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Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 172, Hamburg, 27. Oktober 1813.

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cote de la Russie, puissance avec laquelle S.
M. avoit religieusement observe les relations
amicales, qui avoient subsiste pour le bonheur
reciproque des deux etats pendant une si lon-
gue suite d'annees.

Cela non obstant le Roi a dau se convaincre
plus tard, que par la dite convention S. M.
Imperiale s'etoit engagee de mettre par son
secours le Roi de Suede en possession de la
Norvege.

Independamment des declarations reitirees
de la cour de Russie, que le Roi ne pourroit
d'aucune maniere se soustraire au sacrifice
de Son royaume, exige de Lui, par lesquelles
S. M. a dau Se convaincre du danger dont le
traite fait entre la Russie et la Suede mena-
coit l'etat, les transactions publiques dans le
parlement anglais ont encore suffisamment ma-
nifeste, que la Russie a meme persuade le
gouvernement anglais a acceder au Traite
conclau a Abo base sur l'assujettissement de
la Norvege.

La cour de Russie ayant ainsi mis en evi-
dence des principes politiques non seulement
contraires aux etroites relations d'amitie que
pendant plus d'un siecle les souverains de
Russie avaient pris pour regle de suivre, mais
qui en outre ont evidemment pour but de
depouiller le Roi d'un Royaume, il ne restoit
a S. M. qu'a reserrer plus etroitement les
liens, formes deja dans l'annee 1807 entre Elle
et S. M. l'Empereur des Francais, qui Lui a
garanti l'integrite de Ses etats.

S. M. s'attend avec une confiance sans bor-
nes a ce que moyennant l'appuy de S. M. Im-
periale et a l'aide vigoureux de ses propres
fideles sujets sa monarchie continuera de
jouir d'une surete a laquelle il ne sera point
porte atteinte.

L'Empereur de Russie a deja rappelle son
ministre de la cour de S. M., et a fait decla-
rer en meme temps, que de son cote il
avait fait cesser les rapports diplomatiques
entre les deux etats. Le Roi a repondu a
cette declaration en rappellant son ministre de
la cour de St. Petersbourg, regrettant infini-
ment de voir ainsi rompus les liens, qui ont
subsiste entre les ancetres de S. M. et les
monarques de l'Empire de Russie a l'avanta-
ge reciproque des deux etats respectifs.

Bien loin d'avoir provoque l'etat de guerre
ou ses etats se trouvent ainsi engages avec
l'empire de Russie, le Roi a de tout tems fait
preuve de Son penchant d'agir en faveur des
interets de la Russie, meme en y employant
les forces de Ses etats.

En vertu de l'alliance, qui subsiste entre le
Roi et S. M. l'Empereur des Francois, un
corps auxiliaire de Ses troupes s'est reuni a
l'armee Francoise pour contribuer a tenir les
ennemis de Ses etats eloignes de la frontiere
du Holstein. Le Roi compte avec confiance
sur le devouement de Ses troupes et sur la
bravoure avec la quelle elles combattent a
cote de celles de Son Auguste Allie pour la
defense de la patrie et pour le maintien de


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gewissenhaft die freundschaftlichen Verbindungen
unterhielt, die zum Besten beyder Staaten in einer
langen Reihe von Jahren Statt gefunden haben.

Demungeachtet mußte der König sich später über-
zeugen, daß durch jenes Bündniß Se. Kayserliche
Majestät sich verpflichtet hatten, durch ihren Bey-
stand den König von Schweden in den Besitz von
Norwegen zu setzen.

Außer, daß die wiederholten Erklärungen des
Rußischen Hofes, daß der König auf keine Weise
es würde entgehen können, das Sr. Majestät abge-
forderte Opfer seines Königreichs zu bringen, Se.
Majestät von der Gefahr überzeugten, womit das
Bündniß zwischen Rußland und Schweden dem
Staate drohten, haben die öffentlichen Verhand-
lungen in dem Englischen Parlement genugsam ge-
zeigt, daß sogar Rußland die Englische Negierung
vermocht hat, dem in Abo mit Schweden geschlos-
senen Tractat beyzutreten, worin die Unterwerfung
Norwegens unter Schweden zum Grunde gelegt
worden.

