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Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 159, Hamburg, 3. Oktober 1812.

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bient en ce moment, ou le choc des deux
armees semblait se preparer, la presence du
chef etait necessaire pour donner l'ensemble
au mouvement des troupes, et pour en diri-
ger l'action.

Ainsi un moment de malheur a detruit le
resultat de six semaines de combinaisons sa-
ges, de mouvemens methodiques, dont l'issue
jusqu'alors paraissait certaine, et dont tout
nous faisait presager de recueillir le fruit.

Le 23, l'armee fit sa retraite d'Alba de Tor-
mes, sur Penaranda, en prenant sa direction
vers le Duero, toute la cavalerie ennemie
atteignit notre arriere garde, composee de
cavalerie de la lre division. Cette cavalerie
se replia, et laissa la division trop engagee,
mais elle forma ses carres pour resister a
l'ennemi. Un d'eux fut enfonce, les autres
resisterent, et celui du 69e notamment tua
200 chevaux a l'ennemi, a coups de bayon-
nettes; depuis ce tems il n'a fait aucune ten-
tative sur nous.

Le general Clausel a le commandement de
l'armee et prendra les mesures que les cir-
constances exigeront. Je vais me faire trans-
porter a Burgos, ou j'espere qu'avec du repos
et des soins, je pourrai me guerir des bles-
sures graves que j'ai recues, et qui m'affligent
plus par l'influence funeste qu'elles ont eue
sur le succes de l'armee, que par les souf-
frances qu'elles me font eprouver.

Je ne saurais trop faire l'eloge de la va-
leur avec laquelle les generaux et colonels
ont combattu, du bon esprit qui les a animes
dans cette circonstance difficile. Je dois faire
mention particulierement du general Bonnet,
dout au surplus la reputation est faite depuis
long-tems. Je dois egalement nommer le ge-
neral Taupin qui commandait la 6e division;
le general Clauzel, quoique blesse, n'a pas
quitte le champ de bataille, et a donne
l'exemple d'une grande bravoure et a paye
de sa personne jusqu'a la fin. Le general
d'artillerie Tirlet et le colonel Dijeon, com-
mandant la reserve d'artillerie, se sont parti-
tulierement distingues.

Dans cette journee, toute malheureuse
qu'elle est, il y a eu une multitude de traits
dignes d'etre cites, et qui honorent le nom
Francais. Je m'occuperai a les faire recueil-
lir, et je solliciterai de S. M., des recompen-
ses pour les braves qui s'en sont rendus di-
gnes. Je ne dois pas differer de citer la belle
conduite du sous-lieutenant Guillimat, du
118e regiment, qui s'est elance dans les rangs
ennemis pour y enlever un drapeau dont il
s'est empare, apres avoir coupe le bras de
celui qui le portait; il a rapporte ce drapeau
dans nos rangs, malgre plusieurs coups de
bayonnettes qu'il a recus.

Nous avons a regretter la perte du general
de division Ferey, mort de ses blessures, du
general Thomieres, tue sur le champ de ba-
bataille, et du general Desgraviers. Les gene-


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Wunde mit der Gewißheit nach Beendigung des
Tagewerks, den Todesstreich zu empfangen, ver-
tauscht, um nur das Commando fortsetzen zu kön-
nen; so sehr war ich von der Wichtigkeit der be-
vorstehenden Ereignisse überzeugt, und wie noth-
wendig die Gegenwart des Oberhaupts in diesem
Augenblick, wo das Gegeneinanderstoßen beyder
Heere vorbereitet wurde, für das Ganze in den
Bewegungen und für die Leitung des Gefechts sey.
So hat ein unglücklicher Augenblick die Frucht von
sechswöchentlichen weisen Combinationen von kunst-
vollen Bewegungen vernichtet, deren Erfolg sicher
schien und da alles uns einen glücklichen Ausgang
erwarten ließ.

