus-
qu'au Valais. La Suisse acquerrait par la une frontiere impenetrable
et en retour elle serait chargee de la garde des passages du Grand-St-
Bernard et du Simplon, les plus importants de tous, et a la saurete des-
quels on aurait pourvu le mieux possible en la confiant au pays qui y
a le plus d'interet. Dans cet expose historique remarquable il est
deelare en outre que sans une bonne frontiere Geneve compromettrait
et exposerait le reste de la Suisse, au lieu de la fortifier, et on perdrait
tous les avantages que la position de Geneve, comme clef des passa-
ges en Italie, peut assurer dans l'avenir pour le maintien de la paix en
Europe. En presence de ce fait, tout juge impartial devra convenir
que la concession d'une bonne frontiere militaire a la Suisse a deja en
1814 ete reconnue comme etant dans l'interet de l'Europe elle-meme,
et que la neutralisation des provinces savoisiennes en question a ete,
a proprement parler, stipulee aussi bien dans cet interet general que
dans l'interet particulier de la Suisse. II est done eonsorme a la posi-
tion de la Confederation de repousser toute proposition contraire a la
realisation de ce but principal, et de reserver son bon droit. Par contre
il doit imparter aux hautes puissances de maintenir leurs stipulations
arretees a un point de vue superieur, et de proteger la Suisse dans ses
droits bien acquis. Nous vous invitons a declarer par ecrit et dans le
sens de la presente note au cabinet pres lequel vous etes accredite,
que et pourquoi la Suisse ne saurait accepter les derniers offres de
la France, qu'elle doit maintenir son programme, et ne peut que renou-
veler l'expression du voeu que la conserence ne tarde pas a se reunir
pour resoudre dans le sens des traites une que-tion qui est d'un inte-
ret europeen general.

Großbritannien.

Die -- keineswegs überrascheude -- Kunde daß Lord J. Russell seine
todtgeborne Reformbill endlich selbst zurückgezogen, hat uns bereits vorgestern
der Telegraph angezeigt. Viel langweiliges Parlamentsgerede ist damit er-
[Spaltenumbruch] spart. Die Times vom 11 Jun. hatte diese "Katastrophe" wie folgt bevor
wortet: "Niemand kann sagen ob der heutige Tag bestimmt ist die wirkliche
Zurückziehung der Reformbill zu sehen, aber jedermann muß erkennen daß
dieses Ereigniß sich nicht lange mehr verschieben läßt. Wenn die Minister
durchaus die Komödie fortspielen wollen, als wär' es ihnen um Durchführung
der Bill zu thun, so müssen sie den auf diese Art allenfalls zu gewinnenden
Vortheil damit erkaufen daß sie auf die Hoffnung diese Session durch eine
einzige Maßregel von hoher Bedeutung auszuzeichnen vollständig verzichten.
Was die letzten Debatten über diese Frage betrifft, so müssen wir fagen daß
man von beiden Seiten ein wenig über die Gränzen der conventionellen
Heuchelei hinausgegangen ist. Es war wirklich zu offenbar daß keinem der
Sprecher an der Reformfrage selbst viel lag, daß aber jeder sich be-
mühte die Verwerfung der Bill dem Gegner in die Schuhe zu schieben. Es
gibt aber viele, obgleich Lord John Russe es nicht glauben will, die mehr
Dankbarkeit als Entrüstung gegen diejenigen empfinden werden welche seiner
Bill gründlich den Garaus machen." Die Times führt eine Menge Trost-
gründe für das Erlöschen der dießjährigen Reformhoffnung an, und sie denkt
offenbar daß ihre meisten Leser in derselben Gesinnung wie sie und über den
Verlust einer unangenehmen Bescheerung leicht zu trösten seyen. "Und am
Ende," meint sie, "ruht die Schuld auf andern und breitern Schultern (als
Lord Palmerstons und Hrn. Disraeli's), auf Schultern welche die Last wohl
ertragen können ohne zu wanken. Hätte die Maßregel bei der großen Masse
der Gebildeten im Lande den geringsten Anklang gefunden, so würden wir
ein ganz anderes Schauspiel erlebt haben. Das Ministerium hätte die Bill
mit unwiderstehlichem Eifer betrieben, und die Opposition ihm vorgehalten
daß es mit feiger Halbheit hinter den Wünschen des Volkes zurückbleibe. Hr.