Da der Rußische Hof solchergestalt an den Tag
gelegt hatte, daß er politische Grundsätze ange-
nommen hat, die nicht allein der genauen freund-
schaftlichen Verbindung widerstreiten, welcher zu
folgen die Beherrscher des Rußischen Reichs seit
mehr als einem Jahrhundert sich zur Regel mach-
ten, sondern offenbar den Zweck haben, dem Könige
ein Königreich zu entreißen, so blieb Sr. Majestät
nichts anders übrig, als die Vereinigung genauer
zu knüpfen, die Se. Majestät bereits im Jahr 1807
mit Sr. Majestät dem Französischen Kayser ein-
giengen, die Allerhöchstdemselben den ungetheilten
Besitz Seiner Staaten garantirt hat.

Se. Majestät erwartet mit unbegränztem Zu-
trauen, daß durch Sr. Kayserl. Majestät Unter-
stützung und Seiner eigenen treuen Unterthanen
kräftigen Beystand die Sicherheit Seiner Monarchie
ferner unverletzt bestehen wird.

Der Kayser von Rußland hat bereits Seine Ge-
sandtschaft an Sr. Majestät des Königs Hofe abbe-
rufen, und dadurch erklären lassen, daß die diplo-
matischen Verhältnisse zwischen beyden Staaten von
Seiner Seite aufgehoben sind.

Der König hat auf diese Erklärung durch die
Abberufung Seiner Gesandtschaft vom Hofe zu St.
Petersburg geantwortet. Se. Majestät haben höchst
ungern die freundschaftlichen Verhältnisse aufgelöset
gesehen, die zu beyder Staaten gegenseitigem Vor-
theil zwischen Sr. Majestät Vorfahren und den
Monarchen des Rußischen Reiches bestanden haben.

Weit entfernt, Veranlassung gegeben zu haben,
daß Allerhöchstderen Staaten solchergestalt in Krieg
mit dem Rußischen Reiche verwickelt worden, hat
der König zu allen Zeiten Beweise Seiner Geneigt-
heit zu Rußlands Vortheil, selbst mit Anwendung
der Kräfte Seines Staats zu wirken, gegeben.

Jn Folge der zwischen dem Könige und Sr. Ma-
jestät dem Kayser der Franzosen bestehenden Allianz,
hat ein Hülfs-Corps Seiner Truppen sich mit der
Französischen Armee vereinigt, um dazu beyzutra-
gen, die Feinde Seines Staats von den Holstei-
nischen Gränzen abzuhalten. Der König stützt sich
mit Vertrauen auf die Anhänglichkeit Seiner Trup-
pen und auf die Tapferkeit, womit sie, den Trup-
pen Seines hohen Alliirten zur Seite, zur Ver-


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côté de la Russie, puissance avec laquelle S.
M. avoit religieusement observé les rélations
amicales, qui avoient subsisté pour le bonheur
reciproque des deux états pendant une si lon-
gue suite d’années.

Cela non obstant le Roi a dû se convaincre
plus tard, que par la dite convention S. M.
Impériale s’étoit engagée de mettre par son
sécours le Roi de Suède en possession de la
Norvège.

Independamment des declarations réitirées
de la cour de Russie, que le Roi ne pourroit
d’aucune manière se soustraire au sacrifice
de Son royaume, exigé de Lui, par lesquelles
S. M. a dû Se convaincre du danger dont le
traité fait entre la Russie et la Suède mena-
çoit l’état, les transactions publiques dans le
parlement anglais ont encore suffisamment ma-
nifesté, que la Russie a même persuadé le
gouvernement anglais à acceder au Traité
conclû à Abo basé sur l’assujettissement de
la Norvège.

La cour de Russie ayant ainsi mis en evi-
dence des principes politiques non seulement
contraires aux étroites rélations d’amitié que
pendant plus d’un siècle les souverains de
Russie avaient pris pour règle de suivre, mais
qui en outre ont évidemment pour but de
depouiller le Roi d’un Royaume, il ne restoit
à S. M. qu’à reserrer plus étroitement les
liens, formés déjà dans l’année 1807 entre Elle
et S. M. l’Empereur des Français, qui Lui a
garanti l’intégrité de Ses états.

S. M. s’attend avec une confiance sans bor-
nes à ce que moyennant l’appuy de S. M. Im-
périale et à l’aide vigoureux de ses propres
fidéles sujets sa monarchie continuera de
jouir d’une sureté a laquelle il ne sera point
porté atteinte.

L’Empereur de Russie a déjà rappellé son
ministre de la cour de S. M., et a fait décla-
rer en même temps, que de son côté il
avait fait cesser les rapports diplomatiques
entre les deux états. Le Roi a repondu à
cette déclaration en rappellant son ministre de
la cour de St. Pétersbourg, regrettant infini-
ment de voir ainsi rompus les liens, qui ont
subsisté entre les ancétres de S. M. et les
monarques de l’Empire de Russie à l’avanta-
ge reciproque des deux états respectifs.