Am 23sten machte das Heer über Penaranda sei-
nen Rückzug auf Alba de Tormes, indem es sich
nach dem Duero wandte. Die ganze feindliche
Reuterey erreichte unsern Nachtrab, der aus der
Reuterey der 1sten Division bestand. Diese zog
sich zurück und zwang die Division, sich in einen
Kampf einzulassen; aber sie bildete sogleich Vier-
ecke gegen den Feind, von denen eins durchbrochen
wurde, die übrigen leisteten Widerstand und na-
mentlich tödtete das 69ste Regiment dem Feinde
200 Pferde durch Bajonettstiche. Seitdem hat er
uns nicht weiter angegriffen.

General Clausel hat den Oberbefehl über die Ar-
mee und wird seine Maaßregeln nach den Umstän-
den nehmen. Jch werde mich nach Burgos brin-
gen lassen, wo ich durch Ruhe und Sorgfalt von
den schweren erhaltenen Wunden, die mich mehr
schmerzen wegen des unglücklichen Einflusses, den
sie auf den Erfolg des Heeres gehabt, als durch
die Leiden, die sie mir verursachen, mich heilen
lassen werde. Jch kann den Muth nicht genug er-
heben, mit welchem die Generals und Obersten ge-
kämpft haben, und den guten Geist, der sie unter
diesen schwürigen Umständen beseelte. Besonders
muß ich den General Bonnet anführen, dessen Ruf
schon außerdem seit langer Zeit begründet ist;
auch den General Taupin, der die 6te Division
befehligte, muß ich nennen. General Clausel ver-
ließ, obgleich er verwundet war, das Schlachtfeld
nicht, gab stets das Beyspiel eines hohen Muths
und bot sein Leben bis ans Ende den gro[e]ßten Ge-
fahren Preis. Der Artillerie-General Tirlet und
der Oberst Dijeon, der das Reserve-Geschütz com-
mandirte, haben sich besonders ausgezeichnet.

An diesem unglücksvollen Tage gab es doch eine
Menge Züge, die angeführt zu werden verdienen
und die den Französ. Namen ehren. Jch werde
sie sammeln lassen und Se. Majestät um Beloh-
nungen für diejenigen bitten, die sich deren wür-
dig gemacht. Doch darf ich nicht vergessen, die
schöne Handlung des Unterlieut. Guillimat vom
118ten Regiment anzuführen, der sich in die feind-
lichen Glieder stürzte, um sich einer Fahne zu be-
mächtigen, nachdem er dem Führer derselben den
Arm abgehauen; er brachte sie in unsre Reihen
zurück, obgleich er viele Bajonettstiche erhalten.

Wir haben den Verlust des Divisions-Generals
Ferey, der an seinen Wunden gestorben, des Gene-
rals Thomieres, der auf dem Schlachtfelde getöd-
tet worden, und des Generals Desgraviers zu be-


[Spaltenumbruch]

bient en ce moment, où le choc des deux
armées semblait se préparer, la présence du
chef était nécessaire pour donner l’ensemble
au mouvement des troupes, et pour en diri-
ger l’action.

Ainsi un moment de malheur a détruit le
résultat de six semaines de combinaisons sa-
ges, de mouvemens méthodiques, dont l’issue
jusqu’alors paraissait certaine, et dont tout
nous faisait présager de recueillir le fruit.

Le 23, l’armée fit sa retraite d’Alba de Tor-
mès, sur Penaranda, en prenant sa direction
vers le Duero, toute la cavalerie ennemie
atteignit notre arrière garde, composée de
cavalerie de la lre division. Cette cavalerie
se replia, et laissa la division trop engagée,
mais elle forma ses carrés pour resister à
l’ennemi. Un d’eux fut enfoncé, les autres
resistèrent, et celui du 69e notamment tua
200 chevaux à l’ennemi, à coups de bayon-
nettes; depuis ce tems il n’a fait aucune ten-
tative sur nous.

