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Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 171, Hamburg, 24. Oktober 1813.

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Suede, a fait paroeitre une adresse jacobine
aux Holstenois, dans laquelle il invite cette
partie des sujets du roi de Danemark a s'in-
surger contre leur souverain legitime, et a
echanger le nom de Danois qu'on veut les
forcer d'adopter, contre celui d'Allemands,
que leur origne et leur idiome les autorisent
a prendre. Ils deviendront, dit l'apotre de la
revolte, membres du tres saint Empire romain-
germanique qui doit ressusciter de ses cendres
sous une forme perfectionnee. Cet infame
pamphlet a ete refute par une plume incon-
nue, mais tres eloquente, dans une brochure
en langue francaise, intitulee: Epeitre a M.
A. G. Schlegel, bel-esprit, actuellement aux
gages de S. A. le prince Poyal de Suede,
Dans cette brochure, qui a ete sur le champ tra-
duite en danois, on remarque entr'autres ces
reflexions:

"On dit aux Holstenois qn'ils sont Alle-
mands, parce qu'ils parlent allemands; a-t-on
donc oublie que les Prussiens, quoiqn'ils par-
lent allemand, tiennent a leur nom distinctif
et national? A-t-on oublie que le Livonien,
tout en parlant allemand, est fidelement at-
tache a l'Empire de Russie? Pourquoi le Hol-
stenois se trouveroit il humilie d'obeir a la
maison souveraine qui regne sur le Dane-
marck, et qui est originaire du Holstein? Per-
sonne n'a pense d'interdire aux Holstenois
l'usage de la langue allemande; personne ne
veut les forcer a s'appeler Danois: ils peu-
vent continuer de porter avec un juste or-
gueil le nom particulier de leur province,
comme les Norwegiens portent leur nom par-
ticulier, sans etre pour cela moins fideles a
la couronne danoise. Mais puisque M. Schle-
gel a voulu faire de ces noms de Danois et
d'Allemands une nouvelle pomme de discorde
nous lui dirons avec fierete que le Danemark
est un Etat independant; qu'au contraire, il
n'existe point d'Allemagne dans le sens po-
litique; que, par consequent, le titre d'Alle-
mand et de membre du tres saint Empire ne
saurait tenter aucun sujet danois, parceque,
apres tout, il vaut mieux etre quelque chose
que n'etre rien."

Cette miserable tentative du gouveruement
revolutionaire suedois n'est pas la seule du
meme genre. On a essaye d'introduire furti-
vement a Copenhagne des bulletins fabriques
a Helsingbourg en Suede, et d'apres lesquels
la puissante armee suedoise aurait aneanti
toutes les armees de Napoleon; mais ces fan-
faronnades ont ete promptement dementies
par les nouvelles authentiques que nous avons
recues, tant de Dresde que de notre corps
d'armee auxiliaire.

(Journal de l'Empire)



Lorsque la Suede voyant l'ordre se retablir
autour d'elle et se trouvant seule hors de la


[Spaltenumbruch]

den angestellt ist, hat eine Jacobinische Addresse
an die Holsteiner herausgegeben, worin er diesen
Theil der Unterthanen des Königs von Dänne-
mark einladet, gegen ihren rechtmäßigen Souve-
rain aufzustehen, und den Namen Dänen, den man
sie anzunehmen nöthigen will, gegen den Namen
von Deutschen zu vertauschen, den sie, ihrem Ur-
sprunge und ihrer Sprache nach, zu führen be-
rechtigt sind. Sie werden, sagt der Apostel der
Revolte, Mitglieder des heiligen Römischen Deut-
schen Reichs werden, welches sich in einer vervoll-
kommneten Gestalt wieder aus seiner Asche erheben
muß. Dieses infame Pamphlet ist durch eine un-
bekannte, aber sehr beredte Feder in einer Fran-
zösischen Broschüre unter dem Titel widerlegt wor-
den: Epitre a M. A. G. Schlegel, bel-esprit,
actuellement aux gages de S. A. le Prince Ro-
yal de Suede.
Jn dieser Broschüre, die sogleich
ins Dänische übersetzt worden, finden sich unter
andern folgende Bemerkungen:

"Man sagt den Holsteinern, daß sie Deutsche
sind, weil sie Deutsch sprechen. Hat man denn
vergessen, daß die Preußen, obgleich sie Deutsch
sprechen, an ihren distinctiven Volks-Namen hal-
ten? Hat man vergessen, daß der Liefländer, ob-
gleich er Deutsch spricht, dem Kayser von Rußland
treu ergeben ist? Warum sollte sich der Holsteiner
gedemüthigt finden, daß er dem souverainen Hause
gehorcht, welches über Dännemark regiert und aus
Holstein abstammt? Kein Mensch hat daran ge-
dacht, den Holsteinern den Gebrauch der Deutschen
Sprache zu verbieten; kein Mensch will sie zwin-
gen, sich Dänen zu nennen; sie können fortfahren,
mit gerechtem Stolz den Namen ihrer besondern
Provinz zu führen, so wie die Norweger ihren be-
sondern Namen führen, ohne daß sie deswegen der
Krone Dännemark weniger getreu sind. Allein,
weil Herr Schlegel aus diesen Namen von Dänen
und Deutschen einen Aepfel der Zwietracht hat
machen wollen, so sagen wir ihm dreist, daß Dän-
nemark ein unabhängiger Staat ist; daß hingegen
im politischen Sinne kein Deutsches Reich existirt;
daß mithin der Titel eines Deutschen und Mit-
gliedes des heiligen Reichs keinen Dänischen Un-
terthan in Versuchung führen kann, weil es am
Ende doch besser ist, etwas als nichts zu seyn.

Dieser elende Versuch der Schwedischen revo-
lutionairen Regierung ist nicht der einzige von der
Art. Man sucht zu Copenhagen heimlich Bulletins
einzubringen, die zu Helsingborg in Schweden fa-
bricirt werden, und nach welchen die mächtige
Schwedische Armee alle Armeen Napoleons vernich-
tet hätte; allein diese Großprahlereyen sind durch
die authentischen Nachrichten schnell widerlegt wor-
den, die wir sowol von Dresden, als von unserm
Auxiliar-Corps erhalten haben.

(Journal de l'Empire vom 12ten
October.)



Als Schweden die Ordnung um sich herum her-
stellen sah, sich allein außer der natürlichen Linie


[Spaltenumbruch]

Suède, a fait paroître une adresse jacobine
aux Holstenois, dans laquelle il invite cette
partie des sujets du roi de Danemark a s’in-
surger contre leur souverain légitime, et a
echanger le nom de Danois qu’on veut les
forcer d’adopter, contre celui d’Allemands,
que leur origne et leur idiome les autorisent
à prendre. Ils deviendront, dit l’apôtre de la
révolte, membres du très saint Empire romain-
germanique qui doit ressusciter de ses cendres
sous une forme perfectionnée. Cet infàme
pamphlet a été réfuté par une plume incon-
nue, mais très éloquente, dans une brochure
en langue française, intitulée: Epître â M.
A. G. Schlegel, bel-esprit, actuellement aux
gages de S. A. le prince Poyal de Suède,
Dans cette brochure, qui a été sur le champ tra-
duite en danois, on remarque entr’autres ces
reflexions:

“On dit aux Holstenois qn’ils sont Alle-
mands, parce qu’ils parlent allemands; a-t-on
donc oublié que les Prussiens, quoiqn’ils par-
lent allemand, tiennent à leur nom distinctif
et national? A-t-on oublié que le Livonien,
tout en parlant allemand, est fidèlement at-
taché à l’Empire de Russie? Pourquoi le Hol-
stenois se trouveroit il humilié d’obeir à la
maison souveraine qui règne sur le Dane-
marck, et qui est originaire du Holstein? Per-
sonne n’a pensé d’interdire aux Holstenois
l’usage de la langue allemande; personne ne
veut les forcer à s’appeler Danois: ils peu-
vent continuer de porter avec un juste or-
gueil le nom particulier de leur province,
comme les Norwégiens portent leur nom par-
ticulier, sans être pour cela moins fidèles à
la couronne danoise. Mais puisque M. Schlé-
gel a voulu faire de ces noms de Danois et
d’Allemands une nouvelle pomme de discorde
nous lui dirons avec fiereté que le Danemark
est un Etat indépendant; qu’au contraire, il
n’existe point d’Allemagne dans le sens po-
litique; que, par consequent, le titre d’Alle-
mand et de membre du très saint Empire ne
saurait tenter aucun sujet danois, parceque,
après tout, il vaut mieux être quelque chose
que n’être rien.”

