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Allgemeine Zeitung. Nr. 89. Augsburg, 29. März 1840.

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verger et glaciere. Cette Habitation formait anciennement la residence de campagne des Princes de Liege.

La majeure partie des terrains occupes par ces quatre divisions, representant une etendue de 30 hectares 50 ares, est delimitee comme suit: Au levant par une ligne qui, partant de l'allee qui longe la Meuse, a une distance d'environ 255 metres de l'angle des murs du jardin tenant a l'Etablissement, joint la route de Liege a Givet a une distance d'environ 240 metres de l'axe du viaduc etabli sur ladite route. - Au nord, par le chemin qui longe la Meuse. - Au couchant par l'avenue de l'Eglise, l'Eglise elle-meme, la rue qui longe le presbytere, les enfants Firquet, Dubois, Bertrand, la rue de la Messe, la veuve Brialmont, et la meme rue de la Messe jusqu'a la route de Givet. - Au midi par cette derniere route.

L'excedant desdits terrains consiste en:
1° Environ 2 hectares 05 ares, destines a l'etablissement d'un nouveau puits de houillere, et tenant du levant a M. Stas de Volder; du midi a un chemin vicinal; du couchant a M. et Mlle Vandensteen; du nord a la grande route de Givet.

2° Un hectare 84 ares, tenant du nord a M. Xhafflaire. au chemin des Beguines et a la grand'route; du levant audit M. Xhafflaire et a la veuve Lambermont; du midi a l'un des sieges d'extraction du charbonnage et a MM. de Collard-Trouillet; du couchant a ces derniers.

3° Et finalement un terrain d'une superficie d'environ 45 ares, situe a l'embouchure du Canal.

Les Titres de Propriete, Etats et Inventaires seront deposes en l'Etude dudit notaire SERVAIS.

LE CAHIER DES CHARGES SE TROUVE:
ANVERS, Banque de l'Industrie.

A LIEGE, chez MM. Bertrand et Philippe Servais, notaires.

A BRUXELLES, chez MM. Van Bevere et Vanderlinden, notaires et chez M. Chs. Mailliet, Boulevard du Regent, 29.

A VERVIERS, chez Mr. Detrooz, notaire.

A AIX-LA-CHAPELLE, chez Mr. Busch, notaire.

A COLOGNE, chez M. Abraham Schaaffhausen.

A FRANCFORT SUR MEIN, chez M. H.-D. Dresler, de M. Osterreith.

A LEIPZIG, chez MM. Becker et Comp.

A HAMBURG, chez Hundecker et Heuberer.

A ALTONA, chez MM. Lawaetz et Koch.

A LUBECK, chez MM. Behrens et Souchay.

A BERLIN, chez MM. Freres Schickler et chez Mr. Chs. Drabitius.

A PRAGUE, chez MM. Krug et Bernreuter.

A VIENNE, chez MM. Arnstein et Eskeles, et M. de Wertheimstein.

A AUGSBOURG, au bureau de la Gazette d'Augsbourg (Allgemeine Zeitung.)

A MILAN, chez MM. Freres J.-C. et L. Preyssl.

A GENES, chez MM. Fiers et Comp.

A ROME, chez MM. M. Hoz et Comp.

A NAPLES, chez MM. Loeffler et Klentze.

A MADRID, chez MM. V. de Garreta et fils, et chez M. F. X. Albert.

A MADRID, chez M. Don Martin de los Heros, Senateur.

A BARCELONE, chez Don Carlos Torrens y Miralda.

A PARIS, chez MM. Hoevenaar et Coste, 43, rue Laffitte, et chez Mr Guyon, notaire, successeur de Mr Cotelle, rue Saint-Denis.

A MARSEILLE, chez MM. Wieling et Comp.

AU HAVRE, chez M. Frederic Foerster.

A BORDEAUX, chez M. de Sulzer-Wart fils.

A ROTTERDAM, chez MM. E. Suermondt fils et Comp.

A LA HAYE, chez M. Gregoire, avocat.

