Günther, Karl Gottlob: Europäisches Völkerrecht in Friedenszeiten nach Vernunft, Verträgen und Herkommen mit Anwendung auf die teutschen Reichsstände. Bd. 2. Altenburg, 1792.Von d. Rechten der Nazionen gegen einander droit est, de proteger, dans une discorde civile lepartie, que, d'apres nos loix, elle jugera etre le parti opprime en forcant l'autre a main armee a se soumettre etc. Mosers Versuch 6. Th. S. 82. Als Rußland bey den Unruhen in Polen auf dem Reichs- tage 1767. einige Stände in Verhaft nehmen und nach Rußland führen ließ, erklärte es: S. M. I. est l'amie, la voisine et l'Alliee de la republique. Elle est ori- ginairement, par des traites solemnels, la garante des droits d'une partie de la nation, et ces droits lui ont ete ravis. Le devoir et le sentiment de l'hu- manite reunis engagent S. M. I. a interceder en fa- veur des Dissidens. Le droit en est clairement de- montre, mais l'Imperatrice est bien loin encore de l'exercer comme un droit, Representations amicales, conseils, insinuations officieuses, sollicitations pres- santes, avertissemens sur les consequences dange- reuses de cette affaire, tout est employe par Elle. Ebendas. S. 105. d] Mosers Versuch 6. Th. S. 92. ff. e] Ebendaselbst. f] So ließ Grosbritannien 1763. in den Corsischen Unru- hen, auf Ansuchen der Republik Genua bekant machen: S. M. -- voulant donner toute satisfaction juste et raisonnable a sa bonne amie et alliee la Republique de Genes -- le Roi enjoint par ces Presentes et or- donne expressement a tous ses sujets de ne donner ni fournir aide assistance, apui, ni secours de quelque maniere que ce puisse etre a aucun des habitans de l'Isle de Corse actuellement revoltes contre la dite Serenissime Republique -- Mosers Versuch 5. Th. S. 414. g] Unter vielen andern Beispielen wurde in der Allianz zwi- schen Frankreich und Dänemark von 1663. Art. 5. verglichen qu'aucun des deux rois ne recevra ni ne Von d. Rechten der Nazionen gegen einander droit eſt, de protéger, dans une diſcorde civile lepartie, que, d’après nos loix, elle jugera être le parti opprimé en forçant l’autre à main armée à ſe ſoumettre etc. Moſers Verſuch 6. Th. S. 82. Als Rußland bey den Unruhen in Polen auf dem Reichs- tage 1767. einige Staͤnde in Verhaft nehmen und nach Rußland fuͤhren ließ, erklaͤrte es: S. M. I. eſt l’amie, la voiſine et l’Alliée de la republique. Elle eſt ori- ginairement, par des traités ſolemnels, la garante des droits d’une partie de la nation, et ces droits lui ont été ravis. Le devoir et le ſentiment de l’hu- manité reunis engagent S. M. I. à interceder en fa- veur des Diſſidens. Le droit en eſt clairement de- montré, mais l’Imperatrice eſt bien loin encore de l’exercer comme un droit, Repreſentations amicales, conſeils, inſinuations officieuſes, ſollicitations preſ- ſantes, avertiſſemens ſur les conſequences dange- reuſes de cette affaire, tout eſt employé par Elle. Ebendaſ. S. 105. d] Moſers Verſuch 6. Th. S. 92. ff. e] Ebendaſelbſt. f] So ließ Grosbritannien 1763. in den Corſiſchen Unru- hen, auf Anſuchen der Republik Genua bekant machen: S. M. — voulant donner toute ſatisfaction juſte et raiſonnable à ſa bonne amie et alliée la Republique de Genes — le Roi enjoint par ces Préſentes et or- donne expreſſément à tous ſes ſujets de ne donner ni fournir aide aſſiſtance, apui, ni ſecours de quelque manière que ce puiſſe être à aucun des habitans de l’Isle de Corſe actuellement revoltés contre la dite Sereniſſime Republique — Moſers Verſuch 5. Th. S. 414. g] Unter vielen andern Beiſpielen wurde in der Allianz zwi- ſchen Frankreich und Daͤnemark von 1663. 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Von d. Rechten der Nazionen gegen einander
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droit eſt, de protéger, dans une diſcorde civile le
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parti opprimé en forçant l’autre à main armée à ſe
ſoumettre etc. Moſers Verſuch 6. Th. S. 82.
Als Rußland bey den Unruhen in Polen auf dem Reichs-
tage 1767. einige Staͤnde in Verhaft nehmen und nach
Rußland fuͤhren ließ, erklaͤrte es: S. M. I. eſt l’amie,
la voiſine et l’Alliée de la republique. Elle eſt ori-
ginairement, par des traités ſolemnels, la garante
des droits d’une partie de la nation, et ces droits
lui ont été ravis. Le devoir et le ſentiment de l’hu-
manité reunis engagent S. M. I. à interceder en fa-
veur des Diſſidens. Le droit en eſt clairement de-
montré, mais l’Imperatrice eſt bien loin encore de
l’exercer comme un droit, Repreſentations amicales,
conſeils, inſinuations officieuſes, ſollicitations preſ-
ſantes, avertiſſemens ſur les conſequences dange-
reuſes de cette affaire, tout eſt employé par Elle.
Ebendaſ. S. 105.
d] Moſers Verſuch 6. Th. S. 92. ff.
e] Ebendaſelbſt.
f] So ließ Grosbritannien 1763. in den Corſiſchen Unru-
hen, auf Anſuchen der Republik Genua bekant machen:
S. M. — voulant donner toute ſatisfaction juſte et
raiſonnable à ſa bonne amie et alliée la Republique
de Genes — le Roi enjoint par ces Préſentes et or-
donne expreſſément à tous ſes ſujets de ne donner ni
fournir aide aſſiſtance, apui, ni ſecours de quelque
manière que ce puiſſe être à aucun des habitans de
l’Isle de Corſe actuellement revoltés contre la dite
Sereniſſime Republique — Moſers Verſuch 5. Th.
S. 414.
g] Unter vielen andern Beiſpielen wurde in der Allianz zwi-
ſchen Frankreich und Daͤnemark von 1663. Art. 5.
verglichen qu’aucun des deux rois ne recevra ni ne
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