Bien loin d’avoir provoqué l’état de guerre
où ses états se trouvent ainsi engagés avec
l’empire de Russie, le Roi a de tout tems fait
preuve de Son penchant d’agir en faveur des
intérêts de la Russie, même en y employant
les forces de Ses états.

En vertu de l’alliance, qui subsiste entre le
Roi et S. M. l’Empereur des François, un
corps auxiliaire de Ses troupes s’est réuni à
l’armée Françoise pour contribuer à tenir les
ennemis de Ses états éloignés de la frontière
du Holstein. Le Roi compte avec confiance
sur le devouement de Ses troupes et sur la
bravoure avec la quelle elles combattent à
coté de celles de Son Auguste Allié pour la
defense de la patrie et pour le maintien de


[Spaltenumbruch]

gewiſſenhaft die freundſchaftlichen Verbindungen
unterhielt, die zum Beſten beyder Staaten in einer
langen Reihe von Jahren Statt gefunden haben.

Demungeachtet mußte der Koͤnig ſich ſpaͤter uͤber-
zeugen, daß durch jenes Buͤndniß Se. Kayſerliche
Majeſtaͤt ſich verpflichtet hatten, durch ihren Bey-
ſtand den Koͤnig von Schweden in den Beſitz von
Norwegen zu ſetzen.

Außer, daß die wiederholten Erklaͤrungen des
Rußiſchen Hofes, daß der Koͤnig auf keine Weiſe
es wuͤrde entgehen koͤnnen, das Sr. Majeſtaͤt abge-
forderte Opfer ſeines Koͤnigreichs zu bringen, Se.
Majeſtaͤt von der Gefahr uͤberzeugten, womit das
Buͤndniß zwiſchen Rußland und Schweden dem
Staate drohten, haben die oͤffentlichen Verhand-
lungen in dem Engliſchen Parlement genugſam ge-
zeigt, daß ſogar Rußland die Engliſche Negierung
vermocht hat, dem in Abo mit Schweden geſchloſ-
ſenen Tractat beyzutreten, worin die Unterwerfung
Norwegens unter Schweden zum Grunde gelegt
worden.

Da der Rußiſche Hof ſolchergeſtalt an den Tag
gelegt hatte, daß er politiſche Grundſaͤtze ange-
nommen hat, die nicht allein der genauen freund-
ſchaftlichen Verbindung widerſtreiten, welcher zu
folgen die Beherrſcher des Rußiſchen Reichs ſeit
mehr als einem Jahrhundert ſich zur Regel mach-
ten, ſondern offenbar den Zweck haben, dem Koͤnige
ein Koͤnigreich zu entreißen, ſo blieb Sr. Majeſtaͤt
nichts anders uͤbrig, als die Vereinigung genauer
zu knuͤpfen, die Se. Majeſtaͤt bereits im Jahr 1807
mit Sr. Majeſtaͤt dem Franzoͤſiſchen Kayſer ein-
giengen, die Allerhoͤchſtdemſelben den ungetheilten
Beſitz Seiner Staaten garantirt hat.

Se. Majeſtaͤt erwartet mit unbegraͤnztem Zu-
trauen, daß durch Sr. Kayſerl. Majeſtaͤt Unter-
ſtuͤtzung und Seiner eigenen treuen Unterthanen
kraͤftigen Beyſtand die Sicherheit Seiner Monarchie
ferner unverletzt beſtehen wird.

Der Kayſer von Rußland hat bereits Seine Ge-
ſandtſchaft an Sr. Majeſtaͤt des Koͤnigs Hofe abbe-
rufen, und dadurch erklaͤren laſſen, daß die diplo-
matiſchen Verhaͤltniſſe zwiſchen beyden Staaten von
Seiner Seite aufgehoben ſind.

Der Koͤnig hat auf dieſe Erklaͤrung durch die
Abberufung Seiner Geſandtſchaft vom Hofe zu St.
Petersburg geantwortet. Se. Majeſtaͤt haben hoͤchſt
ungern die freundſchaftlichen Verhaͤltniſſe aufgeloͤſet
geſehen, die zu beyder Staaten gegenſeitigem Vor-
theil zwiſchen Sr. Majeſtaͤt Vorfahren und den
Monarchen des Rußiſchen Reiches beſtanden haben.