Disraeli hätte zu Lord J. Ruffells demokratischem Plan ultrademokratische
Verbesserungsanträge gestellt, und im Wettkauf um die Volksgunst hätte es
geschehen können daß die Schranken der Verfassung niedergerissen worden
wären. Aber das Volk sagte nichts und that nichts, und so wurde von der
einen Seite nicht vorwärts gedrängt, und die andere fand den Muth zu hin-
dern und zurückzuzerren. Die Parteiführer haben die Frage zu eigenen Zwecken
mit Gewalt aufs Tapet gebracht, ohne das Publicum zu Rath zu ziehen;
aber das Publicum hat entschieden, und die Führer brauchen nicht darüber
zu zanken daß sie einem endgültigen und unwiderruflichen Entscheid, von dem
es keine Berufung gibt, Folge leisten."

In der Unterhaussitzung vom 11 Jun. war also die vertagte De-
batte über den Antrag daß das Haus in Committee über die Reformbill gehe,
an der Tagesordnung. Lord J. Russell ergriff das Wort zu folgender Er-
klärung. Die Negierung könne unmöglich mit Hrn. Mackinnon's Motion
(auf Verschiebung der Maßregel bis nach der Volkszählung) einverstanden seyn;
aber in Anbetracht daß 250 Mitglieder für Verschiebung gestimmt hätten,
könne sie auch nicht länger darauf dringen daß die Maßregel dieses Jahr
durchgeführt werde. Bei der Unmöglichkeit die Bill in dieser Session durch
beide Häuser zu bringen ohne die andern Geschäfte zu opfern, sey die Regie-
rung zu der Ansicht gelangt daß es ein müßiges und vielleicht sträfliches Be-
ginnen von ihr wäre vier oder fünf Nächte auf die Committeeberathung zu
verwenden, und nachher doch auf die Maßregel zu verzichten. Schon die Zahl
der vorangemerkten Amendements zeige daß die gewöhnliche Sessionszeit nicht
ausreichen würde um mit der Aufgabe fertig zu werden. Die Regierung habe
auch den Stand der Geschäfte im allgemeinen in Erwägung zu ziehen. Noch
viele wichtige Fragen seyen zu erledigen; zuerst die Voranschläge, dann die
Forderungen die der chinestsche Krieg veranlasse, und dann die wichtige Frage
der Küstenbefestigung. Es wäre vielleicht möglich geworden auch die Reform-
frage zur Lösung zu bringen, wenn man die Session bis zu einer übermäßigen
Länge ausgedehnt hätte, aber hiezu glaubte das Ministerium sich weder durch
die Stimmung des Publicums noch durch die Dringlichkeit der Sache selbst
ermächtigt. Er wisse wohl man werde ihm vorrücken daß er die Committee-
Berathungsmotion bis zum 4 Jun. warten ließ, allein hierauf habe er zu ent-
gegnen daß er nicht umhin konnte dem Schatzkanzler und seinem französischen
Vertrag, der eine so ungeheure Bedeutung für die Handelswelt habe, den
Vortritt zu lassen. Nachdem er auf diese Art die Regierung gegen den Ver-
dacht der Unaufrichtigkeit in ihren Reformbestrebungen erfolgreich vertheidigt
zu haben glaubt, kündigt der edle Lord seine Absicht an in nächster Session eine
andere Reformbill einzubringen. Hr. Mackinnon erklärt sich darauf bereit
sein Amendement zurücknehmen, und wünscht dem Lande Glück dazu daß diese
Frage "abgefertigt" sey. Hr. Disraeli findet daß die Regierung mit Klug-
heit und nicht ohne Würde gehandelt habe. Die Opposition werde der Re-
gierung nach Krästen beistehen um die übrigen Geschäfte der Session zu erle-
digen. Hr. Bright glaubt daß die Gründe welche die Regierung zur Zu-
rückmahme der Reformbill bewogen nicht im Amendement des liberalen Mit-
glieds für Rye (Mackinnon), sondern in der Feindseligkeit der Conserva-
tiven gegen alles was den Namen oder die Gestalt einer Reform trage,
gesucht werden müßten. Aber die Session von 1860 sey dofsenungeachtet
nicht verloren, denn sie habe 400 verschiedene Hemmnisse, mit denen der

[Spaltenumbruch] de n’avoir aucune flottille armée sur le lac de Genève, pour autant
que la Suisse observe la réeiprocité à cet égard; 3) enfin, la France
s’engagerait à n’élever aucune fortification dans une certaine portion
de territoire qui serait limitée par les monts de Vuache, de Sion et de
&Sr;alève. Nous avons l’honneur de vous inſormer, à ce sujet, que ces
propositions ne nous suffisent nullement, qu’elles ne sont point de na-
ture à tranquilliser la Suisse, pas plus qu’à compenser les droits et les
avantages qui, en 1815, ont été octroyés et solennellement garantis à
la Confédération par la neutralisation s[unleserliches Material – 1 Zeichen fehlt]ipulée par l’Europe dans l’in-
térêt général. Si vous jetez un coup d’œil sur la carte, vous verrez
au premier abord que la ligne du Col-de-Ferret jusqu’à Meillerie ne
saurait point être envisagée comme une concession, en ce que tout le
lac en aval de Meillerie demeurerait en possession de la France, et