A AMSTERDAM, chez MM. Westendorp et Comp., et chez MM. L. Hoyack et Comp.

A STOCKHOLM, chez M. Auguste Bergman.

A VARSOVIE, a la Banque de Pologne, et
chez MM. Ring et Herbst.

A SAINT-PETERSBOURG, chez M. J.-C. Plitt.

A MOSCOU, chez M. Theodore Vogts.

A RIGA, chez MM. G. W. Schröder et Comp.

A LONDRES, chez MM. Kraeutler et Mieville.

[353-56]

Entgegnung.

Einem in der "Preußischen Staatszeitung" gegen die Ehre meines Hotels gerichteten Angriff glaube ich durch einen im "Pesther Tageblatt" abgedruckten, aus der Feder des "hohen Reisenden" geflossenen Artikels, genugsam entgegnen und die böswillige Verdächtigung hiemit entkräftigen zu können. - Pest den 18 Januar 1840

J. Bartl, Gasthofinhaber "zur Königin von England" in Pesth.

Der Artikel lautet folgendermaßen:
Der Redacteur dieser Blätter ist von dem Fürsten Pückler-Muskau mit einem Schreiben beehrt worden, an dessen Schlusse es heißt:
Nun habe ich noch eine kleine Bitte; nämlich in Ihrem Blatte Folgendes einzurücken:
"Ich höre, daß der Pesther Correspondent der Preußischen Staatszeitung in dieses Blatt einen Artikel hat einrücken lassen, worin sich folgende Stelle befindet: "".... Diese Pesther Hotels sind aber keineswegs das, was ihr Namen erwarten läßt. Es ist nur ""Nachahmung des Aeußern, aber das Innere! Vorzüglich weit hat es ein sogenanntes erstes Hotel in diesem Scheinwesen gebracht. ""Fürst Pückler, der lange darin wohnte, zog, wie viele Andere, aus, und befindet sich gegenwärtig in einem andern u. s. w.""

Da hier mein Name genannt wird, um eine Ansicht zu bekräftigen, die ich durchaus nicht theilen kann, so halte ich es für Schuldigkeit, in Bezug auf meinen braven Wirth zu erklären:
1) daß ich aus besagtem Hotel, zur Königin von England, nie ausgezogen bin, sondern darin, bis zu meiner Abreise nach Wien, unausgesetzt verweilte;
2) daß ich in Deutschland wenige Hotels kenne, welche dem genannten gleich kommen, wo ich vortrefflich wohnte, die Kost nach allen billigen Ansprüchen, welche an einen Gasthof gemacht werden können, völlig genügend fand, und durchgängig daselbst eben so billig als mit der größten Aufmerksamkeit und Bereitwilligkeit behandelt worden bin. H. Fürst von Pückler-Muskau.

Wien, den 10 Januar 1840

[1093-98]
[Tabelle]

Bayerisch-würtembergische Donau-Dampfschifffahrt.

Dienst zwischen Donauwörth, Regensburg und Linz während der Monate April und Mai 1840

Von Donauwörth nach Regensburg den 13, 20, 27 April - 6, 13, 20, 27 Mai.

Von Regensburg nach Linz den 1, 8, 13, 22, 29 April - 3, 8, 13, 15, 17, 19, 22, 24, 27, 29 Mai.

Von Linz nach Regensburg den 2, 9, 16, 23, 30 April - 4, 9, 14, 16, 19, 21, 24, 26, 29, 31 Mai,
Von Regensburg nach Donauwörth den 9, 16, 23 April - 2, 9, 17, 24, 31 Mai.

Die Schiffe stehen mit denen der österreichischen Gesellschaft sowohl bei der Thal- als Bergfahrt in directer Verbindung, so daß stets am Tage nach der Ankunft in Linz die Reise nach Wien resp. Regensburg fortgesetzt wird.

Wegen noch nicht gehöriger Regulirung einiger über die Donau führender Gemeindebrücken muß die Fahrt zwischen Donauwörth und Ulm vor der Hand bis zur nähern Bekanntmachung unterbleiben.