Le général Clausel a le commandement de
l’armée et prendra les mesures que les cir-
constances exigeront. Je vais me faire trans-
porter à Burgos, où j’espère qu’avec du repos
et des soins, je pourrai me guérir des bles-
sures graves que j’ai reçues, et qui m’affligent
plus par l’influence funeste qu’elles ont eue
sur le succès de l’armée, que par les souf-
frances qu’elles me font éprouver.

Je ne saurais trop faire l’éloge de la va-
leur avec laquelle les généraux et colonels
ont combattu, du bon esprit qui les a animés
dans cette circonstance difficile. Je dois faire
mention particulièrement du général Bonnet,
dout au surplus la réputation est faite depuis
long-tems. Je dois également nommer le gé-
néral Taupin qui commandait la 6e division;
le général Clauzel, quoique blessé, n’a pas
quitté le champ de bataille, et a donné
l’exemple d’une grande bravoure et a payé
de sa personne jusqu’à la fin. Le général
d’artillerie Tirlet et le colonel Dijeon, com-
mandant la réserve d’artillerie, se sont parti-
tulièrement distingués.

Dans cette journée, toute malheureuse
qu’elle est, il y a eu une multitude de traits
dignes d’être cités, et qui honorent le nom
Français. Je m’occuperai à les faire recueil-
lir, et je solliciterai de S. M., des récompen-
ses pour les braves qui s’en sont rendus di-
gnes. Je ne dois pas différer de citer la belle
conduite du sous-lieutenant Guillimat, du
118e régiment, qui s’est élancé dans les rangs
ennemis pour y enlever un drapeau dont il
s’est emparé, après avoir coupé le bras de
celui qui le portait; il a rapporté ce drapeau
dans nos rangs, malgré plusieurs coups de
bayonnettes qu’il a reçus.

Nous avons à regretter la perte du général
de division Ferey, mort de ses blessures, du
général Thomières, tué sur le champ de ba-
bataille, et du général Desgraviers. Les géné-


[Spaltenumbruch]

Wunde mit der Gewißheit nach Beendigung des
Tagewerks, den Todesſtreich zu empfangen, ver-
tauſcht, um nur das Commando fortſetzen zu koͤn-
nen; ſo ſehr war ich von der Wichtigkeit der be-
vorſtehenden Ereigniſſe uͤberzeugt, und wie noth-
wendig die Gegenwart des Oberhaupts in dieſem
Augenblick, wo das Gegeneinanderſtoßen beyder
Heere vorbereitet wurde, fuͤr das Ganze in den
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So hat ein ungluͤcklicher Augenblick die Frucht von
ſechswoͤchentlichen weiſen Combinationen von kunſt-
vollen Bewegungen vernichtet, deren Erfolg ſicher
ſchien und da alles uns einen gluͤcklichen Ausgang
erwarten ließ.

Am 23ſten machte das Heer uͤber Penaranda ſei-
nen Ruͤckzug auf Alba de Tormes, indem es ſich
nach dem Duero wandte. Die ganze feindliche
Reuterey erreichte unſern Nachtrab, der aus der
Reuterey der 1ſten Diviſion beſtand. Dieſe zog
ſich zuruͤck und zwang die Diviſion, ſich in einen
Kampf einzulaſſen; aber ſie bildete ſogleich Vier-
ecke gegen den Feind, von denen eins durchbrochen
wurde, die uͤbrigen leiſteten Widerſtand und na-
mentlich toͤdtete das 69ſte Regiment dem Feinde
200 Pferde durch Bajonettſtiche. Seitdem hat er
uns nicht weiter angegriffen.