que les minimes parcelles à céder à la Suisse n’auraient aucune signi-
fication, puisqu’elles n’ostriraient aucune ligne de retraite. Tout aussi
peu suffisante est l’offre de n’avoir aucune flottille armée sur le lac, et
de n’élever aucune fortification dans un certain rayon. La Suisse peut
déjà y prétendre de plein droit, en ce que la France a acquis les pro-
vinces du Faucigny, du Chablais et du Genevois neutralisé, non point
comme provinces libres, mais au même titre qu’elles ont été possédées
par la Sardaigne, savoir comme portions de territoire pour lesquelles
l’Europe a stipulée, en faveur de la Suisse, la même neutralité que celle
qui a été assignée par la Suisse elle-même. Or, il est évident qu’il ne
peut être tenu aucune flottille armée, ni élevé aucune fortification sur
un territoire neutralisé auquel appartient naturellement aussi la partie
[unleserliches Material – 1 Zeichen fehlt]avoisienne, soit française, du lac de Genève. A cet égard, la France
n’a ainsi aucun engagement à contracter, tout aussi peu que la Suisse
n’a à promettre d’observer la reciprocité. La Suisse doit en conséquence
maintenir son programme primitif: Cession du territoire depuis les
Col-de Bonhomme au ruisseau de Usses et au Rhône, et elle doit don-
ner à réflechir aux puissances qu’un afsaiblissement de la Suisse serait
aussi injuste que contraire aux intérêts enropéens. A cette occasion,
nous ne pouvons nous empêcher d’insister sur ce qu’il y a d’erroné à
vouloir admettre que la neutralisation des provinces savoisiennes en
question n’aurait été stipulée qu’en faveur du Piémont et à titre oné-
reux pour la Suisse. Cette manière de voir est contraire à la marche
historique de cette aflaire au congrès de Vienne. Nous avons déjà à
ce sujet rappelé précédemment les ouvertures qui ont été faites par
la délégation genevoise au commencement de février 1815, ainsi bien
antérieurement à la note bien connue de M. de St-Marsan. Ce qu’il
y a d’erroné dans cette manière ressort plus clairement encore d’un
mémoire qui a été présenté le 24 octobre 1814 par M. Guillaume de
Humboldt, membre du comité pour les affaires suisses, et dont nous
vous serons parvenir prochainement plusieurs exemplaires. Dans cet
important document on reconnaît clairement que la concession d’une
bonne srontière militaire à la Suisse serait aussi bien dans l’intérêt
général de l’Europe que dans celui de la Confédération. La srontière
la plus convenable est désignée dans ce mémoire comme suit: le cours
de la Valserine jusqu’au Rhône, le Rhône jusqu’au Fier, le cours de
cette rivière encaissée en remontant jusqu’à la source au mont Char-
vin et enfin les hautes cimes de la chaîne qui borne le Faucigoy jus-
qu’au Valais. La Suisse acquerrait par là une frontière impénétrable
et en retour elle serait chargée de la garde des passages du Grand-St-
Bernard et du Simplon, les plus importants de tous, et à la sûreté des-
quels on aurait pourvu le mieux possible en la confiant au pays qui y
a le plus d’intérêt. Dans cet exposé historique remarquable il est
déelaré en outre que sans une bonne frontière Genève compromettrait
et exposerait le reste de la Suisse, au lieu de la fortifier, et on perdrait
tous les avantages que la position de Genève, comme clef des passa-
ges en Italie, peut assurer dans l’avenir pour le maintien de la paix en
Europe. En présence de ce fait, tout juge impartial devra convenir
que la concession d’une bonne frontière militaire à la Suisse a déjà en
1814 été reconnue comme étant dans l’intérêt de l’Europe elle-même,
et que la neutralisation des provinces savoisiennes en question a été,
à proprement parler, stipulee aussi bien dans cet intérêt général que
dans l’intérêt particulier de la Suisse. II est done eonsorme à la posi-
tion de la Confédération de repousser toute proposition contraire à la
réalisation de ce but principal, et de reserver son bon droit. Par contre
il doit imparter aux hautes puissances de maintenir leurs stipulations
arrêtées à un point de vue supérieur, et de protéger la Suisse dans ses
droits bien acquis. Nous vous invitons à déclarer par écrit et dans le
sens de la présente note au cabinet près lequel vous êtes accrédité,
que et pourquoi la Suisse ne saurait accepter les derniers offres de
la France, qu’elle doit maintenir son programme, et ne peut que renou-
veler l’expression du vœu que la consérence ne tarde pas à se réunir
pour résoudre dans le sens des traités une que-tion qui est d’un inté-
rêt européen général.