Regensburg, im März 1840

Die Direction.

verger et glacière. Cette Habitation formait anciennement la résidence de campagne des Princes de Liége.

La majeure partie des terrains occupés par ces quatre divisions, représentant une étendue de 30 hectares 50 ares, est délimitée comme suit: Au levant par une ligne qui, partant de l'allée qui longe la Meuse, à une distance d'environ 255 mètres de l'angle des murs du jardin tenant à l'Ètablissement, joint la route de Liége à Givet à une distance d'environ 240 mètres de l'axe du viaduc établi sur ladite route. – Au nord, par le chemin qui longe la Meuse. – Au couchant par l'avenue de l'Église, l'Église elle-même, la rue qui longe le presbytère, les enfants Firquet, Dubois, Bertrand, la rue de la Messe, la veuve Brialmont, et la même rue de la Messe jusqu'à la route de Givet. – Au midi par cette dernière route.

L'excédant desdits terrains consiste en:
1° Environ 2 hectares 05 ares, destinés à l'établissement d'un nouveau puits de houillère, et tenant du levant à M. Stas de Volder; du midi à un chemin vicinal; du couchant à M. et Mlle Vandensteen; du nord à la grande route de Givet.

2° Un hectare 84 ares, tenant du nord à M. Xhafflaire. au chemin des Béguines et à la grand'route; du levant audit M. Xhafflaire et à la veuve Lambermont; du midi à l'un des siéges d'extraction du charbonnage et à MM. de Collard-Trouillet; du couchant à ces derniers.

3° Et finalement un terrain d'une superficie d'environ 45 ares, situé à l'embouchure du Canal.

Les Titres de Propriété, États et Inventaires seront déposés en l'Étude dudit notaire SERVAIS.

LE CAHIER DES CHARGES SE TROUVE:
ANVERS, Banque de l'Industrie.

A LIÉGE, chez MM. Bertrand et Philippe Servais, notaires.

A BRUXELLES, chez MM. Van Bevere et Vanderlinden, notaires et chez M. Chs. Mailliet, Boulevard du Régent, 29.

A VERVIERS, chez Mr. Detrooz, notaire.

A AIX-LA-CHAPELLE, chez Mr. Busch, notaire.

A COLOGNE, chez M. Abraham Schaaffhausen.

A FRANCFORT SUR MEIN, chez M. H.-D. Dresler, de M. Osterreith.

A LEIPZIG, chez MM. Becker et Comp.

A HAMBURG, chez Hundecker et Heuberer.

A ALTONA, chez MM. Lawaetz et Koch.

A LUBECK, chez MM. Behrens et Souchay.

A BERLIN, chez MM. Frères Schickler et chez Mr. Chs. Drabitius.

A PRAGUE, chez MM. Krug et Bernreuter.

A VIENNE, chez MM. Arnstein et Eskeles, et M. de Wertheimstein.

A AUGSBOURG, au bureau de la Gazette d'Augsbourg (Allgemeine Zeitung.)

A MILAN, chez MM. Frères J.-C. et L. Preyssl.

A GÊNES, chez MM. Fiers et Comp.

A ROME, chez MM. M. Hoz et Comp.

A NAPLES, chez MM. Loeffler et Klentze.

A MADRID, chez MM. V. de Garreta et fils, et chez M. F. X. Albert.

A MADRID, chez M. Don Martin de los Heros, Sénateur.

A BARCELONE, chez Don Carlos Torrens y Miralda.

A PARIS, chez MM. Hoevenaar et Coste, 43, rue Laffitte, et chez Mr Guyon, notaire, successeur de Mr Cotelle, rue Saint-Denis.

A MARSEILLE, chez MM. Wieling et Comp.

AU HAVRE, chez M. Frédéric Foerster.

A BORDEAUX, chez M. de Sulzer-Wart fils.

A ROTTERDAM, chez MM. E. Suermondt fils et Comp.

A LA HAYE, chez M. Grégoire, avocat.

A AMSTERDAM, chez MM. Westendorp et Comp., et chez MM. L. Hoyack et Comp.