General Clauſel hat den Oberbefehl uͤber die Ar-
mee und wird ſeine Maaßregeln nach den Umſtaͤn-
den nehmen. Jch werde mich nach Burgos brin-
gen laſſen, wo ich durch Ruhe und Sorgfalt von
den ſchweren erhaltenen Wunden, die mich mehr
ſchmerzen wegen des ungluͤcklichen Einfluſſes, den
ſie auf den Erfolg des Heeres gehabt, als durch
die Leiden, die ſie mir verurſachen, mich heilen
laſſen werde. Jch kann den Muth nicht genug er-
heben, mit welchem die Generals und Oberſten ge-
kaͤmpft haben, und den guten Geiſt, der ſie unter
dieſen ſchwuͤrigen Umſtaͤnden beſeelte. Beſonders
muß ich den General Bonnet anfuͤhren, deſſen Ruf
ſchon außerdem ſeit langer Zeit begruͤndet iſt;
auch den General Taupin, der die 6te Diviſion
befehligte, muß ich nennen. General Clauſel ver-
ließ, obgleich er verwundet war, das Schlachtfeld
nicht, gab ſtets das Beyſpiel eines hohen Muths
und bot ſein Leben bis ans Ende den gro[ͤ]ßten Ge-
fahren Preis. Der Artillerie-General Tirlet und
der Oberſt Dijeon, der das Reſerve-Geſchuͤtz com-
mandirte, haben ſich beſonders ausgezeichnet.

An dieſem ungluͤcksvollen Tage gab es doch eine
Menge Zuͤge, die angefuͤhrt zu werden verdienen
und die den Franzoͤſ. Namen ehren. Jch werde
ſie ſammeln laſſen und Se. Majeſtaͤt um Beloh-
nungen fuͤr diejenigen bitten, die ſich deren wuͤr-
dig gemacht. Doch darf ich nicht vergeſſen, die
ſchoͤne Handlung des Unterlieut. Guillimat vom
118ten Regiment anzufuͤhren, der ſich in die feind-
lichen Glieder ſtuͤrzte, um ſich einer Fahne zu be-
maͤchtigen, nachdem er dem Fuͤhrer derſelben den
Arm abgehauen; er brachte ſie in unſre Reihen
zuruͤck, obgleich er viele Bajonettſtiche erhalten.

Wir haben den Verluſt des Diviſions-Generals
Ferey, der an ſeinen Wunden geſtorben, des Gene-
rals Thomieres, der auf dem Schlachtfelde getoͤd-
tet worden, und des Generals Desgraviers zu be-