Großbritannien.

Die — keineswegs überꝛaſcheude — Kunde daß Lord J. Ruſſell ſeine
todtgeborne Reformbill endlich ſelbſt zurückgezogen, hat uns bereits vorgeſtern
der Telegraph angezeigt. Viel langweiliges Parlamentsgerede iſt damit er-
[Spaltenumbruch] ſpart. Die Times vom 11 Jun. hatte dieſe „Kataſtrophe“ wie folgt bevor
wortet: „Niemand kann ſagen ob der heutige Tag beſtimmt iſt die wirkliche
Zurückziehung der Reformbill zu ſehen, aber jedermann muß erkennen daß
dieſes Ereigniß ſich nicht lange mehr verſchieben läßt. Wenn die Miniſter
durchaus die Komödie fortſpielen wollen, als wär’ es ihnen um Durchführung
der Bill zu thun, ſo müſſen ſie den auf dieſe Art allenfalls zu gewinnenden
Vortheil damit erkaufen daß ſie auf die Hoffnung dieſe Seſſion durch eine
einzige Maßregel von hoher Bedeutung auszuzeichnen vollſtändig verzichten.
Was die letzten Debatten über dieſe Frage betrifft, ſo müſſen wir fagen daß
man von beiden Seiten ein wenig über die Gränzen der conventionellen
Heuchelei hinausgegangen iſt. Es war wirklich zu offenbar daß keinem der
Sprecher an der Reformfrage ſelbſt viel lag, daß aber jeder ſich be-
mühte die Verwerfung der Bill dem Gegner in die Schuhe zu ſchieben. Es
gibt aber viele, obgleich Lord John Ruſſe es nicht glauben will, die mehr
Dankbarkeit als Entrüſtung gegen diejenigen empfinden werden welche ſeiner
Bill gründlich den Garaus machen.“ Die Times führt eine Menge Troſt-
gründe für das Erlöſchen der dießjährigen Reformhoffnung an, und ſie denkt
offenbar daß ihre meiſten Leſer in derſelben Geſinnung wie ſie und über den
Verluſt einer unangenehmen Beſcheerung leicht zu tröſten ſeyen. „Und am
Ende,“ meint ſie, „ruht die Schuld auf andern und breitern Schultern (als
Lord Palmerſtons und Hrn. Diſraeli’s), auf Schultern welche die Laſt wohl
ertragen können ohne zu wanken. Hätte die Maßregel bei der großen Maſſe
der Gebildeten im Lande den geringſten Anklang gefunden, ſo würden wir
ein ganz anderes Schauſpiel erlebt haben. Das Miniſterium hätte die Bill
mit unwiderſtehlichem Eifer betrieben, und die Oppoſition ihm vorgehalten
daß es mit feiger Halbheit hinter den Wünſchen des Volkes zurückbleibe. Hr.
