Pflüger, Eduard Friedrich Wilhelm: Die sensorischen Functionen des Rückenmarks der Wirbelthiere. Berlin, 1853.
Cuvier.
Cuvier. <TEI> <text> <front> <pb n="[II]" facs="#f0010"/> <div> <cit> <quote> <p>„L'auteur (<hi rendition="#g">Flourens</hi>) conclut, que la sensation et la contraction<lb/> „n'appartiennent pas plus à la moêlle épinière qu'aux nerfs. — — Ce<lb/> „serait une grande question de savoir si cette conclusion est certaine<lb/> „pour les animaux, qui ont perdu leur encéphale et qui dans certaines<lb/> „classes paraissent loin de perdre sur-le-champ toutes leurs fonctions<lb/> „animales; mais c'est une question à laquelle nous aurons occasion<lb/> „de revenir dans la suite — —, mème à l'égard des animaux à<lb/> „sang chaud.“</p> </quote><lb/> <bibl> <hi rendition="#right"><hi rendition="#g">Cuvier</hi>.</hi> </bibl><lb/> </cit> </div> </front> </text> </TEI> [[II]/0010]
„L'auteur (Flourens) conclut, que la sensation et la contraction
„n'appartiennent pas plus à la moêlle épinière qu'aux nerfs. — — Ce
„serait une grande question de savoir si cette conclusion est certaine
„pour les animaux, qui ont perdu leur encéphale et qui dans certaines
„classes paraissent loin de perdre sur-le-champ toutes leurs fonctions
„animales; mais c'est une question à laquelle nous aurons occasion
„de revenir dans la suite — —, mème à l'égard des animaux à
„sang chaud.“
Cuvier.
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Zitationshilfe: | Pflüger, Eduard Friedrich Wilhelm: Die sensorischen Functionen des Rückenmarks der Wirbelthiere. Berlin, 1853, S. [II]. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/pflueger_rueckenmark_1853/10>, abgerufen am 03.03.2025. |