A STOCKHOLM, chez M. Auguste Bergman.

A VARSOVIE, à la Banque de Pologne, et
chez MM. Ring et Herbst.

A SAINT-PÉTERSBOURG, chez M. J.-C. Plitt.

A MOSCOU, chez M. Théodore Vogts.

A RIGA, chez MM. G. W. Schröder et Comp.

A LONDRES, chez MM. Kraeutler et Miéville.

[353-56]

Entgegnung.

Einem in der „Preußischen Staatszeitung“ gegen die Ehre meines Hôtels gerichteten Angriff glaube ich durch einen im „Pesther Tageblatt“ abgedruckten, aus der Feder des „hohen Reisenden“ geflossenen Artikels, genugsam entgegnen und die böswillige Verdächtigung hiemit entkräftigen zu können. – Pest den 18 Januar 1840

J. Bartl, Gasthofinhaber „zur Königin von England“ in Pesth.

Der Artikel lautet folgendermaßen:
Der Redacteur dieser Blätter ist von dem Fürsten Pückler-Muskau mit einem Schreiben beehrt worden, an dessen Schlusse es heißt:
Nun habe ich noch eine kleine Bitte; nämlich in Ihrem Blatte Folgendes einzurücken:
„Ich höre, daß der Pesther Correspondent der Preußischen Staatszeitung in dieses Blatt einen Artikel hat einrücken lassen, worin sich folgende Stelle befindet: „„.... Diese Pesther Hôtels sind aber keineswegs das, was ihr Namen erwarten läßt. Es ist nur „„Nachahmung des Aeußern, aber das Innere! Vorzüglich weit hat es ein sogenanntes erstes Hôtel in diesem Scheinwesen gebracht. „„Fürst Pückler, der lange darin wohnte, zog, wie viele Andere, aus, und befindet sich gegenwärtig in einem andern u. s. w.““

Da hier mein Name genannt wird, um eine Ansicht zu bekräftigen, die ich durchaus nicht theilen kann, so halte ich es für Schuldigkeit, in Bezug auf meinen braven Wirth zu erklären:
1) daß ich aus besagtem Hôtel, zur Königin von England, nie ausgezogen bin, sondern darin, bis zu meiner Abreise nach Wien, unausgesetzt verweilte;
2) daß ich in Deutschland wenige Hôtels kenne, welche dem genannten gleich kommen, wo ich vortrefflich wohnte, die Kost nach allen billigen Ansprüchen, welche an einen Gasthof gemacht werden können, völlig genügend fand, und durchgängig daselbst eben so billig als mit der größten Aufmerksamkeit und Bereitwilligkeit behandelt worden bin. H. Fürst von Pückler-Muskau.

Wien, den 10 Januar 1840

[1093-98]
[Tabelle]

Bayerisch-würtembergische Donau-Dampfschifffahrt.

Dienst zwischen Donauwörth, Regensburg und Linz während der Monate April und Mai 1840

Von Donauwörth nach Regensburg den 13, 20, 27 April – 6, 13, 20, 27 Mai.

Von Regensburg nach Linz den 1, 8, 13, 22, 29 April – 3, 8, 13, 15, 17, 19, 22, 24, 27, 29 Mai.

Von Linz nach Regensburg den 2, 9, 16, 23, 30 April – 4, 9, 14, 16, 19, 21, 24, 26, 29, 31 Mai,
Von Regensburg nach Donauwörth den 9, 16, 23 April – 2, 9, 17, 24, 31 Mai.

Die Schiffe stehen mit denen der österreichischen Gesellschaft sowohl bei der Thal- als Bergfahrt in directer Verbindung, so daß stets am Tage nach der Ankunft in Linz die Reise nach Wien resp. Regensburg fortgesetzt wird.

Wegen noch nicht gehöriger Regulirung einiger über die Donau führender Gemeindebrücken muß die Fahrt zwischen Donauwörth und Ulm vor der Hand bis zur nähern Bekanntmachung unterbleiben.

Regensburg, im März 1840

Die Direction.