Weit entfernt, Veranlaſſung gegeben zu haben,
daß Allerhoͤchſtderen Staaten ſolchergeſtalt in Krieg
mit dem Rußiſchen Reiche verwickelt worden, hat
der Koͤnig zu allen Zeiten Beweiſe Seiner Geneigt-
heit zu Rußlands Vortheil, ſelbſt mit Anwendung
der Kraͤfte Seines Staats zu wirken, gegeben.

Jn Folge der zwiſchen dem Koͤnige und Sr. Ma-
jeſtaͤt dem Kayſer der Franzoſen beſtehenden Allianz,
hat ein Huͤlfs-Corps Seiner Truppen ſich mit der
Franzoͤſiſchen Armee vereinigt, um dazu beyzutra-
gen, die Feinde Seines Staats von den Holſtei-
niſchen Graͤnzen abzuhalten. Der Koͤnig ſtuͤtzt ſich
mit Vertrauen auf die Anhaͤnglichkeit Seiner Trup-
pen und auf die Tapferkeit, womit ſie, den Trup-
pen Seines hohen Alliirten zur Seite, zur Ver-


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[[7]/0007] côté de la Russie, puissance avec laquelle S. M. avoit religieusement observé les rélations amicales, qui avoient subsisté pour le bonheur reciproque des deux états pendant une si lon- gue suite d’années. Cela non obstant le Roi a dû se convaincre plus tard, que par la dite convention S. M. Impériale s’étoit engagée de mettre par son sécours le Roi de Suède en possession de la Norvège. Independamment des declarations réitirées de la cour de Russie, que le Roi ne pourroit d’aucune manière se soustraire au sacrifice de Son royaume, exigé de Lui, par lesquelles S. M. a dû Se convaincre du danger dont le traité fait entre la Russie et la Suède mena- çoit l’état, les transactions publiques dans le parlement anglais ont encore suffisamment ma- nifesté, que la Russie a même persuadé le gouvernement anglais à acceder au Traité conclû à Abo basé sur l’assujettissement de la Norvège. La cour de Russie ayant ainsi mis en evi- dence des principes politiques non seulement contraires aux étroites rélations d’amitié que pendant plus d’un siècle les souverains de Russie avaient pris pour règle de suivre, mais qui en outre ont évidemment pour but de depouiller le Roi d’un Royaume, il ne restoit à S. M. qu’à reserrer plus étroitement les liens, formés déjà dans l’année 1807 entre Elle et S. M. l’Empereur des Français, qui Lui a garanti l’intégrité de Ses états. S. M. s’attend avec une confiance sans bor- nes à ce que moyennant l’appuy de S. M. Im- périale et à l’aide vigoureux de ses propres fidéles sujets sa monarchie continuera de jouir d’une sureté a laquelle il ne sera point porté atteinte. L’Empereur de Russie a déjà rappellé son ministre de la cour de S. M., et a fait décla- rer en même temps, que de son côté il avait fait cesser les rapports diplomatiques entre les deux états. Le Roi a repondu à cette déclaration en rappellant son ministre de la cour de St. Pétersbourg, regrettant infini- ment de voir ainsi rompus les liens, qui ont subsisté entre les ancétres de S. M. et les monarques de l’Empire de Russie à l’avanta- ge reciproque des deux états respectifs. Bien loin d’avoir provoqué l’état de guerre où ses états se trouvent ainsi engagés avec l’empire de Russie, le Roi a de tout tems fait preuve de Son penchant d’agir en faveur des intérêts de la Russie, même en y employant les forces de Ses états. En vertu de l’alliance, qui subsiste entre le Roi et S. M. l’Empereur des François, un corps auxiliaire de Ses troupes s’est réuni à l’armée Françoise pour contribuer à tenir les ennemis de Ses états éloignés de la frontière du Holstein. Le Roi compte avec confiance sur le devouement de Ses troupes et sur la bravoure avec la quelle elles combattent à coté de celles de Son Auguste Allié pour la defense de la patrie et pour le maintien de gewiſſenhaft die freundſchaftlichen Verbindungen unterhielt, die zum Beſten