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[[3]/0003] bient en ce moment, où le choc des deux armées semblait se préparer, la présence du chef était nécessaire pour donner l’ensemble au mouvement des troupes, et pour en diri- ger l’action. Ainsi un moment de malheur a détruit le résultat de six semaines de combinaisons sa- ges, de mouvemens méthodiques, dont l’issue jusqu’alors paraissait certaine, et dont tout nous faisait présager de recueillir le fruit. Le 23, l’armée fit sa retraite d’Alba de Tor- mès, sur Penaranda, en prenant sa direction vers le Duero, toute la cavalerie ennemie atteignit notre arrière garde, composée de cavalerie de la lre division. Cette cavalerie se replia, et laissa la division trop engagée, mais elle forma ses carrés pour resister à l’ennemi. Un d’eux fut enfoncé, les autres resistèrent, et celui du 69e notamment tua 200 chevaux à l’ennemi, à coups de bayon- nettes; depuis ce tems il n’a fait aucune ten- tative sur nous. Le général Clausel a le commandement de l’armée et prendra les mesures que les cir- constances exigeront. Je vais me faire trans- porter à Burgos, où j’espère qu’avec du repos et des soins, je pourrai me guérir des bles- sures graves que j’ai reçues, et qui m’affligent plus par l’influence funeste qu’elles ont eue sur le succès de l’armée, que par les souf- frances qu’elles me font éprouver. Je ne saurais trop faire l’éloge de la va- leur avec laquelle les généraux et colonels ont combattu, du bon esprit qui les a animés dans cette circonstance difficile. Je dois faire mention particulièrement du général Bonnet, dout au surplus la réputation est faite depuis long-tems. Je dois également nommer le gé- néral Taupin qui commandait la 6e division; le général Clauzel, quoique blessé, n’a pas quitté le champ de bataille, et a donné l’exemple d’une grande bravoure et a payé de sa personne jusqu’à la fin. Le général d’artillerie Tirlet et le colonel Dijeon, com- mandant la réserve d’artillerie, se sont parti- tulièrement distingués. Dans cette journée, toute malheureuse qu’elle est, il y a eu une multitude de traits dignes d’être cités, et qui honorent le nom Français. Je m’occuperai à les faire recueil- lir, et je solliciterai de S. M., des récompen- ses pour les braves qui s’en sont rendus di- gnes. Je ne dois pas différer de citer la belle conduite du sous-lieutenant Guillimat, du 118e régiment, qui s’est élancé dans les rangs ennemis pour y enlever un drapeau dont il s’est emparé, après avoir coupé le bras de celui qui le portait; il a rapporté ce drapeau dans nos rangs, malgré plusieurs coups de bayonnettes qu’il a reçus. Nous avons à regretter la perte du général de division Ferey, mort de ses blessures, du général Thomières, tué sur le champ de ba- bataille, et du général Desgraviers. Les géné- Wunde mit der Gewißheit nach Beendigung des Tagewerks, den Todesſtreich zu empfangen, ver- tauſcht, um nur das Commando fortſetzen zu koͤn- nen; ſo ſehr war ich von der Wichtigkeit der be- vorſtehenden Ereigniſſe uͤberzeugt, und wie noth- wendig die Gegenwart des Oberhaupts in dieſem Augenblick, wo das Gegeneinanderſtoßen beyder Heere vorbereitet wurde, fuͤr das Ganze in den Bewegungen und fuͤr die Leitung des Gefechts ſey. So hat ein ungluͤcklicher Augenblick die Frucht von ſechswoͤchentlichen weiſen Combinationen von kunſt- vollen Bewegungen vernichtet, deren Erfolg ſicher ſchien und da alles uns einen gluͤcklichen Ausgang erwarten ließ. Am 23ſten machte das Heer uͤber Penaranda ſei- nen Ruͤckzug auf Alba de Tormes, indem es ſich nach dem Duero wandte. Die ganze feindliche Reuterey erreichte unſern Nachtrab, der aus der Reuterey der 1ſten Diviſion beſtand. Dieſe zog ſich zuruͤck und zwang die Diviſion, ſich in einen Kampf einzulaſſen; aber ſie bildete ſogleich Vier- ecke gegen den Feind, von denen eins durchbrochen wurde, die uͤbrigen leiſteten Widerſtand und na- mentlich toͤdtete das 69ſte Regiment dem Feinde 200 Pferde durch Bajonettſtiche. Seitdem hat er uns nicht weiter angegriffen. General Clauſel hat den Oberbefehl uͤber die Ar- mee und wird ſeine Maaßregeln nach den Umſtaͤn- den nehmen. Jch werde mich nach Burgos brin- gen laſſen, wo ich durch Ruhe und Sorgfalt von den ſchweren erhaltenen Wunden, die mich mehr ſchmerzen wegen des ungluͤcklichen Einfluſſes, den ſie auf den Erfolg des Heeres gehabt, als durch die Leiden, die ſie mir verurſachen, mich heilen laſſen werde. Jch kann den Muth nicht genug er- heben, mit welchem die Generals und Oberſten ge- kaͤmpft haben, und den guten Geiſt, der ſie unter dieſen ſchwuͤrigen Umſtaͤnden beſeelte. 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Britt-Marie Schuster, Manuel Wille, Arnika Lutz: Bereitstellung der Texttranskription. (2014-07-28T09:42:53Z) Bitte beachten Sie, dass die aktuelle Transkription (und Textauszeichnung) mittlerweile nicht mehr dem Stand zum Zeitpunkt der Übernahme des Werkes in das DTA entsprechen muss.

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Zitationshilfe: Staats- und Gelehrte Zeitung des hamburgischen unpartheyischen Correspondenten. Nr. 159, Hamburg, 3. Oktober 1812, S. [3]. In: Deutsches Textarchiv <https://www.deutschestextarchiv.de/hc_1590310_1812/3>, abgerufen am 19.04.2024.