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[0710/0014] verger et glacière. Cette Habitation formait anciennement la résidence de campagne des Princes de Liége. La majeure partie des terrains occupés par ces quatre divisions, représentant une étendue de 30 hectares 50 ares, est délimitée comme suit: Au levant par une ligne qui, partant de l'allée qui longe la Meuse, à une distance d'environ 255 mètres de l'angle des murs du jardin tenant à l'Ètablissement, joint la route de Liége à Givet à une distance d'environ 240 mètres de l'axe du viaduc établi sur ladite route. – Au nord, par le chemin qui longe la Meuse. – Au couchant par l'avenue de l'Église, l'Église elle-même, la rue qui longe le presbytère, les enfants Firquet, Dubois, Bertrand, la rue de la Messe, la veuve Brialmont, et la même rue de la Messe jusqu'à la route de Givet. – Au midi par cette dernière route. L'excédant desdits terrains consiste en: 1° Environ 2 hectares 05 ares, destinés à l'établissement d'un nouveau puits de houillère, et tenant du levant à M. Stas de Volder; du midi à un chemin vicinal; du couchant à M. et Mlle Vandensteen; du nord à la grande route de Givet. 2° Un hectare 84 ares, tenant du nord à M. Xhafflaire. au chemin des Béguines et à la grand'route; du levant audit M. Xhafflaire et à la veuve Lambermont; du midi à l'un des siéges d'extraction du charbonnage et à MM. de Collard-Trouillet; du couchant à ces derniers. 3° Et finalement un terrain d'une superficie d'environ 45 ares, situé à l'embouchure du Canal. Les Titres de Propriété, États et Inventaires seront déposés en l'Étude dudit notaire SERVAIS. LE CAHIER DES CHARGES SE TROUVE: ANVERS, Banque de l'Industrie. A LIÉGE, chez MM. Bertrand et Philippe Servais, notaires. A BRUXELLES, chez MM. Van Bevere et Vanderlinden, notaires et chez M. Chs. Mailliet, Boulevard du Régent, 29. A VERVIERS, chez Mr. Detrooz, notaire. A AIX-LA-CHAPELLE, chez Mr. Busch, notaire. A COLOGNE, chez M. Abraham Schaaffhausen. A FRANCFORT SUR MEIN, chez M. H.-D. Dresler, de M. Osterreith. A LEIPZIG, chez MM. Becker et Comp. A HAMBURG, chez Hundecker et Heuberer. A ALTONA, chez MM. Lawaetz et Koch. A LUBECK, chez MM. Behrens et Souchay. A BERLIN, chez MM. Frères Schickler et chez Mr. Chs. Drabitius. A PRAGUE, chez MM. Krug et Bernreuter. A VIENNE, chez MM. Arnstein et Eskeles, et M. de Wertheimstein. A AUGSBOURG, au bureau de la Gazette d'Augsbourg (Allgemeine Zeitung.) A MILAN, chez MM. Frères J.-C. et L. Preyssl. A GÊNES, chez MM. Fiers et Comp. A ROME, chez MM. M. Hoz et Comp. A NAPLES, chez MM. Loeffler et Klentze. A MADRID, chez MM. V. de Garreta et fils, et chez M. F. X. Albert. A MADRID, chez M. Don Martin de los Heros, Sénateur. A BARCELONE, chez Don Carlos Torrens y Miralda. A PARIS, chez MM. Hoevenaar et Coste, 43, rue Laffitte, et chez Mr Guyon, notaire, successeur de Mr Cotelle, rue Saint-Denis. A MARSEILLE, chez MM. Wieling et Comp. AU HAVRE, chez M. Frédéric Foerster. A BORDEAUX, chez M. de Sulzer-Wart fils. A ROTTERDAM, chez MM. E. Suermondt fils et Comp. A LA HAYE, chez M. Grégoire, avocat. A AMSTERDAM, chez MM. Westendorp et Comp., et chez MM. L. Hoyack et Comp. A STOCKHOLM, chez M. Auguste Bergman. A VARSOVIE, à la Banque de Pologne, et chez MM. Ring et Herbst. A SAINT-PÉTERSBOURG, chez M. J.