Diſraeli hätte zu Lord J. Ruffells demokratiſchem Plan ultrademokratiſche
Verbeſſerungsanträge geſtellt, und im Wettkauf um die Volksgunſt hätte es
geſchehen können daß die Schranken der Verfaſſung niedergeriſſen worden
wären. Aber das Volk ſagte nichts und that nichts, und ſo wurde von der
einen Seite nicht vorwärts gedrängt, und die andere fand den Muth zu hin-
dern und zurückzuzerren. Die Parteiführer haben die Frage zu eigenen Zwecken
mit Gewalt aufs Tapet gebracht, ohne das Publicum zu Rath zu ziehen;
aber das Publicum hat entſchieden, und die Führer brauchen nicht darüber
zu zanken daß ſie einem endgültigen und unwiderruflichen Entſcheid, von dem
es keine Berufung gibt, Folge leiſten.“

In der Unterhausſitzung vom 11 Jun. war alſo die vertagte De-
batte über den Antrag daß das Haus in Committee über die Reformbill gehe,
an der Tagesordnung. Lord J. Ruſſell ergriff das Wort zu folgender Er-
klärung. Die Negierung könne unmöglich mit Hrn. Mackinnon’s Motion
(auf Verſchiebung der Maßregel bis nach der Volkszählung) einverſtanden ſeyn;
aber in Anbetracht daß 250 Mitglieder für Verſchiebung geſtimmt hätten,
könne ſie auch nicht länger darauf dringen daß die Maßregel dieſes Jahr
durchgeführt werde. Bei der Unmöglichkeit die Bill in dieſer Seſſion durch
beide Häuſer zu bringen ohne die andern Geſchäfte zu opfern, ſey die Regie-
rung zu der Anſicht gelangt daß es ein müßiges und vielleicht ſträfliches Be-
ginnen von ihr wäre vier oder fünf Nächte auf die Committeeberathung zu
verwenden, und nachher doch auf die Maßregel zu verzichten. Schon die Zahl
der vorangemerkten Amendements zeige daß die gewöhnliche Seſſionszeit nicht
ausreichen würde um mit der Aufgabe fertig zu werden. Die Regierung habe
auch den Stand der Geſchäfte im allgemeinen in Erwägung zu ziehen. Noch
viele wichtige Fragen ſeyen zu erledigen; zuerſt die Voranſchläge, dann die
Forderungen die der chineſtſche Krieg veranlaſſe, und dann die wichtige Frage
der Küſtenbefeſtigung. Es wäre vielleicht möglich geworden auch die Reform-
frage zur Löſung zu bringen, wenn man die Seſſion bis zu einer übermäßigen
Länge ausgedehnt hätte, aber hiezu glaubte das Miniſterium ſich weder durch
die Stimmung des Publicums noch durch die Dringlichkeit der Sache ſelbſt
ermächtigt. Er wiſſe wohl man werde ihm vorrücken daß er die Committee-
Berathungsmotion bis zum 4 Jun. warten ließ, allein hierauf habe er zu ent-
gegnen daß er nicht umhin konnte dem Schatzkanzler und ſeinem franzöſiſchen
Vertrag, der eine ſo ungeheure Bedeutung für die Handelswelt habe, den
Vortritt zu laſſen. Nachdem er auf dieſe Art die Regierung gegen den Ver-
dacht der Unaufrichtigkeit in ihren Reformbeſtrebungen erfolgreich vertheidigt
zu haben glaubt, kündigt der edle Lord ſeine Abſicht an in nächſter Seſſion eine
andere Reformbill einzubringen. Hr. Mackinnon erklärt ſich darauf bereit
ſein Amendement zurücknehmen, und wünſcht dem Lande Glück dazu daß dieſe
Frage „abgefertigt“ ſey. Hr. Diſraeli findet daß die Regierung mit Klug-
heit und nicht ohne Würde gehandelt habe. Die Oppoſition werde der Re-
gierung nach Kräſten beiſtehen um die übrigen Geſchäfte der Seſſion zu erle-
digen. Hr. Bright glaubt daß die Gründe welche die Regierung zur Zu-
rückmahme der Reformbill bewogen nicht im Amendement des liberalen Mit-
glieds für Rye (Mackinnon), ſondern in der Feindſeligkeit der Conſerva-
tiven gegen alles was den Namen oder die Geſtalt einer Reform trage,
geſucht werden müßten. Aber die Seſſion von 1860 ſey dofſenungeachtet
nicht verloren, denn ſie habe 400 verſchiedene Hemmniſſe, mit denen der