beyder Staaten in einer langen Reihe von Jahren Statt gefunden haben. Demungeachtet mußte der Koͤnig ſich ſpaͤter uͤber- zeugen, daß durch jenes Buͤndniß Se. Kayſerliche Majeſtaͤt ſich verpflichtet hatten, durch ihren Bey- ſtand den Koͤnig von Schweden in den Beſitz von Norwegen zu ſetzen. Außer, daß die wiederholten Erklaͤrungen des Rußiſchen Hofes, daß der Koͤnig auf keine Weiſe es wuͤrde entgehen koͤnnen, das Sr. Majeſtaͤt abge- forderte Opfer ſeines Koͤnigreichs zu bringen, Se. Majeſtaͤt von der Gefahr uͤberzeugten, womit das Buͤndniß zwiſchen Rußland und Schweden dem Staate drohten, haben die oͤffentlichen Verhand- lungen in dem Engliſchen Parlement genugſam ge- zeigt, daß ſogar Rußland die Engliſche Negierung vermocht hat, dem in Abo mit Schweden geſchloſ- ſenen Tractat beyzutreten, worin die Unterwerfung Norwegens unter Schweden zum Grunde gelegt worden. Da der Rußiſche Hof ſolchergeſtalt an den Tag gelegt hatte, daß er politiſche Grundſaͤtze ange- nommen hat, die nicht allein der genauen freund- ſchaftlichen Verbindung widerſtreiten, welcher zu folgen die Beherrſcher des Rußiſchen Reichs ſeit mehr als einem Jahrhundert ſich zur Regel mach- ten, ſondern offenbar den Zweck haben, dem Koͤnige ein Koͤnigreich zu entreißen, ſo blieb Sr. Majeſtaͤt nichts anders uͤbrig, als die Vereinigung genauer zu knuͤpfen, die Se. Majeſtaͤt bereits im Jahr 1807 mit Sr. Majeſtaͤt dem Franzoͤſiſchen Kayſer ein- giengen, die Allerhoͤchſtdemſelben den ungetheilten Beſitz Seiner Staaten garantirt hat. Se. Majeſtaͤt erwartet mit unbegraͤnztem Zu- trauen, daß durch Sr. Kayſerl. Majeſtaͤt Unter- ſtuͤtzung und Seiner eigenen treuen Unterthanen kraͤftigen Beyſtand die Sicherheit Seiner Monarchie ferner unverletzt beſtehen wird. Der Kayſer von Rußland hat bereits Seine Ge- ſandtſchaft an Sr. Majeſtaͤt des Koͤnigs Hofe abbe- rufen, und dadurch erklaͤren laſſen, daß die diplo- matiſchen Verhaͤltniſſe zwiſchen beyden Staaten von Seiner Seite aufgehoben ſind. Der Koͤnig hat auf dieſe Erklaͤrung durch die Abberufung Seiner Geſandtſchaft vom Hofe zu St. Petersburg geantwortet. Se. Majeſtaͤt haben hoͤchſt ungern die freundſchaftlichen Verhaͤltniſſe aufgeloͤſet geſehen, die zu beyder Staaten gegenſeitigem Vor- theil zwiſchen Sr. Majeſtaͤt Vorfahren und den Monarchen des Rußiſchen Reiches beſtanden haben. Weit entfernt, Veranlaſſung gegeben zu haben, daß Allerhoͤchſtderen Staaten ſolchergeſtalt in Krieg mit dem Rußiſchen Reiche verwickelt worden, hat der Koͤnig zu allen Zeiten Beweiſe Seiner Geneigt- heit zu Rußlands Vortheil, ſelbſt mit Anwendung der Kraͤfte Seines Staats zu wirken, gegeben. Jn Folge der zwiſchen dem Koͤnige und Sr. Ma- jeſtaͤt dem Kayſer der Franzoſen beſtehenden Allianz, hat ein Huͤlfs-Corps Seiner Truppen ſich mit der Franzoͤſiſchen Armee vereinigt, um dazu beyzutra- gen, die Feinde Seines Staats von den Holſtei- niſchen Graͤnzen abzuhalten. Der Koͤnig ſtuͤtzt ſich mit Vertrauen auf die Anhaͤnglichkeit Seiner Trup- pen und auf die Tapferkeit, womit ſie, den Trup- pen Seines hohen Alliirten zur Seite, zur Ver-

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Britt-Marie Schuster, Manuel Wille, Arnika Lutz: Bereitstellung der Texttranskription. (2014-07-28T10:00:34Z) Bitte beachten Sie, dass die aktuelle Transkription (und Textauszeichnung) mittlerweile nicht mehr dem Stand zum Zeitpunkt der Übernahme des Werkes in das DTA entsprechen muss.

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Zitationshilfe: Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 172, Hamburg, 27. Oktober 1813, S. [7]. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/hc_1722710_1813/7>, abgerufen am 24.04.2024.