-C. Plitt. A MOSCOU, chez M. Théodore Vogts. A RIGA, chez MM. G. W. Schröder et Comp. A LONDRES, chez MM. Kraeutler et Miéville. [353-56] Entgegnung. Einem in der „Preußischen Staatszeitung“ gegen die Ehre meines Hôtels gerichteten Angriff glaube ich durch einen im „Pesther Tageblatt“ abgedruckten, aus der Feder des „hohen Reisenden“ geflossenen Artikels, genugsam entgegnen und die böswillige Verdächtigung hiemit entkräftigen zu können. – Pest den 18 Januar 1840 J. Bartl, Gasthofinhaber „zur Königin von England“ in Pesth. Der Artikel lautet folgendermaßen: Der Redacteur dieser Blätter ist von dem Fürsten Pückler-Muskau mit einem Schreiben beehrt worden, an dessen Schlusse es heißt: Nun habe ich noch eine kleine Bitte; nämlich in Ihrem Blatte Folgendes einzurücken: „Ich höre, daß der Pesther Correspondent der Preußischen Staatszeitung in dieses Blatt einen Artikel hat einrücken lassen, worin sich folgende Stelle befindet: „„.... Diese Pesther Hôtels sind aber keineswegs das, was ihr Namen erwarten läßt. Es ist nur „„Nachahmung des Aeußern, aber das Innere! Vorzüglich weit hat es ein sogenanntes erstes Hôtel in diesem Scheinwesen gebracht. „„Fürst Pückler, der lange darin wohnte, zog, wie viele Andere, aus, und befindet sich gegenwärtig in einem andern u. s. w.““ Da hier mein Name genannt wird, um eine Ansicht zu bekräftigen, die ich durchaus nicht theilen kann, so halte ich es für Schuldigkeit, in Bezug auf meinen braven Wirth zu erklären: 1) daß ich aus besagtem Hôtel, zur Königin von England, nie ausgezogen bin, sondern darin, bis zu meiner Abreise nach Wien, unausgesetzt verweilte; 2) daß ich in Deutschland wenige Hôtels kenne, welche dem genannten gleich kommen, wo ich vortrefflich wohnte, die Kost nach allen billigen Ansprüchen, welche an einen Gasthof gemacht werden können, völlig genügend fand, und durchgängig daselbst eben so billig als mit der größten Aufmerksamkeit und Bereitwilligkeit behandelt worden bin. H. Fürst von Pückler-Muskau. Wien, den 10 Januar 1840 [1093-98] Bayerisch-würtembergische Donau-Dampfschifffahrt. Dienst zwischen Donauwörth, Regensburg und Linz während der Monate April und Mai 1840 Von Donauwörth nach Regensburg den 13, 20, 27 April – 6, 13, 20, 27 Mai. Von Regensburg nach Linz den 1, 8, 13, 22, 29 April – 3, 8, 13, 15, 17, 19, 22, 24, 27, 29 Mai. Von Linz nach Regensburg den 2, 9, 16, 23, 30 April – 4, 9, 14, 16, 19, 21, 24, 26, 29, 31 Mai, Von Regensburg nach Donauwörth den 9, 16, 23 April – 2, 9, 17, 24, 31 Mai. Die Schiffe stehen mit denen der österreichischen Gesellschaft sowohl bei der Thal- als Bergfahrt in directer Verbindung, so daß stets am Tage nach der Ankunft in Linz die Reise nach Wien resp. Regensburg fortgesetzt wird. Wegen noch nicht gehöriger Regulirung einiger über die Donau führender Gemeindebrücken muß die Fahrt zwischen Donauwörth und Ulm vor der Hand bis zur nähern Bekanntmachung unterbleiben. Regensburg, im März 1840 Die Direction.

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Zitationshilfe: Allgemeine Zeitung. Nr. 89. Augsburg, 29. März 1840, S. 0710. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/augsburgerallgemeine_089_18400329/14>, abgerufen am 24.11.2024.