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[2784/0004] de n’avoir aucune flottille armée sur le lac de Genève, pour autant que la Suisse observe la réeiprocité à cet égard; 3) enfin, la France s’engagerait à n’élever aucune fortification dans une certaine portion de territoire qui serait limitée par les monts de Vuache, de Sion et de &Sr;alève. Nous avons l’honneur de vous inſormer, à ce sujet, que ces propositions ne nous suffisent nullement, qu’elles ne sont point de na- ture à tranquilliser la Suisse, pas plus qu’à compenser les droits et les avantages qui, en 1815, ont été octroyés et solennellement garantis à la Confédération par la neutralisation s_ipulée par l’Europe dans l’in- térêt général. Si vous jetez un coup d’œil sur la carte, vous verrez au premier abord que la ligne du Col-de-Ferret jusqu’à Meillerie ne saurait point être envisagée comme une concession, en ce que tout le lac en aval de Meillerie demeurerait en possession de la France, et que les minimes parcelles à céder à la Suisse n’auraient aucune signi- fication, puisqu’elles n’ostriraient aucune ligne de retraite. Tout aussi peu suffisante est l’offre de n’avoir aucune flottille armée sur le lac, et de n’élever aucune fortification dans un certain rayon. La Suisse peut déjà y prétendre de plein droit, en ce que la France a acquis les pro- vinces du Faucigny, du Chablais et du Genevois neutralisé, non point comme provinces libres, mais au même titre qu’elles ont été possédées par la Sardaigne, savoir comme portions de territoire pour lesquelles l’Europe a stipulée, en faveur de la Suisse, la même neutralité que celle qui a été assignée par la Suisse elle-même. Or, il est évident qu’il ne peut être tenu aucune flottille armée, ni élevé aucune fortification sur un territoire neutralisé auquel appartient naturellement aussi la partie _avoisienne, soit française, du lac de Genève. A cet égard, la France n’a ainsi aucun engagement à contracter, tout aussi peu que la Suisse n’a à promettre d’observer la reciprocité. La Suisse doit en conséquence maintenir son programme primitif: Cession du territoire depuis les Col-de Bonhomme au ruisseau de Usses et au Rhône, et elle doit don- ner à réflechir aux puissances qu’un afsaiblissement de la Suisse serait aussi injuste que contraire aux intérêts enropéens. A cette occasion, nous ne pouvons nous empêcher d’insister sur ce qu’il y a d’erroné à vouloir admettre que la neutralisation des provinces savoisiennes en question n’aurait été stipulée qu’en faveur du Piémont et à titre oné- reux pour la Suisse. Cette manière de voir est contraire à la marche historique de cette aflaire au congrès de Vienne. Nous avons déjà à ce sujet rappelé précédemment les ouvertures qui ont été faites par la délégation genevoise au commencement de février 1815, ainsi bien antérieurement à la note bien connue de M. de St-Marsan. Ce qu’il y a d’erroné dans cette manière ressort plus clairement encore d’un mémoire qui a été présenté le 24 octobre 1814 par M. Guillaume de Humboldt, membre du comité pour les affaires suisses, et dont nous vous serons parvenir prochainement plusieurs exemplaires. Dans cet important document on reconnaît clairement que la concession d’une bonne srontière militaire à la Suisse serait aussi bien dans l’intérêt général de l’Europe que dans celui de la Confédération. La srontière la plus convenable est désignée dans ce mémoire comme suit: le cours de la Valserine jusqu’au Rhône, le Rhône jusqu’au Fier, le cours de cette rivière encaissée en remontant jusqu’à la source au mont Char- vin et enfin les hautes cimes de la chaîne qui borne le Faucigoy jus- qu’au Valais. La Suisse acquerrait par là une frontière impénétrable et en retour elle serait chargée de la garde des passages du Grand-St- Bernard et du Simplon, les plus importants de tous, et à la sûreté des- quels on aurait pourvu le mieux possible en la confiant au pays qui y a le plus d’intérêt. Dans cet exposé historique remarquable il est déelaré en outre que sans une bonne frontière Genève compromettrait et exposerait