Cette misérable tentative du gouveruement
révolutionaire suèdois n’est pas la seule du
même genre. On a essayé d’introduire furti-
vement à Copenhagne des bulletins fabriqués
à Helsingbourg en Suède, et d’après lesquels
la puissante armée suèdoise aurait anéanti
toutes les armées de Napoléon; mais ces fan-
faronnades ont été promptement démenties
par les nouvelles authentiques que nous avons
reçues, tant de Dresde que de notre corps
d’armée auxiliaire.

(Journal de l’Empire)



Lorsque la Suede voyant l’ordre se rétablir
autour d’elle et se trouvant seule hors de la


[Spaltenumbruch]

den angeſtellt iſt, hat eine Jacobiniſche Addreſſe
an die Holſteiner herausgegeben, worin er dieſen
Theil der Unterthanen des Koͤnigs von Daͤnne-
mark einladet, gegen ihren rechtmaͤßigen Souve-
rain aufzuſtehen, und den Namen Daͤnen, den man
ſie anzunehmen noͤthigen will, gegen den Namen
von Deutſchen zu vertauſchen, den ſie, ihrem Ur-
ſprunge und ihrer Sprache nach, zu fuͤhren be-
rechtigt ſind. Sie werden, ſagt der Apoſtel der
Revolte, Mitglieder des heiligen Roͤmiſchen Deut-
ſchen Reichs werden, welches ſich in einer vervoll-
kommneten Geſtalt wieder aus ſeiner Aſche erheben
muß. Dieſes infame Pamphlet iſt durch eine un-
bekannte, aber ſehr beredte Feder in einer Fran-
zoͤſiſchen Broſchuͤre unter dem Titel widerlegt wor-
den: Epitre à M. A. G. Schlegel, bel-esprit,
actuellement aux gages de S. A. le Prince Ro-
yal de Suède.
Jn dieſer Broſchuͤre, die ſogleich
ins Daͤniſche uͤberſetzt worden, finden ſich unter
andern folgende Bemerkungen:

“Man ſagt den Holſteinern, daß ſie Deutſche
ſind, weil ſie Deutſch ſprechen. Hat man denn
vergeſſen, daß die Preußen, obgleich ſie Deutſch
ſprechen, an ihren diſtinctiven Volks-Namen hal-
ten? Hat man vergeſſen, daß der Lieflaͤnder, ob-
gleich er Deutſch ſpricht, dem Kayſer von Rußland
treu ergeben iſt? Warum ſollte ſich der Holſteiner
gedemuͤthigt finden, daß er dem ſouverainen Hauſe
gehorcht, welches uͤber Daͤnnemark regiert und aus
Holſtein abſtammt? Kein Menſch hat daran ge-
dacht, den Holſteinern den Gebrauch der Deutſchen
Sprache zu verbieten; kein Menſch will ſie zwin-
gen, ſich Daͤnen zu nennen; ſie koͤnnen fortfahren,
mit gerechtem Stolz den Namen ihrer beſondern
Provinz zu fuͤhren, ſo wie die Norweger ihren be-
ſondern Namen fuͤhren, ohne daß ſie deswegen der
Krone Daͤnnemark weniger getreu ſind. Allein,
weil Herr Schlegel aus dieſen Namen von Daͤnen
und Deutſchen einen Aepfel der Zwietracht hat
machen wollen, ſo ſagen wir ihm dreiſt, daß Daͤn-
nemark ein unabhaͤngiger Staat iſt; daß hingegen
im politiſchen Sinne kein Deutſches Reich exiſtirt;
daß mithin der Titel eines Deutſchen und Mit-
gliedes des heiligen Reichs keinen Daͤniſchen Un-
terthan in Verſuchung fuͤhren kann, weil es am
Ende doch beſſer iſt, etwas als nichts zu ſeyn.

