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Die Grenzboten. Jg. 5, 1846, I. Semester. II. Band.

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of^san en Kalicie, et "mi no sind ri^ner, o^u'eil excitavt la daiue
vaturelie Ses "lasse" ach vitovens inne vovtre l autre.

^e ve suis l'avocitt "le "ersönne, je n'al "lone le "iron "le
parler "1 pour ni contre; lo tem8, a lui tout sont, suküt "Z'ail-
leurs toujnurs, nonr taire justice clef erreurs an jnnr; mais ii
est un tut "mi est 6ejä "in üomaine av I'ni8toire, et c'e8t 60
celui-la, Nonsieur, "^ne je me crois le 6role "le vous parler. --
'

^l'nine les liommes, commv vous los "ime?.; cest par suite
ac ce sentiment, "jue le sort du plus ^rankt nomdrv in'a toujours
occupe <is nretvrence, nur c'est le plus ^rann nomure c^ni soulkrv?
je me suis 6one instruit "le la condition sociale des masses.

I^it nulilicite legislative "'imposerait-elle pas a ceux "jul sa-
vent la verite, lo llevoir <lo 1." <Iirea ceux cjni ne la savent nah? --

I^e libre arditrv est un 6es plus pru!on"is mustere" "lo la
nature morale ac l'nommv; aucun in"livi"In u'a Is "kron "le mörder
atteinte ii co "iron, parcvnu'it est iuäivilluvl. Oepenäaut l'exi-
stencv collective "le" Komme" rohe "le" limites a l'exercicv "le co
üroit. I^e "lecaloAuv reut^erne unit commanclemens promit>ni5s;
c'est ainsi l^no les loix parvienveut ä nrotvZer I'iilnoconcv contre
la lorce, et a "l<^lon<Irv la verite contre l'erreur.

Il ^ vnd une lois "laus une enceiot" l^Aislativv uno moutaAnv,
an klare ac latjuvlle ruisselaieut "les Lvutsuces "ig mort, comme
reponse a "les iuterrogatious cju'elle trouvait im^ortuues; cette
montitxuv 8'ecrviila, quia"! Ja pmolv rocleviut libro. I^es domines
ne sont plus cro^viens it88e? faciles "ujourcl'nuiz pour restvr muvts
an ^>ieä "le cette untre montgAlls, an iiaut "le I^oello öesceulli.
reut ces taklvs "lo lit loi c^ni nous re^it eucoro.

^iusi vous poupe? nitrier -- vous aime? a user "le cette
tacultv -- et vous aveii entre vous l'odliK.lei")u "l'ecouter. --
Noisv "lictuit "les lois " une enoizuo "le toi et "Is soumissioo;
s'it spielt en " realer une narolv plus libro et plus l"alle, it eut
ajoute nov loi lie plus -t ses titdles; it aurait "lit: V0U8 it'aveü
pas Jo Sroit ne parler ac ve que vous ve savez: pas. -- Oo-
^e/-vous, Aüonsieur, "ju'it ne ferne pas "eile, ,l'6crire ce com-
mau6euere so lettres "l'or sur la portv "l'entree "le tout savctuiiire
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of^san en Kalicie, et «mi no sind ri^ner, o^u'eil excitavt la daiue
vaturelie Ses «lasse» ach vitovens inne vovtre l autre.

^e ve suis l'avocitt «le «ersönne, je n'al «lone le «iron «le
parler »1 pour ni contre; lo tem8, a lui tout sont, suküt «Z'ail-
leurs toujnurs, nonr taire justice clef erreurs an jnnr; mais ii
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c'est ainsi l^no les loix parvienveut ä nrotvZer I'iilnoconcv contre
la lorce, et a «l<^lon<Irv la verite contre l'erreur.

Il ^ vnd une lois «laus une enceiot» l^Aislativv uno moutaAnv,
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Zitationshilfe: Die Grenzboten. Jg. 5, 1846, I. Semester. II. Band, S. . In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/grenzboten_341550_365120/46>, abgerufen am 24.11.2024.