le reste de la Suisse, au lieu de la fortifier, et on perdrait tous les avantages que la position de Genève, comme clef des passa- ges en Italie, peut assurer dans l’avenir pour le maintien de la paix en Europe. En présence de ce fait, tout juge impartial devra convenir que la concession d’une bonne frontière militaire à la Suisse a déjà en 1814 été reconnue comme étant dans l’intérêt de l’Europe elle-même, et que la neutralisation des provinces savoisiennes en question a été, à proprement parler, stipulee aussi bien dans cet intérêt général que dans l’intérêt particulier de la Suisse. II est done eonsorme à la posi- tion de la Confédération de repousser toute proposition contraire à la réalisation de ce but principal, et de reserver son bon droit. Par contre il doit imparter aux hautes puissances de maintenir leurs stipulations arrêtées à un point de vue supérieur, et de protéger la Suisse dans ses droits bien acquis. Nous vous invitons à déclarer par écrit et dans le sens de la présente note au cabinet près lequel vous êtes accrédité, que et pourquoi la Suisse ne saurait accepter les derniers offres de la France, qu’elle doit maintenir son programme, et ne peut que renou- veler l’expression du vœu que la consérence ne tarde pas à se réunir pour résoudre dans le sens des traités une que-tion qui est d’un inté- rêt européen général. Großbritannien. London, 12 Juni. Die — keineswegs überꝛaſcheude — Kunde daß Lord J. Ruſſell ſeine todtgeborne Reformbill endlich ſelbſt zurückgezogen, hat uns bereits vorgeſtern der Telegraph angezeigt. Viel langweiliges Parlamentsgerede iſt damit er- ſpart. Die Times vom 11 Jun. hatte dieſe „Kataſtrophe“ wie folgt bevor wortet: „Niemand kann ſagen ob der heutige Tag beſtimmt iſt die wirkliche Zurückziehung der Reformbill zu ſehen, aber jedermann muß erkennen daß dieſes Ereigniß ſich nicht lange mehr verſchieben läßt. Wenn die Miniſter durchaus die Komödie fortſpielen wollen, als wär’ es ihnen um Durchführung der Bill zu thun, ſo müſſen ſie den auf dieſe Art allenfalls zu gewinnenden Vortheil damit erkaufen daß ſie auf die Hoffnung dieſe Seſſion durch eine einzige Maßregel von hoher Bedeutung auszuzeichnen vollſtändig verzichten. Was die letzten Debatten über dieſe Frage betrifft, ſo müſſen wir fagen daß man von beiden Seiten ein wenig über die Gränzen der conventionellen Heuchelei hinausgegangen iſt. Es war wirklich zu offenbar daß keinem der Sprecher an der Reformfrage ſelbſt viel lag, daß aber jeder ſich be- mühte die Verwerfung der Bill dem Gegner in die Schuhe zu ſchieben. Es gibt aber viele, obgleich Lord John Ruſſe es nicht glauben will, die mehr Dankbarkeit als Entrüſtung gegen diejenigen empfinden werden welche ſeiner Bill gründlich den Garaus machen.“ Die Times führt eine Menge Troſt- gründe für das Erlöſchen der dießjährigen Reformhoffnung an, und ſie denkt offenbar daß ihre meiſten Leſer in derſelben Geſinnung wie ſie und über den Verluſt einer unangenehmen Beſcheerung leicht zu tröſten ſeyen. „Und am Ende,“ meint ſie, „ruht die Schuld auf andern und breitern Schultern (als Lord Palmerſtons und Hrn. Diſraeli’s), auf Schultern welche die Laſt wohl ertragen können ohne zu wanken. Hätte die Maßregel bei der großen Maſſe der Gebildeten im Lande den geringſten Anklang gefunden, ſo würden wir ein ganz anderes Schauſpiel erlebt haben. Das Miniſterium hätte die Bill mit unwiderſtehlichem Eifer betrieben, und die Oppoſition ihm vorgehalten daß es mit feiger Halbheit hinter den Wünſchen des Volkes zurückbleibe. Hr. Diſraeli hätte zu Lord J. Ruffells demokratiſchem Plan ultrademokratiſche Verbeſſerungsanträge geſtellt, und im Wettkauf um die Volksgunſt hätte es geſchehen können daß die Schranken der Verfaſſung niedergeriſſen worden wären. Aber das Volk ſagte nichts und that nichts, und ſo wurde von der einen Seite nicht vorwärts gedrängt, und die andere fand den Muth zu hin- dern und zurückzuzerren. Die Parteiführer haben die Frage zu eigenen Zwecken mit Gewalt aufs Tapet gebracht, ohne das Publicum zu Rath zu ziehen; aber das Publicum hat entſchieden, und die Führer brauchen nicht darüber zu zanken daß ſie einem endgültigen und unwiderruflichen Entſcheid, von dem es keine Berufung gibt, Folge leiſten.