Dieſer elende Verſuch der Schwediſchen revo-
lutionairen Regierung iſt nicht der einzige von der
Art. Man ſucht zu Copenhagen heimlich Bulletins
einzubringen, die zu Helſingborg in Schweden fa-
bricirt werden, und nach welchen die maͤchtige
Schwediſche Armee alle Armeen Napoleons vernich-
tet haͤtte; allein dieſe Großprahlereyen ſind durch
die authentiſchen Nachrichten ſchnell widerlegt wor-
den, die wir ſowol von Dresden, als von unſerm
Auxiliar-Corps erhalten haben.

(Journal de l’Empire vom 12ten
October.)



Als Schweden die Ordnung um ſich herum her-
ſtellen ſah, ſich allein außer der natuͤrlichen Linie


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[[2]/0002] Suède, a fait paroître une adresse jacobine aux Holstenois, dans laquelle il invite cette partie des sujets du roi de Danemark a s’in- surger contre leur souverain légitime, et a echanger le nom de Danois qu’on veut les forcer d’adopter, contre celui d’Allemands, que leur origne et leur idiome les autorisent à prendre. Ils deviendront, dit l’apôtre de la révolte, membres du très saint Empire romain- germanique qui doit ressusciter de ses cendres sous une forme perfectionnée. Cet infàme pamphlet a été réfuté par une plume incon- nue, mais très éloquente, dans une brochure en langue française, intitulée: Epître â M. A. G. Schlegel, bel-esprit, actuellement aux gages de S. A. le prince Poyal de Suède, Dans cette brochure, qui a été sur le champ tra- duite en danois, on remarque entr’autres ces reflexions: “On dit aux Holstenois qn’ils sont Alle- mands, parce qu’ils parlent allemands; a-t-on donc oublié que les Prussiens, quoiqn’ils par- lent allemand, tiennent à leur nom distinctif et national? A-t-on oublié que le Livonien, tout en parlant allemand, est fidèlement at- taché à l’Empire de Russie? Pourquoi le Hol- stenois se trouveroit il humilié d’obeir à la maison souveraine qui règne sur le Dane- marck, et qui est originaire du Holstein? Per- sonne n’a pensé d’interdire aux Holstenois l’usage de la langue allemande; personne ne veut les forcer à s’appeler Danois: ils peu- vent continuer de porter avec un juste or- gueil le nom particulier de leur province, comme les Norwégiens portent leur nom par- ticulier, sans être pour cela moins fidèles à la couronne danoise. Mais puisque M. Schlé- gel a voulu faire de ces noms de Danois et d’Allemands une nouvelle pomme de discorde nous lui dirons avec fiereté que le Danemark est un Etat indépendant; qu’au contraire, il n’existe point d’Allemagne dans le sens po- litique; que, par consequent, le titre d’Alle- mand et de membre du très saint Empire ne saurait tenter aucun sujet danois, parceque, après tout, il vaut mieux être quelque chose que n’être rien.” Cette misérable tentative du gouveruement révolutionaire suèdois n’est pas la seule du même genre. On a essayé d’introduire furti- vement à Copenhagne des bulletins fabriqués à Helsingbourg en Suède, et d’après lesquels la puissante armée suèdoise aurait anéanti toutes les armées de Napoléon; mais ces fan- faronnades ont été promptement démenties par les nouvelles authentiques que nous avons reçues, tant de Dresde que de notre corps d’armée auxiliaire. (Journal de l’Empire) Paris, le 14 Octobre. Lorsque la Suede voyant l’ordre se rétablir autour d’elle et se trouvant seule hors de la den angeſtellt iſt, hat eine Jacobiniſche Addreſſe an die Holſteiner herausgegeben, worin er dieſen Theil der Unterthanen des