Humboldt, Alexander von: Kosmos. Entwurf einer physischen Weltbeschreibung. Bd. 3. Stuttgart u. a., 1850.
25 (S. 499.) Venturi, Essai sur les ouvrages de Leonard de Vinci 1797 p. 11. 26 (S. 499.) Kepler, Paralip. vel Astronomiae pars optica 1604 p. 297. 27 (S. 500.) "On concoit que la vivacite de la lumiere rouge ne depend pas uniquement de l'etat de l'atmosphere, qui refracte, plus ou moins affaiblis, les rayons solaires, en les inflechissant dans le cone d'ombre, mais qu'elle est modifiee surtout par la transparence variable de la partie de l'atmosphere a travers laquelle nous apercevons la lune eclipsee. Sous les Tropiques, une grande serenite du ciel, une dissemination uniforme des vapeurs diminuent l'extinction de la lumiere que le disque lunaire nous renvoie." Humboldt, Voyage aux Regions equinoxiales T. III. p. 544 und Recueil d'Observ. astronomiques Vol. II. p. 145. (Arago bemerkt: "Les rayons solaires arrivent a notre satellite par l'effet d'une refraction et a la suite d'une absorption dans les couches les plus basses de l'atmosphere terrestre; pourraient-ils avoir une autre teinte que le rouge?" Annuaire pour 1842 p. 528.) 28 (S. 500.) Babinet erklärt die Röthung für eine Folge der Diffraction in einer Notiz über den verschiedenen Antheil des weißen, blauen und rothen Lichtes, welches sich bei der Inflexion erzeugt; s. dessen Betrachtungen über die Total-Finsterniß des Mondes vom 19 März 1848 in Moigno's Repertoire d'Optique moderne 1850 T. IV. p. 1656. "La lumiere diffractee qui penetre dans l'ombre de la terre, predomine toujours et meme a ete seule sensible. Elle est d'autant plus rouge ou orangee qu'elle se trouve plus pres du centre de l'ombre geometrique; car ce sont les rayons les moins refrangibles qui se propagent le plus abondamment par diffraction, a mesure qu'on s'eloigne de la propagation en ligne droite." Die Phänomene der Diffraction finden, nach den scharfsinnigen Untersuchungen von Magnus (bei Gelegenheit einer Discussion zwischen Airy und Faraday), auch im luftleeren Raume statt. Vergl. über die Erklärungen durch Diffraction im allgemeinen Arago im Annuaire pour 1846 p. 452-455. 29 (S. 500.) Plutarch (de facie in orbe Lunae), Moral. ed. Wyttenb. T. IV. p. 780-783: "Die feurige, kohlenartig 25 (S. 499.) Venturi, Essai sur les ouvrages de Léonard de Vinci 1797 p. 11. 26 (S. 499.) Kepler, Paralip. vel Astronomiae pars optica 1604 p. 297. 27 (S. 500.) »On conçoit que la vivacité de la lumière rouge ne dépend pas uniquement de l'état de l'atmosphère, qui réfracte, plus ou moins affaiblis, les rayons solaires, en les infléchissant dans le cône d'ombre, mais qu'elle est modifiée surtout par la transparence variable de la partie de l'atmosphère à travers laquelle nous apercevons la lune éclipsée. Sous les Tropiques, une grande sérénité du ciel, une dissémination uniforme des vapeurs diminuent l'extinction de la lumière que le disque lunaire nous renvoie.« Humboldt, Voyage aux Régions équinoxiales T. III. p. 544 und Recueil d'Observ. astronomiques Vol. II. p. 145. (Arago bemerkt: »Les rayons solaires arrivent à notre satellite par l'effet d'une réfraction et à la suite d'une absorption dans les couches les plus basses de l'atmosphère terrestre; pourraient-ils avoir une autre teinte que le rouge?« Annuaire pour 1842 p. 528.) 28 (S. 500.) Babinet erklärt die Röthung für eine Folge der Diffraction in einer Notiz über den verschiedenen Antheil des weißen, blauen und rothen Lichtes, welches sich bei der Inflexion erzeugt; s. dessen Betrachtungen über die Total-Finsterniß des Mondes vom 19 März 1848 in Moigno's Répertoire d'Optique moderne 1850 T. IV. p. 1656. »La lumière diffractée qui pénètre dans l'ombre de la terre, prédomine toujours et même a été seule sensible. Elle est d'autant plus rouge ou orangée qu'elle se trouve plus près du centre de l'ombre géométrique; car ce sont les rayons les moins réfrangibles qui se propagent le plus abondamment par diffraction, à mesure qu'on s'éloigne de la propagation en ligne droite.