“ In der Unterhausſitzung vom 11 Jun. war alſo die vertagte De- batte über den Antrag daß das Haus in Committee über die Reformbill gehe, an der Tagesordnung. Lord J. Ruſſell ergriff das Wort zu folgender Er- klärung. Die Negierung könne unmöglich mit Hrn. Mackinnon’s Motion (auf Verſchiebung der Maßregel bis nach der Volkszählung) einverſtanden ſeyn; aber in Anbetracht daß 250 Mitglieder für Verſchiebung geſtimmt hätten, könne ſie auch nicht länger darauf dringen daß die Maßregel dieſes Jahr durchgeführt werde. Bei der Unmöglichkeit die Bill in dieſer Seſſion durch beide Häuſer zu bringen ohne die andern Geſchäfte zu opfern, ſey die Regie- rung zu der Anſicht gelangt daß es ein müßiges und vielleicht ſträfliches Be- ginnen von ihr wäre vier oder fünf Nächte auf die Committeeberathung zu verwenden, und nachher doch auf die Maßregel zu verzichten. Schon die Zahl der vorangemerkten Amendements zeige daß die gewöhnliche Seſſionszeit nicht ausreichen würde um mit der Aufgabe fertig zu werden. Die Regierung habe auch den Stand der Geſchäfte im allgemeinen in Erwägung zu ziehen. Noch viele wichtige Fragen ſeyen zu erledigen; zuerſt die Voranſchläge, dann die Forderungen die der chineſtſche Krieg veranlaſſe, und dann die wichtige Frage der Küſtenbefeſtigung. Es wäre vielleicht möglich geworden auch die Reform- frage zur Löſung zu bringen, wenn man die Seſſion bis zu einer übermäßigen Länge ausgedehnt hätte, aber hiezu glaubte das Miniſterium ſich weder durch die Stimmung des Publicums noch durch die Dringlichkeit der Sache ſelbſt ermächtigt. Er wiſſe wohl man werde ihm vorrücken daß er die Committee- Berathungsmotion bis zum 4 Jun. warten ließ, allein hierauf habe er zu ent- gegnen daß er nicht umhin konnte dem Schatzkanzler und ſeinem franzöſiſchen Vertrag, der eine ſo ungeheure Bedeutung für die Handelswelt habe, den Vortritt zu laſſen. Nachdem er auf dieſe Art die Regierung gegen den Ver- dacht der Unaufrichtigkeit in ihren Reformbeſtrebungen erfolgreich vertheidigt zu haben glaubt, kündigt der edle Lord ſeine Abſicht an in nächſter Seſſion eine andere Reformbill einzubringen. Hr. Mackinnon erklärt ſich darauf bereit ſein Amendement zurücknehmen, und wünſcht dem Lande Glück dazu daß dieſe Frage „abgefertigt“ ſey. Hr. Diſraeli findet daß die Regierung mit Klug- heit und nicht ohne Würde gehandelt habe. Die Oppoſition werde der Re- gierung nach Kräſten beiſtehen um die übrigen Geſchäfte der Seſſion zu erle- digen. Hr. Bright glaubt daß die Gründe welche die Regierung zur Zu- rückmahme der Reformbill bewogen nicht im Amendement des liberalen Mit- glieds für Rye (Mackinnon), ſondern in der Feindſeligkeit der Conſerva- tiven gegen alles was den Namen oder die Geſtalt einer Reform trage, geſucht werden müßten. Aber die Seſſion von 1860 ſey dofſenungeachtet nicht verloren, denn ſie habe 400 verſchiedene Hemmniſſe, mit denen der

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Dieses Werk wurde gemäß den DTA-Transkriptionsrichtlinien im Double-Keying-Verfahren von Nicht-Muttersprachlern erfasst und in XML/TEI P5 nach DTA-Basisformat kodiert. Tabellen und Anzeigen wurden dabei textlich nicht erfasst und sind lediglich strukturell ausgewiesen.




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Zitationshilfe: Allgemeine Zeitung, Nr. 167, 15. Juni 1860, S. 2784. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/nn_allgemeine167_1860/4>, abgerufen am 06.06.2024.