Koͤnigs von Daͤnne- mark einladet, gegen ihren rechtmaͤßigen Souve- rain aufzuſtehen, und den Namen Daͤnen, den man ſie anzunehmen noͤthigen will, gegen den Namen von Deutſchen zu vertauſchen, den ſie, ihrem Ur- ſprunge und ihrer Sprache nach, zu fuͤhren be- rechtigt ſind. Sie werden, ſagt der Apoſtel der Revolte, Mitglieder des heiligen Roͤmiſchen Deut- ſchen Reichs werden, welches ſich in einer vervoll- kommneten Geſtalt wieder aus ſeiner Aſche erheben muß. Dieſes infame Pamphlet iſt durch eine un- bekannte, aber ſehr beredte Feder in einer Fran- zoͤſiſchen Broſchuͤre unter dem Titel widerlegt wor- den: Epitre à M. A. G. Schlegel, bel-esprit, actuellement aux gages de S. A. le Prince Ro- yal de Suède. Jn dieſer Broſchuͤre, die ſogleich ins Daͤniſche uͤberſetzt worden, finden ſich unter andern folgende Bemerkungen: “Man ſagt den Holſteinern, daß ſie Deutſche ſind, weil ſie Deutſch ſprechen. Hat man denn vergeſſen, daß die Preußen, obgleich ſie Deutſch ſprechen, an ihren diſtinctiven Volks-Namen hal- ten? Hat man vergeſſen, daß der Lieflaͤnder, ob- gleich er Deutſch ſpricht, dem Kayſer von Rußland treu ergeben iſt? Warum ſollte ſich der Holſteiner gedemuͤthigt finden, daß er dem ſouverainen Hauſe gehorcht, welches uͤber Daͤnnemark regiert und aus Holſtein abſtammt? Kein Menſch hat daran ge- dacht, den Holſteinern den Gebrauch der Deutſchen Sprache zu verbieten; kein Menſch will ſie zwin- gen, ſich Daͤnen zu nennen; ſie koͤnnen fortfahren, mit gerechtem Stolz den Namen ihrer beſondern Provinz zu fuͤhren, ſo wie die Norweger ihren be- ſondern Namen fuͤhren, ohne daß ſie deswegen der Krone Daͤnnemark weniger getreu ſind. Allein, weil Herr Schlegel aus dieſen Namen von Daͤnen und Deutſchen einen Aepfel der Zwietracht hat machen wollen, ſo ſagen wir ihm dreiſt, daß Daͤn- nemark ein unabhaͤngiger Staat iſt; daß hingegen im politiſchen Sinne kein Deutſches Reich exiſtirt; daß mithin der Titel eines Deutſchen und Mit- gliedes des heiligen Reichs keinen Daͤniſchen Un- terthan in Verſuchung fuͤhren kann, weil es am Ende doch beſſer iſt, etwas als nichts zu ſeyn. Dieſer elende Verſuch der Schwediſchen revo- lutionairen Regierung iſt nicht der einzige von der Art. Man ſucht zu Copenhagen heimlich Bulletins einzubringen, die zu Helſingborg in Schweden fa- bricirt werden, und nach welchen die maͤchtige Schwediſche Armee alle Armeen Napoleons vernich- tet haͤtte; allein dieſe Großprahlereyen ſind durch die authentiſchen Nachrichten ſchnell widerlegt wor- den, die wir ſowol von Dresden, als von unſerm Auxiliar-Corps erhalten haben. (Journal de l’Empire vom 12ten October.) Paris, den 14 October. Als Schweden die Ordnung um ſich herum her- ſtellen ſah, ſich allein außer der natuͤrlichen Linie

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Britt-Marie Schuster, Manuel Wille, Arnika Lutz: Bereitstellung der Texttranskription. (2014-07-28T10:00:34Z) Bitte beachten Sie, dass die aktuelle Transkription (und Textauszeichnung) mittlerweile nicht mehr dem Stand zum Zeitpunkt der Übernahme des Werkes in das DTA entsprechen muss.

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Die Ausgabe enthält französischsprachige Artikel.




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Zitationshilfe: Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 171, Hamburg, 24. Oktober 1813, S. [2]. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/hc_1712410_1813/2>, abgerufen am 16.04.2024.