« Die Phänomene der Diffraction finden, nach den scharfsinnigen Untersuchungen von Magnus (bei Gelegenheit einer Discussion zwischen Airy und Faraday), auch im luftleeren Raume statt. Vergl. über die Erklärungen durch Diffraction im allgemeinen Arago im Annuaire pour 1846 p. 452–455. 29 (S. 500.) Plutarch (de facie in orbe Lunae), Moral. ed. Wyttenb. T. IV. p. 780–783: „Die feurige, kohlenartig <TEI> <text> <body> <div n="1"> <div n="2"> <div n="3"> <div n="4"> <div n="5"> <pb facs="#f0546" n="541"/> <note xml:id="ftn569-text" prev="ftn569" place="end" n="25"> (S. 499.) <hi rendition="#g">Venturi, Essai sur les ouvrages de Léonard de Vinci</hi> 1797 p. 11.</note> <note xml:id="ftn570-text" prev="ftn570" place="end" n="26"> (S. 499.) <hi rendition="#g">Kepler, Paralip. vel Astronomiae pars optica</hi> 1604 p. 297.</note> <note xml:id="ftn571-text" prev="ftn571" place="end" n="27"> (S. 500.) »On conçoit que la vivacité de la lumière rouge ne dépend pas uniquement de l'état de l'atmosphère, qui réfracte, plus ou moins affaiblis, les rayons solaires, en les infléchissant dans le cône d'ombre, mais qu'elle est modifiée surtout par la transparence variable de la partie de l'atmosphère à travers laquelle nous apercevons la lune éclipsée. 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²⁵ (S. 499.) Venturi, Essai sur les ouvrages de Léonard de Vinci 1797 p. 11.
²⁶ (S. 499.) Kepler, Paralip. vel Astronomiae pars optica 1604 p. 297.
²⁷ (S. 500.) »On conçoit que la vivacité de la lumière rouge ne dépend pas uniquement de l'état de l'atmosphère, qui réfracte, plus ou moins affaiblis, les rayons solaires, en les infléchissant dans le cône d'ombre, mais qu'elle est modifiée surtout par la transparence variable de la partie de l'atmosphère à travers laquelle nous apercevons la lune éclipsée. Sous les Tropiques, une grande sérénité du ciel, une dissémination uniforme des vapeurs diminuent l'extinction de la lumière que le disque lunaire nous renvoie.« Humboldt, Voyage aux Régions équinoxiales T. III. p. 544 und Recueil d'Observ. astronomiques Vol. II. p. 145. (Arago bemerkt: »Les rayons solaires arrivent à notre satellite par l'effet d'une réfraction et à la suite d'une absorption dans les couches les plus basses de l'atmosphère terrestre; pourraient-ils avoir une autre teinte que le rouge?« Annuaire pour 1842 p. 528.)
²⁸ (S. 500.) Babinet erklärt die Röthung für eine Folge der Diffraction in einer Notiz über den verschiedenen Antheil des weißen, blauen und rothen Lichtes, welches sich bei der Inflexion erzeugt; s. dessen Betrachtungen über die Total-Finsterniß des Mondes vom 19 März 1848 in Moigno's Répertoire d'Optique moderne 1850 T. IV. p. 1656. »La lumière diffractée qui pénètre dans l'ombre de la terre, prédomine toujours et même a été seule sensible. Elle est d'autant plus rouge ou orangée qu'elle se trouve plus près du centre de l'ombre géométrique; car ce sont les rayons les moins réfrangibles qui se propagent le plus abondamment par diffraction, à mesure qu'on s'éloigne de la propagation en ligne droite.« Die Phänomene der Diffraction finden, nach den scharfsinnigen Untersuchungen von Magnus (bei Gelegenheit einer Discussion zwischen Airy und Faraday), auch im luftleeren Raume statt. Vergl. über die Erklärungen durch Diffraction im allgemeinen Arago im Annuaire pour 1846 p. 452–455.
²⁹ (S. 500.) Plutarch (de facie in orbe Lunae), Moral. ed. Wyttenb. T. IV. p. 780–783: „Die feurige, kohlenartig
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| Zitationshilfe: | Humboldt, Alexander von: Kosmos. Entwurf einer physischen Weltbeschreibung. Bd. 3. Stuttgart u. a., 1850, S. 541. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/humboldt_kosmos03_1850/546>, abgerufen am 27.07.2024. |
